Journal d'Hirondelle

Une histoire étonnante, pour ne pas dire bizarre, d'un homme dépourvu de sensations qui découvre l'amour grâce à son métier de tueur à gages. Un lyrisme déconcertant qui nous permet de pénétrer l'âme de cet antihéros en quête d'identité.

Une lecture déconcertante, courte mais intense.

Etrange mais saisissante lecture. Ce livre est très bien écrit.

Si poétique et si troublant.

Une ode à l’amour, une ode à la mort.

Un texte si rafraîchissant qu’il en paraît froid.

Une inexplicable dualité se passe entre ces pages.

Un roman typique d'Amélie Nothomb, où l'on se découvre les pensées et la crise existentielles d'un tueur à gages. Un mélange audacieux et atypique de froideur et de tendresse, de quête du sens et de réflexions troublantes. Ce court roman m'a complètement déstabilisée car sans m'attacher ou me retrouver dans le personnage d'Urbain, je me suis pourtant vue comme dans un miroir angoissant face à cette tristesse, ce nihilisme et ce vide compensé par un imaginaire incroyablement délicat.

En vérité, on passe son temps à lutter contre la terreur du vivant. On s'invente des définitions pour y échapper : je m'appelle machin, je bosse chez chose, mon métier consiste à faire ci et ça.

Franchement bizarre cette histoire un homme qui change du jour au lendemain de personnalité de métier et puis l

'Histoire du journal intime sérieusement j'ai pas tout pigé

Après une rupture amoureuse, le héros de ce roman ne saurait plus ressentir d'émotions jusqu' à l'écoute du groupe Radiohead et une rencontre professionnelle qui va bouleverser le cours de sa vie...

Nous allons à la rencontre d'un narrateur qui s'est isolé à l'intérieur de sa souffrance amoureuse. Pour s'étourdir et ressentir à nouveau, il se frotte au brut et à l'extrême.

Il devient urbain, tueur à gages et s'électrise d'une jouissance accomplie. C'est froid, glaçant, aseptisé jusqu'au face-à-face qui remet tout en question. L'amour l'a cueilli, comme il a cueilli sa frêle et fragile victime. D'elle, il ne sait rien, mais il garde le mystère intime de ses confidences.

L'écriture est grave, belle, lettrée. Drame, folie, meurtres nous caressent furtivement et nous empoignent pour le plus pur des suaves plaisirs. Amour et souffrance s'embrassent et s'embrasent dans une même et unique combustion. On s'éprend du délire du jeune homme, qui étouffe son amour dans l'œuf. Le style est crucial, affûté, original.

Court et impitoyable : une parenthèse sublime, comme on aime.

Il s'agit d'une courte histoire, étonnante et quelque peu dérangeante pour certains passages. On y suit le quotidien d'un homme qui devient tueur à gages au fur et à mesure des pages,qui n'a jamais été attiré par les femmes mais qui tombe pourtant fou amoureux de sa jeune victime en lisant son journal.

La plume d'Amélie Nothomb est fidèle à elle-même : surprenante, voire tranchante.

Je dois avouer que ce livre me laisse cependant encore en suspens : est-ce que j'ai aimé ou non ce livre? Je ne sais pas. Je suis cependant contente de l'avoir lu.

Drôle d'histoire, vraiment sans intérêt d'après moi. Je pense que le thème aurait pû donner une bonne histoire mais là, c'est raté.

C’est une lecture courte qui se lit rapidement; l’histoire était sympa sans plus.