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Extrait ajouté par Eren 2014-01-31T15:41:07+01:00

Un coup de foudre, voilà ce qui m'arrive ! Les mains qui tremblent, l'envie de pleurer, les papillons dans le ventre… si c'est pas une gastro, c'est un coup de foudre. Bordel. Cette sensation, je la connais, je l'ai déjà éprouvée, quand je suis rentré en classe de philo et que j'ai vu Jacques pour la première fois. Je n'ai pas oublié cette sensation, et l'hébétude qui a suivi. C'est fou et… comment peut-on avoir un coup de foudre pour quelqu'un qu'on aime déjà ?

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Extrait ajouté par Lena06 2013-11-18T11:00:05+01:00

J'aime son visage, son expression juste après l'orgasme, cette douceur, cette tendresse un peu inquiète, la fragilité qu'il laisse transparaître, juste là, juste pour moi, rien que pour moi, avant que l'humour et la désinvolture habituelle ne la remplace. Je ne peux imaginer ni supporter l'idée que d'autres, hommes ou femmes, puissent un jour le voir comme je le vois, nu et grave... il est à moi. Je me découvre ombrageux et jaloux.

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Extrait ajouté par Eren 2014-01-31T15:38:47+01:00

Au fond, Bast, t'es comme la mer, comme ma Méditerranée. J'ai beaucoup navigué sur ses eaux, comme j'ai navigué sur toi, je connais ta houle, tes anses secrètes, tes hauts fonds, mais je sais que comme elle, je ne te connaîtrai jamais entièrement, je ne te maîtriserai jamais. Ta surface est calme, claire et paisible, mais tes profondeurs sont abyssales, et tu peux perdre le marin trop confiant dans tes terribles tempêtes.

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Extrait ajouté par Lena06 2013-10-26T19:50:10+02:00

Des gouttes d'eau de mer scintillent sur ses joues, au bout de ses cils, sur ses lèvres... timidement je l'embrasse. Juste un chaste baiser, mes lèvres sur les siennes, je les frôle, les goûte...C'est mon premier baiser. Notre premier baiser.

Du bout de la langue, j'attrape au coin de sa bouche une gouttelette salée. Je caresse ses lèvres, lentement. Il les entrouvre, sa langue vient goûter la mienne. Elles se touchent, se découvrent, s'apprivoisent...c'est frais, doux, mouillé, salé, c'est merveilleux. Bouleversant

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Extrait ajouté par lau21 2013-10-09T17:18:41+02:00

Pauvre petit or­phe­lin… le mot me frappa comme une claque. Pire que ça. Un coup de mas­sue. Je ne m'étais ja­mais senti comme un or­phe­lin… je ne pen­sais pas, je ne vou­lais pas qu'il existe un mot, un nom com­mun, pour dé­si­gner ce que j'étais, ce qui m'était ar­rivé.

C'était comme me ra­bais­ser, ra­va­ler la mort de mes pa­rents au rang d'une simple anec­dote, une note de bas de page sur mon car­net sco­laire. C'était in­to­lé­rable. Ce mot, lancé sans mé­chan­ceté par un gar­çon de ma classe à la ré­créa­tion, m'a laissé pé­tri­fié, blême, le cœur au bord des lèvres, les poings ser­rés de ré­volte, au centre d'un cercle de vi­sages ano­nymes, et j'ai pensé que j'al­lais me dés­in­té­grer, là, de­vant tout le monde, me bri­ser en mille mor­ceaux, m'épar­piller aux quatre vents. Alors, un gar­çon a fendu la foule, bravé l'es­pace vide qui m'en­tou­rait, pour venir prendre ma main.

— Tai­sez-vous, bande de cré­tins, il a crié de sa voix chan­tante et fluette, et sa main chaude dans la mienne, il m'a tiré der­rière lui, à la re­morque, bri­sant le cercle de corps, et m'em­me­nant, hé­bété, dans un coin de la cour. Nous nous sommes assis sur un banc. Sans lâ­cher ma main, il s'est tourné vers moi.

Son fin vi­sage ambré était tout au­réolé de boucles noires en ba­taille, ses que­nottes blanches étin­ce­laient dans un sou­rire si franc, si joyeux, que je me sen­tis mieux ins­tan­ta­né­ment, comme s'il avait souf­flé sur les nuages pour éclair­cir le ciel. Comme le bai­ser ma­gique de maman lorsque je me fai­sais mal. Il me sem­blait ex­tra­or­di­naire, exo­tique avec ses che­veux si noirs, sa peau cou­leur ca­ra­mel clair, et ses yeux… de grands yeux comme du cho­co­lat fondu, qui ré­chauf­faient mon cœur.

— Salut, je m'ap­pelle Théo… enfin, Théo­crates, mais c'est trop long, alors tout le monde m'ap­pelle Théo.

— Moi, c'est Bas­tien. Bas­tien Hel­ler. J'ar­ti­cule avec peine, d'une voix qui me pa­raît fade et pâle à côté de la sienne.

— Oui, je sais qui tu es, je suis dans la même classe que toi. Je suis content de te connaître. Je vou­drais qu'on soit amis. Les autres sont pas mé­chants tu sais, même plu­tôt sym­pas pour cer­tains, mais c'est que des co­pains. J'ai pas de vrai ami. Tu vou­drais bien être mon ami rien qu'à moi ?

C'est avec ces mots qu'il a conquis mon cœur à ja­mais, mon Théo.

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Extrait ajouté par Marionvln 2019-05-28T18:29:40+02:00

Il y avait nous, et le reste du monde, et je me moquais bien du reste du monde

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Extrait ajouté par Marionvln 2019-05-25T18:15:11+02:00

Homme ou femme, qu'importe qui on aime, du moment qu'on aime...

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Extrait ajouté par Marionvln 2019-05-24T20:18:28+02:00

Mais la vie n'a rien de juste. Dans le meilleur des cas, elle est comme un bouquet de roses, fleurs épanouies et odorantes au dessus, tiges ligneuses en dessous, et des épines qui s'enfoncent en nous jusqu'au sang.

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Extrait ajouté par HeathOnly 2018-10-01T13:53:41+02:00

"Inodore, incolore et sans saveur… je suis en train de me dissoudre dans le néant, et personne ne s'en aperçoit. Je ne crie pas, je ne fais pas de vague, je me noie en silence."

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Extrait ajouté par HeathOnly 2018-10-01T13:52:07+02:00

"C'est bizarre, je pensais que je n'arriverais pas à écrire une ligne et en fait, la narration me vient facilement. Comme si mon cœur n'avait attendu que la pointe de ce stylo bille pour s'épancher sur le papier. Cela me fait mal quelque part, mais en même temps cela me fait du bien, de me replonger ainsi dans le passé."

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