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À la veille de ses seize ans, Kevin Khatchadourian a tué sept de ses camarades de lycée, un employé de la cafétéria et un professeur. Dans des lettres adressées au père dont elle est séparée, Eva, sa mère, retrace l'itinéraire meurtrier de Kevin.
Avec une effrayante lucidité, Lionel Shriver dresse le portrait inoubliable d'une mère confrontée à la monstruosité de son fils.
Un sujet d'une brûlante actualité, doublé d'une vision au vitriol de l'american dream. Un roman coup de poing, violent, complexe, qui s'attaque au dernier des tabous. A la veille de ses seize ans, Kevin Khatchadourian a tué sept de ses camarades de lycée, un employé de la cafétéria et un professeur. Dans des lettres adressées au père dont elle est séparée, Eva, sa mère, retrace l'itinéraire meurtrier de Kevin.
Elle se souvient qu'elle a eu du mal à sacrifier sa brillante carrière pour devenir mère. Qu'elle ne s'est jamais faite aux contraintes de la maternité. Que dès la naissance elle s'est heurtée à un enfant difficile. Que l'arrivée de Celia, petite soeur fragile et affectueuse, n'a fait que creuser le fossé entre mère et fils. Qu'elle aura passé des années à scruter les agissements de Kevin sans voir que son ambivalence envers lui n'avait d'égale que la cruauté et la malveillance du rejeton.
Et, quand le pire survient, Eva veut comprendre : qu'est-ce qui a poussé Kevin à commettre ce massacre ? Et quelle est sa propre part de responsabilité ?
On ne peut atteindre quelqu'un que s'il possède une conscience. On ne peut punir quelqu'un que s'il a des espoirs que l'on peut contrarier, ou des attachements que l'on peut rompre ; quelqu'un qui se soucie de ce que l'on pense de lui. On ne peut punir que des gens qui ont déjà un tout petit peu quelque chose de bon en eux.
J'avais tout d'abord vu le film, qui m'a énormément plu, et le livre m'a fait le même effet, en plus puissant encore, si cela est possible. Bouleversant, c'est le mot. Il remet en question toutes nos certitudes, nous touche au plus profond de l'âme, et nous fait vivre une expérience hors du commun.
"Á l'instant précis où il est né, j'ai associé Kevin à mes propres limites - qui n'étaient pas seulement celles de la souffrance, mais celle de la défaite."
Ce roman noir, terrible, angoissant, horrible par moment est une merveille. Mais attention à ne pas poser entre toutes les mains. Je remercie vivement Virginie qui me l'a offert. Bien qu'il y ait quelques 700 pages à lire - j'avoue qu'au début j'étais un peu déconcertée - ce titre ne va pas se lire d'une traite bien évidemment, mais, à chaque fois que j'ai posé les yeux et mon esprit à l'intérieur je suis passée par toutes les émotions possibles.
Ce roman est quelquefois dérangeant autant que captivant. On ne peut pas s'attendre à un drame pareil! Mais il est merveilleusement bien écrit.
Ce fait - pas divers - se propage et est d'actualité. Ici c'est la mère de Kevin qui écrit à son mari, on suit l'évolution du jeune garçon, ses déviances, elle se raconte aussi elle pendant sa grossesse. Ce Jeudi auquel elle est confrontée restera à jamais en elle. La construction de l'enfant à l'adolescence est délicate, voir se complique lorsqu'il y a des différences de sensibilité avec un des deux parents.
On ne peut et ne doit pas juger ces parents démunis et voilà que l'on se pose soit même des questions. On fait ce que l'on peut avec nos enfants, la société, les amis, la famille, beaucoup de chose entrent dans l'évolution de ces chères petites têtes. Quoi dire de plus sur cette terrible histoire! Le résumé vous donne le ton, à vous de choisir de le lire ou non.
Lu il y a des années, ce livre continue à me bouleverser, à me poser question. Qui est responsable ? Kevin est-il vraiment né mauvais ? Quelle est la responsabilité des parents ? De cette mère qui n'en a jamais voulu, de ce père qui s'est évertué à occulter les évidences ? Tout s'entremêle, on ne s'est pas, la vérité est exposée crument et en même temps, on n'a qu'un point de vue, ce qui rend le tout biaisé.
Mais un livre aura rarement aussi bien porté son nom. On ne peut pas le lire sans ressentir le besoin de parler de Kevin.
J'ai eu un peu de mal à rentrer dans ce roman, mais très vite, je me suis retrouvée totalement plongée par ce récit, comme presque personnellement impliquée. Ce Kevin est né mauvais, néfaste, nuisible et je n'ai pas cessé de me poser la question "Comment aurait-on pu juguler cela avant le dernier acte de cette tragédie?" Le père se complait dans le déni, la mère fait ce qu'elle peut sans jamais cesser de se sentir coupable... La fin est atroce, mais juste et justifiée. Comment aurait-il été possible que cela finisse autrement?
Un roman tout bonnement glaçant mais pourtant absolument impossible à lâcher. Presque dix ans après, il continue encore à me trotter dans un coin de la tête tant il est perturbant et résolument marquant. Face à une Amérique dont la violence et la cruauté est à son paroxysme, il est plus que jamais d'actualité. De quoi se poser de nombreuses questions sur notre supposée humanité...
Lecture qui nous met mal à l aise tout au long des pages
Une maman qui ressent les choses … mais c est son enfant et elle ne peut réaliser qu elle est dans le vrai … comment peut on penser cela de son enfant même si ces ressentis sont plus réels et alarmants … il y a toujours l’espoir … ou pas …
C'est un très bon bouquin, très prenant, qui se lit bien. Tous les sentiments de la mère transparaissent parfaitement bien tout au long de la lecture et il est facile de s'identifier à elle. Un petit plot twist vers la fin très agréable et qui passe bien, même si j'imagine que ça pouvait être prévisible. Petit bémol, le changement de comportement de Kévin à la toute toute fin, qui m'a dérangée car ça ne semble pas correspondre tout à fait avec le personnage. J'aurais préféré que l'auteur conserve son caractère en l'état jusqu'au bout, pour bien terminer. Mais c'est ma seule déception, sinon tout était quasiment parfait.
Le récit d’une mère après le massacre scolaire perpétrer par son fils Kevin, j’ai trouvé le livre assez contemplatif ce qui m’a un peu ennuyé mais le récit est riche en questionnement, en douleur et en incompréhension de la part de la mère, Eva. A travers des lettres à son ex-mari, elle tente de comprendre ce qu’elle aurait pu ou peut-être dû faire pour empêcher cette tuerie. La tension monte au cours du roman mais j’ai juste trouvé ça lourd et long personnellement, j’ai eu du mal avec ce style d’écriture où on connait à peu près la fin dès le début.
Les relations familiales sont au cœur du récit, c’est assez bouleversant et j’ai été touché par la mère mais qu’est-ce que c’est long… pour moi ça casse tout un rythme aussi lent, en plus le livre fait près de 600 pages, j’ai feuilleté la fin pour la connaître mais je ne l’ai pas lu en entier à cause des longueurs. Cette tragédie rate son coup à cause de la lenteur mais réussi sur le plan du questionnement et de l’introspection d’Eva.
Le fond du roman est bien évidemment très intéressant, en revanche, la forme ne m'a pas franchement convaincu.
En plus de la présence de quelques longueurs, de nombreux passages alambiqués et une syntaxe inutilement compliquée alourdissent le récit, qui bénéficie par ailleurs d'une belle densité.
Du côté de la psychologie des personnages, rien à redire, les profils sont minutieusement disséqués, la vie et les relations de cette famille, tout comme son delitement, sont couchés sur le papier avec talent jusqu'à ce fameux "JEUDI".
Un style un peu plus allégé m'aurait sans doute mieux convenu, non pas que je n'apprécie pas un peu d'originalité, mais je comprends que certains aient pu lâcher l'affaire.
Le récit cathartique d'Eva est terriblement touchant de sincérité et émouvant du début à la fin. J'avais beau connaître l'histoire et son dénouement bien avant ma lecture (j'avais même déjà vu l'adaptation en film plusieurs fois), le réalisme dans l'écriture de la scène finale - ou de la scène initiale selon la manière dont on voit les choses - m'a tout de même soulevé le cœur et fait monter les larmes.
Résumé
À la veille de ses seize ans, Kevin Khatchadourian a tué sept de ses camarades de lycée, un employé de la cafétéria et un professeur. Dans des lettres adressées au père dont elle est séparée, Eva, sa mère, retrace l'itinéraire meurtrier de Kevin.
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Avec une effrayante lucidité, Lionel Shriver dresse le portrait inoubliable d'une mère confrontée à la monstruosité de son fils.
Un sujet d'une brûlante actualité, doublé d'une vision au vitriol de l'american dream. Un roman coup de poing, violent, complexe, qui s'attaque au dernier des tabous. A la veille de ses seize ans, Kevin Khatchadourian a tué sept de ses camarades de lycée, un employé de la cafétéria et un professeur. Dans des lettres adressées au père dont elle est séparée, Eva, sa mère, retrace l'itinéraire meurtrier de Kevin.
Elle se souvient qu'elle a eu du mal à sacrifier sa brillante carrière pour devenir mère. Qu'elle ne s'est jamais faite aux contraintes de la maternité. Que dès la naissance elle s'est heurtée à un enfant difficile. Que l'arrivée de Celia, petite soeur fragile et affectueuse, n'a fait que creuser le fossé entre mère et fils. Qu'elle aura passé des années à scruter les agissements de Kevin sans voir que son ambivalence envers lui n'avait d'égale que la cruauté et la malveillance du rejeton.
Et, quand le pire survient, Eva veut comprendre : qu'est-ce qui a poussé Kevin à commettre ce massacre ? Et quelle est sa propre part de responsabilité ?
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