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La Duchesse de Langeais



Description ajoutée par bookemixer 2010-05-28T09:46:06+02:00

Résumé

A l'égal de la princesse de Clèves et de la Sanseverina, la duchesse de Langeais est l'une des grandes divinités féminines de notre littérature. Elle réunit en sa personne le triple prestige de la beauté, de la naissance et du malheur. Issue d'un sang illustre, Antoinette de Navarreins voit le jour en 1794, sous la Terreur, une bien sombre étoile qui sera pour elle la marque du destin. Quelque vingt ans plus tard, séparée de son mari abhorré que lui avait imposé un père indifférent, c'est l'une des gloires mondaines du Faubourg Saint-Germain. Mais que dissimule la coquetterie glacée de cette aristocratique Célimène ? Et par quel étrange sortilège l'incandescente passion d'Armand de Montriveau va-t-elle à son tour la consumer ? Comme tout vrai chef-d'œuvre, ce " roman noir " - primitivement intitulé " Ne touchez pas à la hache " - est pour partie une autobiographie sublimée, c'est-à-dire le contraire d'un roman à clefs. " Moi seul sais ce qu'il y a d'horrible dans La Duchesse de Langeais ", confiait Balzac à l'un de ses proches. C'est pourquoi l'œuvre conserve, depuis plus d'un siècle et demi, son mystère et sa force de séduction.

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Classement en biblio - 211 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par JoyOpale 2016-04-27T14:14:20+02:00

Il descendit la rue montueuse qui conduisait à cette église, et ne s'arrêta qu'au moment où les sons graves de l'orgue ne parvinrent plus à son oreille. Incapable de songer à autre chose qu'à son amour, dont la volcanique éruption lui brûlait le coeur, le général français ne s'aperçut de la fin du Te Deum qu'au moment où l'assistance espagnole descendit par flots.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Florence-354 2023-12-03T07:53:12+01:00
Pas apprécié

je n'ai pas trouvé ce livre intéressant.... Un peu trop plat a mon gout

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Commentaire ajouté par amelefebvre 2023-06-28T15:48:55+02:00
Pas apprécié

Tenté en audio, abandonné au deuxième chapitre, voix du conteur insupportable, je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire

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Commentaire ajouté par IndusMax 2023-04-05T19:05:56+02:00
Or

J'ai bien aimé... Balzac est de mes auteurs de cœur.

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Bronze

Commence une histoire d’amour contrarié des plus mélodramatiques entre Antoinette et Armand. Elle, allumeuse par excellence, se joue des excès de son amant qui prouve son amour et lui se désespère d’obtenir un jour ce qu’il désire. Leur jeu de “fuis moi je te suis” entre les deux personnages va mener à des conséquences démesurées, dépassant même les limites du ridicule. S’inspirant de sa propre déroute sentimentale avec la duchesse de Castries, Balzac semble ici se venger en faisant payer à Antoinette toutes ses manigances amoureuses.

Ce mélodrame s’accompagne d’une critique que l’auteur propose de la Parisienne et de la déchéance de la noblesse française. Si La Duchesse de Langeais est présenté comme le roman le plus riche de l’Histoire des Treize grâce à ses aspects politique et romantique, il développe quelques digressions assommantes qui alourdissent cette histoire d’amour déjà trop longue. Balzac souhaite nous exposer tout le cheminement de la relation entre les deux amants, quitte à beaucoup se répéter au milieu du roman. Cependant, sa représentation du monde parisien reste intéressante à découvrir avec toutes ces fastes et ses belles robes prêtes à virevolter aux bals. À l’instar de Ferragus, La Duchesse de Langeais se conclut sur une note foncièrement dramatique qui colle parfaitement à l’atmosphère globale de ce

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Commentaire ajouté par rabanne73 2022-09-15T09:59:19+02:00
Lu aussi

Je me souviens d'avoir apprécié adolescente la lecture des trois récits composant cet ouvrage (Ferragus, La Duchesse de Langeais et La fille aux yeux d'or).

Mais si je ne me rappelle pas en détail la teneur exacte des différentes intrigues, j'avais trouvé Balzac plus audacieux et aventureux, moins ancré dans ce romantisme platonique qui avait pu m'exaspérer dans le lys dans la vallée.

Il y est question de franc-maçonnerie (les Treize), d'une mystérieuse engeance, d'adultère, de fuite, de tentative d'enlèvement, d'empoisonnement (Ferragus), de vengeance amoureuse (La duchesse de Langeais), de retrouvailles passionnées, mais aussi d'amour entre femmes (La fille aux yeux d'or)...

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Commentaire ajouté par Laurien 2019-09-12T21:03:25+02:00
Bronze

Tout d'abord, ce roman ne se rattache à la société secrète des Treize que par ses cinq dernières pages ; ces hommes du monde dévoués les uns aux autres, prêts à utiliser le crime, ne servent ici que de deus ex machina, puisqu'ils mettent leurs talents au service de l'un d'eux qui veut enlever une religieuse dans son couvent. Une déception de ce côté là donc, puisque j'attendais un roman différent.

Et c'est un roman sentimental que j'ai lu, même sentimentaliste. Balzac continue à décrire les femmes nobles du Faubourg-saint-Germain, orgueilleuses de leur rang et de leur honneur, jouant les coquettes pour séduire, sans chercher à s'attacher. La duchesse apparaît ainsi aussi insupportable que certaines héroïnes de Jane Austen qui minaudent, veulent leur cour d'adorateurs, mais sans rien promettre. Contrairement à d'autres héroïnes balzaciennes comme Henriette du Lys dans la vallée, la religion n'est qu'un prétexte pour se refuser à son amant qui n'est là que pour la distraire.

J'ai donc d'abord plein Armand, avant de voir toute sa violence cachée, étant prêt à marquer la femme qu'il dit aimer - comme Milady dans les Trois Mousquetaires ! Mais à la fin, la duchesse m'a parue plus intéressante dans sa souffrance que dans sa futilité. C'est donc une morale très balzacienne, on ne peut découvrir l'amour qu'en souffrant...

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Commentaire ajouté par Azza9 2016-08-31T11:15:41+02:00
Diamant

La Duchesse de Langeais est l'une de ses histoires d'amour magnifiques, qui fait rêver, et qui pourtant est si touchante par son caractère tragique et par la passion dévastatrice de ses deux personnages que l'on ne peut s'empêcher de refermer le livre beaucoup plus ému qu'on se l'imaginait l'être au départ. Cette histoire est bouleversante, comme l'est celle de La Dame aux Camélias, ou encore celle de La Confession d'un enfant du siècle, car toutes trois présentes des personnages forts, jouant avec les sentiments et se détruisant sans le vouloir au point d'achever leur relation sur une note tragique. Les personnages, disais-je, sont forts, mus par la passion, leurs ambitions, leur milieu social et les convenances qui obligent à respecter les apparences. Dans ce monde aristocratique, Antoinette de Langeais n'échappe pas aux règles en s'amusant à séduire les hommes par ses coquetteries, par ses paroles et ses attitudes pleines de calculs. C'est en cela qu'elle est détestable. Mais lorsqu'elle comprend son attachement pour Armand, qui a son tour se fait cruel, on la prend en pitié tout en espérant qu'il arrivera à la sortir de son couvent. L'action menée par l'amant est splendide et digne d'un héros, et la fin, pour ma part, m'est restée en travers de la gorge, qui n'a pas su dénouer le torrent d'émotion qui la submergeait. De plus, le style de Balzac aide énormément à embellir cette histoire, à en décrire les sentiments avec majesté et à ainsi l'inscrire dans ces fameux amours de la Littérature française. Certes, une dizaine de pages en début de chapitre étaient horriblement longues, car il expliquait l'histoire du couvent et du faubourg Saint-Germain, mais, même si cela vous lasse, poursuivez votre lecture, qui mérite le détour et vous chamboulera certainement.

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Commentaire ajouté par Judas_Cris 2015-09-28T21:32:12+02:00
Bronze

Premier Balzac lu, et je peux l'annoncer : ce n'est pas vraiment le genre de style qui me fait kiffer. J'aime bien lorsqu'une narration se pose en neutre et quand l'écrivain se retrouve à manier son histoire de sorte à ce que sa morale, son sens général, s'impose au lecteur de manière subtile, sans que l'auteur n'y intervienne directement. Avec Balzac, c'est tout l'inverse : l'auteur est toujours présent et c'est lui qui dit constamment quoi penser de quoi, il donne son opinion sur tout ce qu'il mentionne, et au final j'avais la désagréable impression que le travail de compréhension des évènements m'était pré-mâché, que l'opinion de Balzac m'était imposé sans la moindre objectivité. Moi qui aime les romanciers invisibles et retords à la Flaubert, me voilà bien déçu ici !

Mais enfin, cette lecture fut quand même plaisante, car le style de Balzac l'est, en quelque sorte qu'il nous mâche tellement la lecture que l'on peut lire parfois en pilote automatique sans perdre une seule subtilité. Le contexte historique était par ailleurs fort réussit et assez intéressant pour me garder attentif malgré l'histoire d'amour d'adolescent dont Balzac nous faisait de grands mots...

En bref, sympathique, mais pas mon style, l'intrigue m'étant finalement assez indifférente au final.

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Commentaire ajouté par Laliblit 2014-09-12T20:42:42+02:00
Lu aussi

C'est un très beau livre en soit.

J'aime beaucoup l'histoire malgré des passages où la compréhension m'a semblé vraiment difficile.

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Commentaire ajouté par Cha249 2014-02-24T17:49:06+01:00
Bronze

Une belle histoire malgré certaines longueurs qu'on peut pardonner puisque le roman est très bien écrit. Cependant, ce n'est pas du tout le meilleur de Balzac ni des trois romans de l'histoire des Treize.

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Date de sortie

La Duchesse de Langeais

  • France : 1993-01-07 - Poche (Français)

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2024-02-06T16:16:15+01:00

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