La faute d'orthographe est ma langue maternelle
Auteur
- Daniel Picouly (Écrivain)
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Classement en biblio - 15 lecteurs
extrait
"Je vais le tuer, mon instituteur ! J'ai dix ans. C'est le bon âge pour commencer une carrière de meurtrier... Je sais comment je vais le tuer. À coups de... fautes d'orthographe ! Le crime parfait, par excellence ! Du 20 sur 20 !"
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Un texte plus qu'une histoire mais écrit avec beaucoup d'humour, sur la dure condition de cancre de la classe. Le jeune garçon qui raconte l'histoire partage avec le lecteur son horreur de la dictée, les punitions humiliantes de l'instituteur dont il rêve de se venger ainsi que sa vie et la compréhension du monde des adultes qu'il a pour un enfant de son age. Très drôle c'est un bon petit moment de lecture à passé.
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Je n'ai pas tout saisi les subtilités du récits. Mais j'ai pu échanger avec Picouly quand je l'ai acheter et C'est quelqu'un d'adorable!
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Picouly jongle avec les mots et les réflexions sur l'école. C'est un livre tout en couleur et en image. En mouvements aussi. Un peu court mais un agréable moment.
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un livre rapide à lire et dont la lecture est trés agréable. L'auteur nous y livre une réflexion sur l'écriture, trés pédagogique et trés fine.
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Date de sortie
La faute d'orthographe est ma langue maternelle
- France : 2013-10-17 - Poche (Français)
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Résumé
description
"Je vais le tuer, mon instituteur ! J'ai dix ans. C'est le bon âge pour commencer une carrière de meurtrier... Je sais comment je vais le tuer. À coups de... fautes d'orthographe ! Le crime parfait, par excellence ! Du 20 sur 20 !"
Dans une classe d'école primaire, un gamin est debout sur son pupitre, les mains sur la tête, un cahier accroché autour du cou. Puni...
Pourquoi veut-il tuer son instituteur ?
Un texte à la fois généreux, drôle et émouvant, dans la lignée du Champ de personne, où l'écrivain Picouly se souvient du jeune Daniel, écolier fantaisiste et buissonnier, de son rapport à l'apprentissage, à la transmission, à la
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