Kilari, Tome 9

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Maintenant que les soucis d’Hiroto sont résolus, Kilari peut se recentrer sur sa carrière d’idole, et surtout sur le nouveau défi qu’elle doit relever : lancer sa propre collection de vêtements ! Mme Kumoi, sa manager, est là pour superviser.

Sa manager « fraîchement débarquée de l’anime », devrais-je préciser. J’avais déjà souligné cet aspect crossover dans une précédente chronique, et il m’agace toujours autant. M’enfin, il faut voir le côté positif : les personnages sont tellement creux que ceux qui proviennent d’ailleurs ne pèchent pas plus que les originaux par leur manque de développement.

Que dire de l’intrigue en elle-même ? Elle n’est pas aussi pathétique que le mini-arc d’Hiroto qui a monopolisé les deux derniers tomes, ce qui est presque une qualité en soi, même si (j’aurais bien écrit « malheureusement », sauf que ça impliquerait que j’attends encore quelque chose du manga, ce qui n’est pas le cas) ça ne va pas chercher bien loin. Pour changer.

L’auteur nous ressort le scénario bateau qu’elle répète en boucle depuis le début : la carrière de Kilari doit franchir un nouveau cap, la jeune quich… pardon, fille, s’efforce de réussir malgré les difficultés et les coups bas portés par de viles individus, et bien sûr, elle triomphe, parce que c’est l’héroïne d’un shojo pour enfants, et une héroïne de shojo pour enfants, ça triomphe toujours.

L’apparition éclair de Fubuki m’amène à déplorer (encore) qu’elle ne soit pas plus mise en avant, étant donné qu’il s’agit de la seule pour qui j’éprouve un minimum d’estime, mais bon… On ne peut pas recycler pour la centième fois les gags autour de Na-san et approfondir une relation qui aurait pu se révéler moins inintéressante que le reste.

Je vais donc m’efforcer de puiser du réconfort là où je suis susceptible d’en trouver, c’est-à-dire dans le fait que je vais entamer les tomes à deux chiffres… La fin est proche, ouf !

Kilari est un manga que je recommande vivement aux amateurs de comédie et de romance. Les moments drôles et romantiques entre Kilari et les autres personnages sont tout simplement adorables.

Kilari lance sa propre marque de mode! Je crois que nous ne l'avons jamais vu autant grandir et mûrir qu'à travers ce tome. Je trouve ses réflexions bien plus poussées et cela les rendent très intéressante.

Toujours une belle complicité entre les Ships et Kilari, sans oublier Na-san qui sauve toujours la mise dès qu'il peut. Un très bon tome en perspective, probablement l'un de mes préférés. Hâte de lire le suivant et de découvrir quelle aventure est réservée à la jeune idole.

Concernant les histoires bonus : ravie de retrouver Erina, mais surtout de revoir Subaru, le frère de Kilari. J'ai beaucoup aimé voir l'une des rivales de Kilari, aussi ironique soit-il, tomber amoureuse de son frère.

Le dernier bonus est vraiment adorable et laisse sur une note positive, une fois de plus.

Kilari se retrouve face à un nouveau défi : Créer sa propre marque de vêtement et ouvrir sa boutique !

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À l'aide de son nouvel agent, Mme Kumoi, Kilari va devoir redoubler d'efforts pour réussir à temps à terminer les design de sa collection, de son magasin ainsi que d'en faire la promotion.

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Mais qui dit nouveau défi dit nouvelles complications !

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Kilari gagne de plus en plus en maturité au fil des tomes ça fait plaisir à voir.

S'adresse toujours à un très jeune public, mais les graphismes sont cool.

Enfantin mais toujours mignon et amusant

Très bonne lecture !

Toujours aussi drôle bien vite la suite !

Une série enfantine. Cucul la praline. Mais cela reste agréable à lire malgré tout.

Bon l'histoire est un peu trop cucu maintenant... Jusqu'où ça va allait ?

Un peu "cucu la praline" comme tous les autres.