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Extrait ajouté par Melou78 2013-06-09T18:38:42+02:00

«Le genou de Rob me frôle. Mais plutôt que de s'écarter aussitôt, il persiste et demeure tout contre le mien. Je suis formelle : nos Genoux se touchent !

Sachant que mon visage est déjà du plus bel écarlate, je m'applique a fixer M. Johnson, même si je sens le regard de Rob persister sur moi.

C'est alors que, du coin de l'œil, j'aperçois sa main se poser sur le dossier de ma chaise. Je répète : nos genoux se touchent et la main de Rob est sur le dossier de ma chaise !»

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Extrait ajouté par adele 2013-05-15T14:35:30+02:00

"J'ai compris une chose : le destin, la fatalité ne font pas tout. Ils donnent peut-être le ton, mais ne décident en rien de la suite. Le destin vous a planté quelque part. A vous de trouver votre route et comment la poursuivre. Il faut simplement garder à l'esprit qu'il y a plusieurs fins possibles à une même histoire."

source site "dans notre petite bulle"

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-09-19T21:29:47+02:00

— J’ai reçu la réponse de Stanford.

— Alors ? Ils te paient pour que tu ailles chez eux ? avance-t-il.

— Je ne sais pas, je n’ai pas encore ouvert l’enveloppe. Je ne suis même pas sûre que ce soit vraiment ce dont j’ai envie.

Len prend le temps de réfléchir et passe sa main dans mes cheveux.

— Tu sais, l’université de New York est réputée pour son cursus musical, s’aventure-t-il. Et il n’est pas trop tard pour postuler.

Je lève les yeux vers lui.

— Ça n’a rien à voir avec le fait que Juilliard est à New York, n’est-ce-pas ?

Il roule des yeux avec un air faussement dédaigneux.

— Je t’en prie, je n’ai pas que ça à faire de nous projeter ensemble pour les quatre années à venir, à faire de la musique et à traîner dans des cafés.

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Extrait ajouté par adele 2013-05-15T14:36:27+02:00

Que c'est-il passé, alors ? demande-t-il au bout d'une minute.

Bien qu'il garde les yeux fixés sur Rob et Juliette, quelque chose dans son intonation me donne l'impression qu'il lit jusqu'au plus profond de mon âme. Je ne peux pas lui mentir, il sait déjà la vérité.

- On s'est plu l'espace d'un instant, soufflé-je, mais ça n'a pas duré.

Persuadée que cet aveu me minerait je suis surprise de sentir un certain soulagement m'envahir. Le poids sur mes épaules s'en trouve comme allégé.

- C'est que ça ne pouvait pas marcher, estime Len.

En levant les yeux vers lui, je suis troublée par ses mâchoires serrées et son air sévère, presque au bord de la colère.

-Peut-être.

- Tu ne comprends pas, reprend-il en secouant la tête. C'est pour ça et seulement pour ça qu'il t'a laissée tomber pour une autre : parce qu'il n'était pas pour toi.

- Qu'est-ce que tu en sais ? Peut-être qu'on devait être ensemble mais qu'elle a tout gâché ?

source site "dans notre petite bulle"

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-09-19T21:28:22+02:00

— Les filles, j’aimerais vous parler de quelque chose, risque Olivia.

Elle coupe la musique. Charlie prend une expression outragée et déclame :

— Que mon cœur se console, on a osé réduire les Supremes au silence !

Olivia la regarde, mécontente, et Charlie lève les mains pour faire amende honorable.

— D’accord, d’accord, dis-nous ce qui te tracasse.

— Je suis vraiment bien avec Ben.

Olivia lance un regard inquiet à Charlie qui roule des yeux.

— On sait, grimace celle-ci. Tu es folle de mon balourd de frère. Et alors ?

— Alors est-ce que tu pourrais faire abstraction cinq minutes du fait que vous êtes jumeaux ?

— Comment crois-tu que j’arrive à supporter mon existence ?

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-09-19T21:27:33+02:00

— Tu vas avoir un F, maintenant !

— Et alors ?

— Ça t’est égal ?

— Plutôt.

— C’est ça, ton problème, grondé-je, la rage me prenant à la gorge.

— Quel problème ?

— Ton je-m’en-foutisme !

— Là je t’arrête : je me fous seulement de ce qui n’a pas d’importance.

— Mais comment, avec tout ce que je viens de t’expliquer, tu peux dire que…

Len lève les mains en l’air pour m’interrompre.

— Écoute, je peux comprendre que tu sois angoissée pour Stanford, etc. Sauf que moi, je pense qu’il y a mieux à faire que de se ronger les sangs pour une interro surprise.

— Ça va, j’ai pigé, tu me vois comme une première de la classe hystérique qui vient te pourrir tes journées. J’arrive pas à croire que tu sois capable d’aller si loin juste pour me faire sentir combien tu me trouves lamentable.

À ces mots, Len éclate de rire.

— Tu as vraiment dû passer un sale week-end. Je crois que tu es en train de perdre le contrôle.

— C’est vrai, acquiescé-je en reniflant.

— Écoute, ce type n’est qu’un con.

— Qui, Rob ?

— Non, Spartacus. Bien sûr, Rob, ajoute Len.

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Extrait ajouté par Melou78 2013-06-09T18:38:14+02:00

«—Ce sont tes manches courtes, argumenté-je, comme si c'était une explication.

—Je le savais, les biceps sont irrésistibles. Je devrais faire gaffe à ne pas les sortir trop souvent, ça pourrait porter atteinte à l'ordre public.

Il balaie la boucle de cheveux qui lui tombe devant les yeux et me regarde.

—Est-ce que ça veut dire que je peux t'inviter dès ce soir ?

—Ce soir ?

—Tu l'as dit toi-même : rien ne sert d'attendre.

A ces mots, il pose sa main sur la mienne. Instantanément, je reçois un choc. Sauf que cette fois, je ne recule pas. Au contraire. De ma main part un courant qui irradié tout le long de mon bras jusqu'à ma poitrine.

—Toi qui te disait patient, le taquiné-je.

—Comme tu viens de le prouver, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, rétorque-t-il, en me regardant droit dans les yeux, d'une façon si intense que j'en ai le souffle coupé.»

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-09-19T21:29:32+02:00

— Tu as toujours cru que ma passion pour l’histoire venait d’une sorte de fascination pour la spéculation, « ce qui aurait pu se passer si… », etc. Mais tu te trompes. J’aime l’histoire justement parce que c’est une des seules choses dont on soit sûr. On peut compter sur le passé. Le présent ? le futur ? Il y en a autant de versions qu’il y a d’individus.

— Où veux-tu en venir ?

— À ceci : il y a certaines choses sur lesquelles nous n’avons pas prise. Des choses qui, fatalement, doivent arriver. On ne peut rien y faire, c’est comme ça.

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-09-19T21:29:16+02:00

— Au fait, tu voulais qu’on passe une soirée ensemble, non ? lâché-je d’une traite.

Len pose sur moi un regard curieux, et ne répond rien.

— Tu sais, ce que tu me disais devant le piano vendredi soir… ajouté-je.

— Je n’ai pas oublié, chuchote Len en se redressant. Mais rappelle-toi, je t’ai aussi dit que la patience était innée chez moi, précise-t-il avec un petit sourire de guingois.

— À quoi bon attendre, au fond ?

— Tiens donc, s’étonne-t-il, sourcils levés. Et puis-je savoir pourquoi tu as changé d’avis ?

Je fais un véritable effort de concentration pour arriver à sortir une phrase tant soit peu cohérente – sujet, verbe, complément. En sa présence, tout mon vocabulaire se précipite dans ma tête, comme aspiré au creux d’une vague qui s’écraserait avec un fracas retentissant sur la grève. Whoosh.

— Ce sont tes manches courtes, argumenté-je, comme si c’était une explication.

— Je le savais, mes biceps sont irrésistibles. Je devrais faire gaffe à ne pas les sortir trop souvent, ça pourrait porter atteinte à l’ordre public.

Il balaie la boucle de cheveux qui lui tombe devant les yeux et me regarde.

— Est-ce que ça veut dire que je peux t’inviter dès ce soir ?

— Ce soir ?

— Tu l’as dit toi-même : rien ne sert d’attendre.

À ces mots, il pose sa main sur la mienne. Instantanément, je reçois un choc. Sauf que cette fois, je ne recule pas. Au contraire. De ma main part un courant qui irradie tout le long de mon bras jusqu’à ma poitrine.

— Toi qui te disais patient, le taquiné-je.

— Comme tu viens de le prouver, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, rétorque-t-il, en me regardant droit dans les yeux, d’une façon si intense que j’en ai le souffle coupé.

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-09-19T21:28:55+02:00

— Seigneur ! Tu es dans un sale état.

— Merci, mais tu n’es pas mal non plus, plaisante-t-il.

— Tu veux un peu de glace ?

— Non, ça ira, t’inquiète.

— OK, mais tu es quand même vraiment amoché.

— J’ai quand même le droit d’entrer ?

— Bien sûr, excuse-moi, dis-je en m’effaçant pour le laisser passer. Ma chambre est à l’étage.

— Eh ben, ça ne traîne pas, avec toi ! Même pas une petite visite guidée ?

— Plus tard. Pour l’instant, on a du pain sur la planche.

Je remarque qu’en lieu et place de son sac à dos, il se promène avec un sachet de Dragibus.

— Attends, tu comptes travailler avec quoi, exactement ?

Il brandit le paquet.

— Des bonbons, donc ? continué-je, incrédule.

— Tes préférés, si je puis me permettre, claironne-t-il.

La surprise me cloue sur place.

— Comment tu sais ça ?

— Allez hop, pas une minute à perdre, se dérobe-t-il en m’écartant pour s’engager dans les escaliers. Et tu n’as pas intérêt à me laisser les manger tout seul.

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