Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 667
Membres
1 007 721

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Idril-Cuthalion 2011-12-13T20:49:58+01:00

- C'est vrai, il y a une fille. Je ne pense qu’à elle depuis qu'on est gamins. Mais je suis à peu près sûr qu’avant la Moisson, elle ne savait même pas que j'existais.

Des murmures de sympathie agitent la foule. Un amour muet, c'est une chose que les gens peuvent comprendre.

- Elle a quelqu'un d'autre? s'enquiert Caesar.

- Je ne sais pas, mais beaucoup de garçons s'intéressent à elle, admet Peeta.

- Je vais te dire : gagne, et puis rentre chez toi. Elle t’accueillera à bras ouverts, non?

- Ça ne marcherait pas. La victoire... ne pourra pas m'aider, répond Peeta.

- Pourquoi ça? s'étonne Caesar.

Peeta rougit jusqu’aux oreilles. Il bredouille:

- Parce que... parce qu'elle... est venue ici avec moi.

Afficher en entier
Extrait ajouté par camillel54 2011-03-05T01:51:52+01:00

- Peeta ! Peeta ?

Un geai moqueur perché sur un arbuste reprend mon appel. Je n'insiste pas et redescends dans le ruisseau en me disant : " Il a dû bouger. Il est surement un peu plus loin. "

A peine mon pied a-t-il crevé la surface de l'eau qu'une voix s'élève :

- Tu viens pour m'achever, chérie?

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lylii 2011-02-01T19:26:24+01:00

« Je veux mourir en étant moi-même. Tu comprends ? (Je secoue la tête. Comment mourir autrement ?) Je ne veux pas changer dans l'arène. Me transformer en une espèce de monstre que je ne suis pas. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par mononoke 2012-02-12T12:17:32+01:00

- Peeta, dis-je d'un ton léger. Lors de l'interview, tu as prétendu être amoureux de moi depuis toujours. Ca remonte à quand exactement?

- Oh, laisse-moi réfléchir. Je crois que ça date du premier jour d'école. Nous avions cinq ans. Tu portais une petite robe rouge à carreau, et tes cheveux... tu avais deux nattes au lieu d'une seule. Mon père t'a montrée du doigt pendant que nous attendions de nous mettre en rang.

- Ton père? Pourquoi?

- Il m'a dit: " Tu vois cette jeune fille? Je voulais épouser sa mère, mais elle a préféré partir avec un mineur."

- Quoi? Tu es en train d'inventer! je m'exclame.

- Non, je t'assure, insiste Peeta. Et moi, j'ai dit: "Un mineur? Pourquoi elle serait partie avec un mineur alors qu'elle pouvait t'épouser, toi?" Et il m'a répondu: "Parce que quand il chante...même les oiseaux se taisent pour l'écouter."

- Ca, c'est vrai. Ils le font. Enfin, ils le faisaient.

Je suis stupéfaite et étonnamment émue en imaginant le boulanger en train d'avouer à son fils. L'idée me traverse l'esprit que si j'ai du mal à chanter, si je rejette la musique, ce n'est peut-être pas parce que j'ai l'impression de perdre mon temps. Peut-être est-ce plutôt parce que ça me fait trop penser à mon père.

- Alors, ce jour-là, en cours de musique, la maîtresse nous a demandé qui connaissait la chanson de la vallée. Tu as levé la main tout de suite. Elle t'a fait monter sur l'estrade, et tu l'as chanté pour nous. Et je te jure que tous les oiseaux de l'autre côté de la fenêtre se sont arrêtés de siffler.

- Oh, arrête! dis-je en riant.

- Non, c'est vraiment arrivé. Et, à la fin de la chanson, j'ai su que - comme ta mère - j'étais amoureux pour de bon, raconte Peeta. Ensuite, pendant onze ans, j'ai essayé de trouver le courage de te parler.

- Sans succès.

- Sans succès. D'une certaine manière, on peut dire que j'ai eu de la chance que mon nom soit tiré au sort lors de la Moisson, conclut Peeta.

Je me sens d'abord ridiculement heureuse, puis confuse. Parce que nous somme censés jouer la comédie de l'amour, et non être vraiment amoureux. Mais le récit de Peeta à des accent de vérité. Cette histoire à propos de mon père et des oiseaux. Et c'est vrai que j'ai chanté à mon premier jour d'école, même si je ne me rappelais pas la chanson. Et cette robe rouge à carreau... j'en avais une, que j'ai donné à Prim avant qu'elle finisse en chiffon après la mort de mo père.

Ca explique aussi une chose. Pourquoi Peeta m'a offert ces pains, ce fameux jour. Alors, si tous ces détails sont vrais... se pourait-il qu'il soit sincère?

- Tu as... une mémoire remarquable, dis-je en bredouillant.

- Je me souviens de pleins de chose à propos de toi, continue Peeta en ramenant une mèche de cheveux derrière moi oreille. C'est toi qui ne faisais pas attention.

- Je t'écoute, maintenant.

- Oh, je n'ai pas beaucoup de concurrence, par ici.

Je voudrais battre en retraite, refermer les volets de nouveau, mais je sais qu'il ne faut pas. J'ai l'impression d'entrendre Haymitch me murmurer à l'oreille: " Dis-le! Dis-le!"

Je respire un bon coup et me jette à l'eau.

- Tu n'as aucune concurrence nulle part.

Et, cette fois-ci, c'est moi qui me penche vers lui.

Nos lèvres se sont à peine touchées quand un bruit sourd à l'extérieur me fait sursauter. Je saisis mon arc, la flèche prête à partir, mais on entend plus rien. Peeta jette un coup d'oeil entre les rochers et pousse un cri de joie. Avant que je puisse l'arrêter, il sort sous la pluie et me tend quelque chose par le trou. Un parachute argenté fixé à un panier. J'ouvre celui-ci sans attendre et je découvre un véritable festin: des petits pains, du fromage de chèvre, des pommes et... une soupière de cet incroyable ragoût d'agneau au riz sauvage! Ce plat à propos duquel j'ai dit à Caesar Flickerman qu'il représentait pour moi ce qu'on trouvait de mieux au Capitole.

Quand Peeta me rejoint à l'intérieur, son visage s'illumine.

- On dirait qu' Haymitch en a eu assez de nous voir mourir de faim.

- J'imagine, dis-je.

Mais, dans ma tête, je peux presque entendre notre mentor, pas mécontent de lui, déclarer avec une pointe d'exaspération: " Voila, chérie, c'est ça que j'attends de vous."

Afficher en entier
Extrait ajouté par Flocon19 2011-08-03T16:22:48+02:00

C'est seulement au moment d'entre dans le Grand Cirque que je réalise que Peeta ne doit plus avoir une goutte de sang dans la main. Tellement je la serre. Je regarde nos doigts entremêlés et je commence à relâcher ma prise, mais il me retient.

-Non, ne me lâche pas, dit-il.( La lumière des flammes scintille dans ses yeux bleus.) S'il te plaît. J'ai peur de dégringoler.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Bbey 2011-09-07T21:48:38+02:00

Sous le vieux saule, au fond de la prairie,

L'herbe tendre te fait comme un grand lit

Allonge-toi, ferme tes yeux fatigués

Quand tu les rouvriras, le soleil sera l'vé

Il fait doux par ici, ne crains rien

Les pâquerettes éloignent les soucis

Tes jolis rêves s'accompliront demain

Dors, mon amour, oh, dors, mon tout petit

Tout au fond de la prairie, à la brune,

Viens déposer tes peines et ton chagrin

Sous un manteau de feuilles au clair de lune,

Tout ça s'oubliera au petit matin

Il fait doux par ici, ne crains rien

Les pâquerettes éloignent les soucis

Tes jolis rêves s'accompliront demain.

Dors, mon amour, oh, dors, mon tout petit.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Zinthia 2011-06-02T02:10:42+02:00

- Ca veut dire que je serai en tenue de mineur ? demandé-je, en priant pour qu’elle soit décente.

- Pas exactement, répond Cinna. Portia et moi pensons que le thème de la mine est usé jusqu’à la corde. Ce n’est pas comme ça que les gens se souviendront de vous. Or, nous considérons tous les deux qu’il est de notre devoir de rendre les tributs du district Douze inoubliables.

« Je serai nue, ça ne fait pas un pli », me dis-je.

- Si bien qu’au lieu de partir sur l’extraction du charbon, nous préférons nous focaliser sur le charbon lui-même.

« Nue et couverte de poussière noire. »

- Et que fait-on avec le charbon ? On le brûle, achève Cinna. Tu n’as pas peur du feu, hein Katniss ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par Idril-Cuthalion 2011-12-10T18:12:35+01:00

De retour au centre du gymnase, je reprends ma position initiale et je transperce le mannequin en plein cœur. Puis je coupe la corde du sac de frappe, qui s'éventre en s'écrasant par terre. Sans un temps mort, je roule sur une épaule, me relève sur un genou et tire une flèche dans l'un des projecteurs suspendus au plafond du gymnase. Une cascade d'étincelles en dégringole.

C'est du grand art. Je me retourne vers les Juges. Quelques-uns hochent la tête d'un air approbateur, mais la plupart sont focalisés sur le cochon rôti qu'on vient d'apporter sur la table du buffet.

Soudain, je suis furieuse. Ma vie est en jeu, et ils n'ont pas la décence de m'accorder un regard. Ils préfèrent s'intéresser à un cochon crevé. Mon pouls s'emballe, mes joues s'échauffent. Sur un coup de tête, je sors une flèche de mon carquois et la décoche vers la table des Juges. Tout le monde s'écarte avec des cris d'effrois. La flèche arrache la pomme dans la gueule du cochon et la cloue au mur. On me dévisage avec incrédulité.

- Merci pour votre attention, dis-je.

Une légère courbette, puis je gagne la sortie sans attendre qu'on me le demande.

Afficher en entier
Extrait ajouté par BiancaDiAngelo 2011-11-05T17:03:18+01:00

-Oh, je n'ai pas beaucoup de concurrence, par ici.

Je voudrais battre en retraite, refermer les volets de nouveau, mais je sais qu'il ne faut pas. J'ai l'impression d'entendre Haymitch me murnurer à l'oreille: << Dis-le! Dis-le!>>

Je respire un bon coup et me jette à l'eau.

-Tu n'as aucune concurrence nulle part.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Lylii 2011-02-01T19:26:24+01:00

« Au Capitole, on a recours à la chirurgie pour faire paraître les gens plus jeunes et plus minces. Dans le district Douze, la vieillesse constitue un succès en soi car beaucoup de gens meurent prématurément. Quand on voit une personne âgée, on a envie de la féliciter, de lui demander le secret de sa longévité. On envie les gros, qui s'en sortent manifestement mieux que le reste d'entre nous. Mais ici, les choses sont différentes. Les rides n'ont rien de désirable. Une bedaine n'est pas un signe de réussite. »

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode