Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Il y avait une fois un marchand qui était extrêmement riche. Ses filles étaient très belles, mais la cadette surtout se faisait admirer; ainsi tout le monde l'appelait La Belle...
De retour d'un voyage le marchand se perdit et trouva refuge dans le château de la Bête, qui lui demanda une de ses filles. La Belle, pour sauver son père, accepta de devenir la prisonnière de la Bête...
Une nuit, Belle rêve qu'elle se trouve dans le jardin du palais. Elle voit la Bête couchée sur l'herbe, prête à mourir, qui lui reproche son manque de parole. Alors, Belle se réveille en sursaut et verse des larmes.
- Ne suis-je pas bien méchante, dit-elle, de donner du chagrin à la Bête, qui est si bonne avec moi ? Est-ce sa faute si elle est si laide ? Elle est bonne, cela vaut mieux que tout le reste. Pourquoi n'ai-je pas voulu l'épouser ? Je me reprocherai toute ma vie mon ingratitude.
Belle se rappelle alors ce que lui avait dit la Bête avant qu'elle ne parte : << Quand vous n'aurez qu'à mettre votre bague sur la table en vous couchant. >>
Aussitôt, Belle se lève, pose la bague sur la table, puis se recouche.
Il me semble avoir déjà découvert ce roman il y a fort longtemps, au collège je dirais, mais l'avoir (re)découvert était sympa. Bon il était très court mais ce n'est pas grave haha. Le plus intéressant finalement à été la comparaison que j'ai faite avec le Disney vu le weekend précédent ! Les messages et la morale était cool mais après ce n'était pas non plus la lecture de l'année.
La Belle et la Bête est un grand classique, qu'il est toujours sympathique de (re-)découvrir. Cette édition propose d'autres contes moins connus, ainsi que des dossiers intéressants, notamment pour les jeunes lecteurs. La lecture est rendue d'autant plus facile que les mots "compliqués" sont expliqués.
C'est avec grand plaisir que je découvrir la version original de La Belle et la Bête.
Cette histoire est celle que je préfère chez Disney mais quand même loin de celle-ci.
Spoiler(cliquez pour révéler)J'ai découvert que Belle était la cadette. Qu'elle avait deux grandes soeurs et trois grands frères.
Que son père avait été riche avant de devenir pauvre.
Que plusieurs éléments ont été rajouté par l'adaptation de Disney tel que la rose qui se flétri et j'en passe.
J'ai adoré découvrir cette toute première version de mon compte préféré. Même si plusieurs diront que Belle souffre du syndrome de Stockholm et de zoophilie.
Récit de mon enfance renforcé par les très très très nombreuses adaptations cinématographiques. Un très beau récit qui ne vieillit pas et dont l'autrice a laissé un souvenir impérissable et incroyable. Une très bonne lecture.
La Belle et la Bête écrit par Madame Leprince de Beaumont est un conte pour jeune fille bien éduquée de l'aristocratie et bourgeoisie du XVIIIe siècle.
En effet, ce conte est un extrait de l'œuvre : "Dialogues d'une sage gouvernante avec ses élèves" qui est une version que c'est appropriée l'autrice. La version originale paru en 1740 (soit une quinzaine d'année auparavant) est l'œuvre de Madame Barbot de Gallon de Villeneuve, plus fantastique et surtout beaucoup plus long, semble-t-il.
Ici Madame Leprince de Beaumont cherche à débattre de la vertu d'une jeune fille bien rangée mais pas trop non plus. En effet, elle est, ce que je pourrai qualifier de féministe avant l'heure : une féministe intelligente qui réinvente Belle comme une jeune fille téméraire mais respectueuse de sa place dans la société telle qu'elle était au siècle passé.
Le lecteur ne peut qu'admirer Belle non seulement pour sa beauté jalousée par ses ingrates de sœurs au cœur de pierre, mais surtout à travers l'acceptation de ses actes : le désintéressement matériel à l'enrichissement par l'amour de son prochain. Et même, si heureusement, la plupart du temps à notre époque nous vivons avec la personne que l'on a choisit, Belle n'avait pas notre liberté actuelle et par son sacrifice va cependant renaitre à travers une affection grandissante et fait le choix d'épouser la bête.
Intéressant, non ? Mais voilà, j'ai essayé de prendre du recul et je pense sincèrement qu'il y avait deux lectures possibles.
La première : on lui impose un homme qu'elle découvre, qu'elle apprend à aimer et accepte sa destinée qui est , entre nous, un beau conte de fée et c'est le choix définitif de Belle
La seconde : elle aurait pu faire le choix de ne jamais épouser la Bête, la respecter et attendre qu'elle s'éteigne tranquillement dans ses bras, ce n'est pas de la compassion mais seulement une présence, mais elle n'a pas choisit cette option.
Dans la première lecture, le choix lui est imposé et elle s'en accommode plutôt bien, comme dirait feu mon arrière-grand-mère : "Quand tu es attelée à la charrette, ma fille, il faut bien la tirer" ou encore "Marie-toi, ma fille, l'amour ça vient après". Choquant !! non simplement d'époque.
Alors qu'avec l'autre lecture , le choix ne lui est pas imposé c'est simplement son propre choix : accepté la Bête comme elle est.
A vous de vous faire votre propre avis sur son amour pour la Bête, est-elle de son propre choix ou justement est-il né d'un non choix ?
Madame Leprince de Beaumont était sans doute trop éprise de liberté pour y répondre clairement car en découvrant sa vie et ses propres choix, la réponse semble évidente et la lecture de ce conte plus claire, ...
Résumé
Il y avait une fois un marchand qui était extrêmement riche. Ses filles étaient très belles, mais la cadette surtout se faisait admirer; ainsi tout le monde l'appelait La Belle...
De retour d'un voyage le marchand se perdit et trouva refuge dans le château de la Bête, qui lui demanda une de ses filles. La Belle, pour sauver son père, accepta de devenir la prisonnière de la Bête...
Afficher en entier