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« — Alors, tu resteras ici pour toujours, répondit-il.

Je le dévisageai un instant sans répondre.

— Reece… Je ne crois pas que ce soit une bonne idée. On vient juste de commencer à sortir ensemble. La plupart des gens…

— Je me contrefiche de ce que la plupart des gens font. Je t’aime. Et toi aussi, tu m’aimes, même si tu ne me l’as pas encore dit, observa-t-il en étalant sa ceinture par terre. (Je le regardai faire en haussant les sourcils.) Si on a envie d’emménager ensemble, on emménage ensemble, point. Et on emmerde les autres.

Je réprimai un sourire.

— J’aimerais te voir expliquer ça à mes parents avec autant de classe.

Reece se releva dans un geste fluide.

— D’après toi, ils pensent qu’on fait quoi, tes parents ?

— Qu’on joue aux cartes et qu’on tricote des couvertures, bien sûr.

Il rit et posa une main de chaque côté de moi sur le lit avant de se pencher en avant.

— Tu parles. Ils savent très bien qu’on baise comme des lapins à la moindre occasion.

— Non, mais quelle horreur ! (Je grimaçai.) Ils pensent qu’on est chastes et purs !

— Tes parents ? rétorqua-t-il d’une voix moqueuse. Ils espèrent surtout qu’on leur fabrique un petit-fils ou une petite-fille avant l’été prochain.

— Mais non…, grognai-je. En fait si, tu as sûrement raison. »

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Reece se tourna vers moi avec un grand sourire aux lèvres.

— Et si on pariait ?

— Qu’est-ce que tu veux parier ? Que d’ici la fin de la conversation, j’aurai envie de me jeter sous un train ?demandai-je en détachant ma ceinture.

Il rit.

— Non, que d’ici la fin de la conversation, ta mère me souhaite la bienvenue dans la famille.

— Oh, mon Dieu, grognai-je en secouant la tête. Il est hors de question que je parie làdessus. Tu es sûr de gagner. Tu vas voir qu’elle va commencer à tricoter des chaussons pour un bébé qui n’existe pas.

Il rit encore une fois et sa réaction me confirma que c’était un mec génial. La plupart des hommes auraient enfreint des dizaines de lois pour échapper à une belle-mère obsédée par le mariage et les petits-enfants.

Toutefois, je me gardais bien de lui dire.

Avec un soupir, je me forçai à descendre du pick-up. On était à peine au milieu du chemin en pierre quand la porte s’ouvrit à la volée pour laisser apparaître ma mère. Elle se figea et nous regarda l’un après l’autre.

Je ravalai un juron.

Debout sous le porche, ma mère tapa dans ses mains. Pour de vrai. Comme si elle applaudissait.

— Ma Roxy, dit-elle en souriant tellement fort que je crus que son visage allait s’ouvrir en deux. Est-ce que tu es sur le point de me rendre très très fière ?

— Mon Dieu, gémis-je.

Reece rit dans sa barbe et me contourna pour monter les marches. Toutefois, avant qu’il ait eu le temps de dire ou faire quoi que ce soit, ma mère l’enveloppa dans une étreinte qui, selon mon expérience, devait être douloureuse. Quand elle était excitée, ma mère avait tendance à serrer un peu trop fort et à se balancer de gauche à droite.

— Maman, dis-je en soupirant. Reece a besoin de respirer, tu sais ?

— Chut, répondit-elle. J’ai rarement l’occasion de prendre un beau jeune homme, autre qu’un de mes fils, dans les bras

— Oh seigneur, marmonnai-je.

Le rire de Reece ne faisait rien pour arranger les choses. Quand il réussit à se dégager, il se tourna vers moi et me fit un clin d’oeil. Je lui lançai un regard noir et avançai pour le rejoindre, mais il prit la parole avant moi :

— Quelque chose me dit que ma Roxy est sur le point de vous rendre très très fière.

Incapable de dire quoi que ce soit, je le dévisageai, bouche bée.

— « Ma Roxy » ? s’exclama ma mère. Oh ! (Elle s’éventa avec ses mains tout en appelant mon père.) C’est la meilleure nouvelle que j’entends depuis…

— Maman. (Je savais que ce que je m’apprêtais à dire allait les faire souffrir tous les deux.) Je ne suis pas venue ici pour ça…

— Ne me gâche pas mon plaisir ! (Quand je levai les yeux au ciel, elle me tourna le dos.

Mon père était arrivé à la porte. Il se demandait visiblement ce qui se passait.) Wit, tu ne devineras jamais ce qui vient de se passer ! Reece a appelé notre fille « sa Roxy ».

— OK, répondit-il lentement avant de saluer Reece d’un geste de la tête. Il était temps, mon garçon.

Lorsque je dépassai Reece sur les marches, je lui donnai un coup de coude bien placé dans le ventre. Son grognement me donna une certaine satisfaction.

Au bord des larmes, ma mère se poussa vivement de notre chemin, en manquant faire tomber les pots de chrysanthèmes orange et violet. Puis, elle se figea et se tourna vers Reece.

— Il faut que j’appelle ta mère. On doit…

— Oh, pour l’amour du ciel ! m’exclamai-je en levant les bras en l’air. Quelqu’un s’est introduit dans mon appartement au beau milieu de la nuit et a pris une photo de moi en train de dormir. Ce qui signifie que je suis probablement suivie par un malade. C’est pour ça que je suis ici !

Mes parents me dévisagèrent tous les deux.

— Le tact, Roxy, le tact, me souffla Reece.

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Il posa une main de chaque côté de moi et baissa la tête. On était tellement proches l'un de l'autre que je pouvais voir que ses yeux étaient plus verts que marron. Alerte rouge. Alerte rouge ! On était trop près l'un de l'autre !

- Et crois-moi, Roxy, je ne te vois pas du tout comme une soeur.

- Ah ?

Mes lunettes commençaient à glisser sur mon nez.

- ça ne me dérangerait pas de te connaître plus intimement, annonça-t-il de but en blanc.

Comme ça. Direct.

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-Je peux te dire quelque chose ? me demanda Reece.

-Tu peux tout me dire.

-Je m'en souviendrai, attention, répondit-il sur le ton de la plaisanterie. Je n'aime pas dire au revoir.

Je fronçai les sourcils.

-Je... Je crois que tu me l'as déjà dit une fois.

-Oui. Je t'ai dit que toi et moi, on ne se disait pas au revoir, qu'on devait s'embrasser. On peut se dire tout ce que tu veux, mais jamais au revoir.

-Pourquoi ? murmurai-je alors que je connaissais pertinemment la réponse.

Il marqua une pause.

-C'est trop définitif, surtout avec un métier comme le mien. Je ne veux pas que "au revoir" soit la dernière chose que tu entendes de ma bouche. Si j'ai le choix, ça ne sera jamais la dernière chose que je te dirai.

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Les yeux curieux d'Avery se posèrent sur nous successivement.

- Alors, vous... euh...

- Avez rejoint l'organisation secrète des couples tellement beaux que c'en est écœurant? termina Katie en apparaissant soudain.

[...]

- Évidemment, ma bonne dame. La réponse est oui!

Reece la regarda d'un air blasé.

- Quoi? Je te mets au défi de renier ce titre, le taquina-t-elle. Allez, vas y! Ça illuminera ma journée.

Je gloussai.

- Je n'allais pas renier quoi que ce soit, rétorqua Reece. Mais merci d'avoir gâché la surprise.

La seule réaction de Katie fut de se balancer sur ses talons de dix centimètres de haut. Puis, elle se retourna et frappa dans ses mains.

- Reece et Roxy, dont les noms sonnent tellement bien côte à côte, font des choses ensemble!

- Oh, mon Dieu, murmurai-je, les yeux grands ouverts.

- Bon...c'était une façon de l'annoncer, dit Reece en soupirant.

Plusieurs têtes se tournèrent dans notre direction. Jax, qui se tenait près du barbecue, leva la main et... le pouce? C'était une blague?

- Je suis tellement fier de nos bébés! s'exclama Nick, affalé sur une chaise longue beaucoup trop petite pour lui. ( Il avait relevé la capuche de son sweat et ses lunettes noires lui donnaient un air mystérieux.) Ils ont tellement grandi... Qu'est-ce qu'on va faire, maintenant?

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"Je suis allergique au Trône de Fer parce que je n'arrive pas à suivre: trop de morts! N'insulte pas Doctor Who, si tu veux rester mon ami..."

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Dans sa main se trouvait mon fidèle et bien utile vibromasseur. Comment avais -je pu oublier qu'il se trouvait au même endroit que les préservatifs? Le visage en feu , je fixai l'objet qui me faisait office de petit ami depuis un bon moment. Il était plutôt mignon, avec sa forme de lapin.Et il était rose. Rose vif.

-Pousse -toi.Il faut que j'aille sauter d'un pont. Genre ,tout de suite.

Il eut un sourire en coin.

-Pas question. Ça me plaît beaucoup. J'adore l'idée que tu t'en serves . (Son sourire se fit malicieux. )Je meurs d'envie de le tester sur toi.

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Mon frère était carré, comme mon père, et il avait hérité de la vue pourrie de ma mère. Cependant, ses lunettes ne glissaient jamais sur son nez comme les miennes. Gordon sourit de cette façon qui annonçait qu'il allait me mettre la honte.

-Tu sais qu'elle a le beguin pour toi depuis qu'elle a quinze ans?

-Mon cœur, dit Megan en secouant la tête.

Reece sourit.

-Ne t'inquiète pas, je suis au courant.

-Tout le monde le savait, confirma Gordon. Elle a même dessiné ton visage sur les murs de sa chambre. Papa a dû repeindre par-dessus...

-Gordon! La ferme! M'exclamai-je.

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Le manque de sommeil commençait à me rattraper et mon humeur se situait quelque part entre "Allez tous vous faire foutre land" et "Vous n'avez pas intérêt à m'emmerder ville".

A mesure que la nuit progressait, je m'en éloignais de plus en plus pour me diriger lentement mais sûrement vers "la vie, c'est trop nul city".

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- Tu es le seul adulte sur Terre à vouloir un poney

- Moi, je veux un lama.

Reece me regarda, les lèvres pincées, comme s'il remettait déjà en question notre nouveau statut.

- Pourquoi un lama ?

La curiosité de Calla paraissait sincère.

Je haussai les épaules.

- Pourquoi pas ?

- Euh... (Avery fit la grimace.) Ça crache, non ?

Jacob la fit taire d'un geste avant de me sourire à pleine dents.

- Je crois qu'on va bien s'entendre tout les deux ! Et ton lama et mon poney pourraient être amis. Oh ! Je suis sur qu'Ollie pourrait leur fabriquer des laisses sur-mesure. J'en veux une avec du cristal Swarovski dessus.

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