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La fille qui cherchait son chien (et trouva l'amour)



Description ajoutée par Luxnbooks 2015-10-19T19:50:40+02:00

Résumé

Pas besoin d’être amoureux des chiens pour lire cette comédie profonde qui déploie des trésors d’humour et d’amour. Elle ravira tous ceux qui aiment rire et pleurer.

Une jolie psy qui ne tourne pas rond et qui a perdu l’amour. Une ado qui parcourt inlassablement les rues de la ville à la recherche de son chien. Un garçon amoureux en secret qui la suit. Une famille un brin bancale. Un séduisant célibataire qui fuit les sentiments…

Dans ce roman décalé et rafraîchissant, où bat le cœur de San Francisco, Meg Donohue brosse une galerie de portraits drôles et attachants où chaque personnage, toujours relié aux autres, cherche son chien à sa manière : avec nostalgie, avec passion, avec vulnérabilité… et finit par se trouver lui-même et rencontrer l’amour.

Un regard tendre et drôle porté sur les liens qui unissent les êtres humains entre eux, et à leurs compagnons les plus fidèles.

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Classement en biblio - 22 lecteurs

extrait

Lourdes considère qu'il en va des hommes comme de la conduite automobile : si on est suffisamment réveillé au volant, il y a moyen de voir le panneau " voie sans issue" à temps et de modifier son itinéraire.

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Commentaires récents

Pas apprécié

N'ayant plus forcément le temps de lire autant qu'avant (je pense qu'on constate ça assez facilement sur mon blog inactif ces dernières semaines...), j'avais envie d'un livre simple, rapide et léger. Un feel good book s'imposait et j'ai alors choisi dans ma bibliothèque La fille qui cherchait son chien (et trouva l'amour). Mais il m'a laissé un peu sur ma faim. Maggie est une psy pas tout à fait comme les autres car elle est spécialisée dans le deuil animalier. C'est elle que vous devez aller voir pour remonter la pente si vous ne parvenez pas à reprendre le dessus suite à la mort de votre toutou adoré. Elle est nouvelle dans la ville et reçoit les gens chez elle pour écouter leur peine et leur nostalgie. Mais finalement, "c'est l'hôpital qui se fout de la charité", comme on dit. Car Maggie ferait bien de voir un psy, elle aussi. Son problème ? Elle ne peut pas sortir de chez elle depuis la mort de son propre chien, compte les jours sans mettre un pied dehors, se lave les mains à l'eau très chaude plusieurs fois par jour et se gave de cachets de vitamine C qu'elle garde constamment dans sa poche. Comme dans beaucoup de lectures légères, on trouve un personnage à l'écoute mais... qui donc écoutera ce personnage ?! Cliché.

C'est Maggie que l'on côtoie la plupart du temps et on la voit habilement évoluer au fil des pages... sans pour autant qu'elle ne se soucie de pouvoir payer son loyer du fait qu'elle manque encore beaucoup de patients ; mais elle parvient visiblement comme par magie à vivre de sa profession. Celle-ci va la mener à rencontrer une certaine Anya, personnage un peu lisse et répétitif, qui a cruellement besoin d'aide mais qui n'en veut pas pour autant. C'est sur la quête d'Anya que repose la trame du livre et les diverses rencontres que fera le personnage principal. Mais ni l'une ni les autres sont trépidantes. La vie suit son cours dans ces trois cents pages en toute simplicité et les aventures de Maggie manquent souvent de rythme pour nous tenir en haleine et nous faire dévorer le roman. Et c'est dommage, car ça partait d'une bonne intention. En effet, les connaissances quant aux comportements canins ne manquent pas et on ne doute alors pas une seule seconde des compétences de la psy, bien que quelques paragraphes un peu redondants et lourds ressemblent parfois à un cours de psychologie ou de biologie d'une école de vétérinaire. L'optimisme est également ultra présent et c'est appréciable. Après tout, La fille qui avait perdu son chien (et rencontra l'amour), avec notamment son happy end, remplit alors complètement son rôle de feel good book, même s'il manque de toucher pleinement le lecteur. Quant à l'histoire d'amour de Maggie, elle pointe le bout de son nez un peu tard et se conclut rapidement.

Malheureusement, bien malgré elle, Maggie finit par agacer. Son trouble psychologique irrite autant les personnes qui l'entourent que le lecteur qui ne parvient pas malgré tout à la prendre en pitié. Par ailleurs, la thérapeute semble parvenir à en venir à bout comme par magie (pouf pouf !), du jour au lendemain, alors que franchir le portail de sa cour semblait presque la tuer quelques chapitres plus tôt. Oui, les chiens nous font du bien ; oui, on peut s'en sortir lorsqu'on en a la volonté ; mais ici, dans le roman, ça relève plutôt d'un coup de baguette magique que d'un coup de la réalité.

J'accorde un 4/10 à La fille qui cherchait son chien (et trouva l'amour). C'est un feel good book qui ne va pas assez loin et dont les répétitions et le manque de rebondissements gâchent la lecture. La légèreté est là mais sans aucun doute un peu trop présente pour que le roman soit un peu plus profond et plus captivant. Le plus petit plus réside dans les chiens ; tous les lecteurs qui possèdent un toutou sous leur toit se reconnaîtront dans le comportement que décrit l'auteur et l'amour que les personnages portent à leurs petits animaux de compagnie.

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Or

Un livre bien écrit qui parle de phobie difficile à traitée.On est agréablement surpris par la fin, il est vraiment facile à lire surtout au bord de la plage. La protagoniste, Maggie, est vraiment attachante et on veut vraiment l'aider comme tous les autres personnages. J'ai vraiment aimée car ce livre mélange l'amour, l'amitié, la peur pour former un livre haut en couleurs, passionnant et intriguant.

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Lu aussi

Je n’ai pas de grand reproche à faire à ce roman qui se lit facilement. Seulement il n’éveille pas vraiment de passion, l’héroïne est assez fade et les personnages secondaires qui pourraient épicer le tout sont presque caricaturaux.

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Argent

Même si mon genre de prédilection est le thriller psychologique, j’aime, après en avoir lus plusieurs d’affilée, faire une petite pause avec une lecture légère, touchante ou amusante. Et c’est après avoir lu la critique d’Iris29, début mars, que j’ai mis ce livre dans ma PAL.

C’est un petit roman, sucré comme un bonbon, doux comme du coton et plein d’affection pour nos amis à quatre pattes. Maggie, l’héroïne, psychothérapeute spécialisée dans le deuil animalier, et Anya sont touchantes. Les autres personnages Henry et Lourdes ne sont pas en reste. Quant à Giselle et Seymour, ils sont attendrissants… L’histoire est jolie, sans aucune mièvrerie, et traite de différents sujets : l’amitié, l’entraide, la solitude, l’amour (humain et canin) les phobies, le soutien affectif de nos amis les bêtes et des biens-faits qu’ils nous procurent. Certains passages sont amusants, d’autres sont plein de tendresse ou d’émotion.

Ayant eu moi-même 3 chiennes, des lévriers, deux whippet (l’une d’elles, copie conforme du chien en couverture et un lévrier saluki), je comprends les sentiments de Maggie et Anya. Ceux qui ont un animal se reconnaitront et ceux qui n’en ont pas apprécieront cette histoire tout autant...

Par contre, je n’ai pas compris le choix de la race du chien en photo sur la première de couverture. Et pourquoi avec une couronne sur sa tête ? Il y a plusieurs chiens, de race différence ou même "sans race" dans cette histoire, mais il n’y a aucun lévrier.

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Or

Un magnifique roman, qui a le pouvoir de nous remettre en question, j'ai follement aimé absolument tous les personnages, animaux compris.

Enfin pour une amoureuse des animaux ce roman a fait écho à mes propres sentiments. Je conseille fortement!

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Or

Maggie Brennan m’a prise au dépourvu. Je n’ai pas vu venir l’affection ressentie pour cette héroïne. La trentaine, elle exerce un métier particulier: psychologue spécialisé dans le deuil animalier. Sur le coup, je ne m’attendais pas du tout à cette version, je pensais au deuil mais pas en version poilu. Ses patients s’attachent à Maggie comme nous. Au fil des découvertes, les bizarreries, le caractère et ses angoisses prennent d’assaut le coeur du lecteur. Sous ses allures calmes, Maggie cache un assemblage de soucis. Elle n’a pas mis les pieds hors de son appartement depuis 98 jours. Pourquoi? Quel est le problème? L’envie d’en savoir plus tenaille de plus en plus. Sans parler de sa manie d’avaler un nombre incroyable de vitamines. Sa meilleure amie Lourdes tente de la sortir de la spirale dans laquelle elle s’enferme. Tout va changer avec une nouvelle patiente nommée Anya (pourquoi mon cerveau pense à Buffy en voyant ce prénom? Vous pouvez me le dire vous? ). Le destin réserve son lot de surprises et de coup de pouces. Peu à peu, Maggie et cette dernière s’amadouent, se lient, se complètent. Les deux jeunes femmes pansent les blessures de l’autre. Comment se remettre de la perte de son animal de compagnie? Comment passer à autre chose? Continuer à avancer sans cet ami à 4 pattes? Anya nie la mort de son chien. Elle refuse de le laisser partir. C’est touchant, émouvant et je n’ai pas pu m’empêcher de penser aux propres animaux que j’ai aimé et qui m’ont quitté. Difficile de leur dire au revoir… La plume de l’auteure Meg Donahue semble vouloir donner un hommage à ses animaux qui nous accompagnent parfois au quotidien, nous aime, nous offre leur affection… Elle y parvient avec une beauté délicate, une tendresse particulière. Les bienfaits des chiens sont présentés avec une telle magie dans les mots qu’il est quasiment impossible de résister. Parfois, dans la solitude, la seule lumière est ce petit compagnon à poils. Parfois, ils aident plus que ce que les apparences laissent penser… Ca laisse songeur dans un sens. Maggie change, sort peu à peu de sa coquille. Elle s’ouvre aux autres, se surpasse, tente de calmer et dompter ses angoisses. Elle redécouvre la vie. Elle permet aux personnes de dire adieu à ce chien qui a été un pilier de la famille pendant des années. (J’imagine pas la tristesse de perdre mon chien qui a grandi avec mes enfants…). L’héroine est un soutien, une aide précieuse pour ses patients dans ce travail de deuil. Elle m’a donné envie de la rencontrer en vrai. J’ai apprécié le rôle de Giselle. Un protagoniste secondaire qui a son importance. Ne croyez pas que l’atmosphère du livre ne tourne qu’autour de la mort, non, elle est teintée de pointes d’humour qui allège le ton. Puis son intrigue pousse à souhaiter tout savoir sur Maggie, sur son petit enfer quotidien, sur ses secrets… Optimiste, drôle, passionnant, La Fille qui cherchait son chien (et trouva l’amour) de Meg Donohue réserve bien des aventures. Maggie est un trésor. Le roman permet de voir comment le quotidien peut se métamorphoser, prendre une autre direction quand on l’attend le moins. Meg Donohue réussit à offrir un roman magnifique, émouvant, touchant, une belle histoire d’amitié et de destin avec les surprises qu’il possède dans sa besace. Parfois, les rencontres les plus étranges découlent sur de très beaux moments, et remises en question. Maggie trouve de l’aide là où elle n’aurai pas songé. Sa guérison mettra sur son chemin un charmant célibataire. Une lecture qui a été un coup de coeur. Un gros. J’ai été surprise par ce récit. L’évasion a été totale. Elle a donné naissance à une multitude de sentiments: joie, tristesse, bonheur… Un très beau message d’espoir, d’amitié, d’amour à découvrir. Je vous le recommande. -

See more at: http://www.newkidsonthegeek.com/croklecture-la-fille-qui-cherchait-son-chien-et-trouva-lamour-de-meg-donohue/#sthash.svLMa0UB.dpuf

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Argent

Tout d’abord, je tiens à remercier NetGalley France et les Éditions MOZAÏC, pour ce roman que j’attendais avec une grande impatience. Au premier abord, la couverture est assez surprenante et bien que je ne sois pas particulièrement fan, elle a suscitée ma curiosité et le résumé avait tout pour me plaire et j’ai été ravie de ma lecture, je ne pouvais pas espérer passer un moment plus chaleureux qu’en compagnie de nos héros, sans compter que l’intrigue est unique.

Maggie Brennan est une trentaine, psychologue spécialisé dans le deuil animalier, au premier abord son métier peut surprendre, mais même si son activité peine à démarrer, elle est en relation avec quelques clientes qui sont ravies de leurs séances. Si pour ses patiences elle est la psy idéale, de son côté elle a tendance à un peu trop s’attacher et le départ de ses patientes est toujours un moment difficile à passer. Sous les nombreux diplômes qu’elle affiche fièrement se cache une jeune femme engloutie par ses angoisses. Dès le premier chapitre on comprend qu’il y a un problème, puisque notre héroïne n’a pas mis les pieds dehors depuis quatre-vingt-dix-huit jours et elle se bourre de vitamines.

Et malgré toute la bonne volonté de sa meilleure amie, Lourdes ne peut qu’observer la souffrance de son amie sans réussir à lui faire sortir la tête de l’eau. L’arrivée d’une nouvelle patiente dans son cabinet va remettre en question sa vie et ensemble, elles vont s’aider mutuellement pour guérir et bien au-delà d’une relation médicale, va se développer une vraie amitié entre les deux jeunes femmes. De son côté Anya est en plein déni et n’accepte pas l’idée que son chien puisse être mort. Au fil des jours, au contact de la famille et de l’entourage de sa jeune amie, Maggie va commencer à sortir de sa coquille.

Je tiens à préciser que ce roman ne s’adresse pas nécessairement aux amoureux des bêtes, pour ma part je n’ai pas de chien et j’ai été pourtant très touchée par le thème du roman. Les chiens sont des compagnons fidèles et ce roman rend hommage à ces animaux qui sont bien plus que ça, au-delà de la relation qui va se développer entre un maître et son chien, c’est parfois un compagnon idéal pour surmonter une maladie, des angoisses ou tout simplement une solitude qui s’est instaurée. J’ai vraiment adoré la manière dont les chiens sont décrits, on démontre les bien-faits liés à l’animal et j’ai été touchée par ses maîtres qui avaient du mal à se remettre de la perte de leur animal, car au fil des ans, le chien fait partie à part entière des familles et Maggie va être d’un soutien infaillible pour les aider à traverser le deuil. L’adorable Giselle, va jouer un rôle déterminant dans la guérison de Maggie.

On pourrait croire qu’avec un tel sujet, l’ambiance serait un peu morbide et bien, l’auteure apporte une pointe d’humour remarquablement dosée. On est spectateur du combat de Maggie pour s’en sortir, le début se consacre beaucoup aux pensées de l’héroïne et je trouve ça indispensable pour comprendre l’enfer qu’elle vit, ces gestes du quotidien sont pour elle un véritable enfer, toutes ses pensées qui se bousculent lorsqu’elle tente de passer la porte de son domicile, sont indispensables pour comprendre parfaitement les raisons qui vont la pousser à se surpasser et surtout, on ne peut qu’apprécier cette jolie jeune femme qui va retrouver l’espoir et surmonter ses angoisses qui l’étouffent.

Meg Donohue a écrit un roman touchant où on découvre qu’une amitié peut se développer dans des circonstances particulières et que parfois les gens qui nous aident ne sont pas ceux à qui on aurait pu penser. En compagnie d’une jeune adulte perdue Maggie va apprendre à maîtriser ses angoisses et rencontrer un charmant célibataire, qui va lui donner des papillons dans le ventre qui n’ont rien à voir avec une éventuelle crise panique. Un roman idéal qui m’a permis de m’évader, j’avais besoin d’une lecture réconfortante et on peut voir que même dans la simplicité, on peut passer un bon moment. J’ai aimé sourire, éprouver de la tendresse, ou de la peine dans certaines situations, mais j’ai surtout adoré le message véhiculé par l’histoire. Je recommande chaudement que vous ayez ou non des animaux.

http://wp.me/p4u7Dl-1zb

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Date de sortie

La fille qui cherchait son chien (et trouva l'amour)

  • France : 2015-11-04 - Poche (Français)

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extraits 4
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Note globale 6.56 / 10

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