J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir

Relecture de ce livre que j'avais découvert au collège en même temps que le journal d'Anne Frank. J'ai eu plus de plaisir à le relire que celui d'Anne Frank qui a mal vieilli. Celui-ci est plus actif, surtout la première partie. Dans la seconde partie, Christine m'a agacée à plusieurs reprises, je l'ai trouvé égoïste. Une fois encore, les pays de l'Est sont décrits comme sombres, froids, gris et pluvieux. Les difficultés rencontrées, par Christine et Georges pour s'installer en France, sont assez réalistes. Je suis toujours navrée de voir des étrangers idéaliser la France et Paris plus particulièrement et de voir leurs espoirs déçus. La fin m'a laissé sur ma faim, on ne connaît pas la suite de l'histoire et si son livre sera finalement publié, à moins d'aller chercher les infos sur internet.

Relecture de ce livre que j'ai découvert pendant mes années collège, quand on étudiait la seconde guerre mondiale. C'est un livre que j'ai dévoré en une soirée, il est court bien sûr, mais surtout très rythmé, vif et je suis pressée de lire la suite : il n'est pas si facile de vivre.

Dans ce livre, le lecteur peut vivre le quotidien de réfugiés durant la guerre et c'est franchement horrible et déprimant. Christine, jeune fille d'une famille aisée, a quinze ans. Comme pour tous les jeunes qui ont vécu à cette époque-là, son adolescence lui est volée. Par chance, elle survit, se rattrape et prend sa revanche sur la vie. Elle parvient à réaliser son rêve, celui d'écrire et de vivre (ce que la pauvre Anne Frank n'arrivera pas à atteindre) et surtout laisser le témoignage de ce qu'elle a enduré pendant les hostilités, durant son passage au camp de réfugiés en Autriche et même en France où l'accueil n'a pas toujours été bienveillant. Toute cette histoire réelle est vraiment très triste. Ce qui est encore plus désolant, c'est qu'il n'y a pas d'issue positive pour les compagnons de misère de l'autrice restés à Budapest et surtout malchanceux. Par exemple, la jeune veuve mère de famille nommée Ilus échappe aux Allemands mais se fait violer par les Russes et finit par mourir avec son bébé à cause des libérateurs pires que les occupants. Le jeune Pista, sympathique, vivace, dévoué aux gens de l'immeuble qu'il aide, meurt en pleine jeunesse. La guerre est atroce. On le sait bien. Un tel récit nous le rappelle. C'est la raison pour laquelle il parvient à toucher le lecteur et à l'émouvoir. Hélas, la guerre et les réfugiés restent d'actualité. La folie des hommes n'a pas de limite.

Un témoignage qui aurait pu être intéressant mais l'autobiographe n'à pas su trouver les bons mots....

Son histoire et aventures au coeur de l'Europe nazie n'est pas drôle et le livre n'à pas grand intérêt de mon point de vue... Un peu décevant

Tout de même j'ai un immense respect pour l'auteur et les épreuves qu'elle a surmontées c'est splendide

"J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir" est un récit très bouleversant. Christine y raconte l'affrontement des Allemand et des Russes sur le territoire Hongrois entre 1944 et 1945. C'est aussi le moment où l'auteure, alors âgée de 15 ans, voit son enfance brusquement interrompue.

Pour avoir lu beaucoup de récits autobiographiques de survivants d’Auschwitz, j'avais envie de lire l'histoire de "ces autres" que la guerre n'a pas pour autant préservé. "Ces autres" ce sont ceux qui n'ont plus rien, ceux dont la maison n'est plus qu'une ruine, dont les dernières ressources ont servis à fuir ...

C'est une histoire vraiment poignante qui retrace le long voyage de cette famille courageuse qui ne demandait qu'à vivre.

J’ai lu ce livre parce que cette période de l’Histoire m’intéresse. C’est un témoignage poignant et touchant

Un livre poignant qui parle de la vie d'une jeune fille hongroise durant la Seconde Guerre Mondiale.

Ce fut mon premier témoignane, je n'ai pas réussi à le lâcher tellement j'étais prise dans l'histoire. Je le lisais pendant mes cours ( pas très judicieux quand c'est l'année du bac). On prend plus facilement consciences des horreurs de la guerre du point de vue d'une civile que de l'histoire raconter par nos professeurs

Un roman très poignant et qui fait prendre conscience de beaucoup de chose ! A ne surtout pas passer à coter !

Un récit autobiographique poignant et bouleversant d'une jeune fille hongroise lors du siège de Budapest où on y retrouve l'horreur de la guerre vécu par les civiles prisonniers de la ville.

La seconde partie "Il n'est pas si facile de vivre" m'a moins touché, mais cela reste intéressant de suivre ce qu'il arrive à Christine après le siège.