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Un petit Marseillais d'il y a un siècle : l'école primaire ; le cocon familial ; les premières vacances dans les collines, à La Treille ; la première chasse avec son père...
Lorsqu'il commence à rédiger ses Souvenirs d'enfance, au milieu des années cinquante, Marcel Pagnol est en train de s'éloigner du cinéma, et le théâtre ne lui sourit plus.
La Gloire de mon père, dès sa parution, en 1957, est salué comme marquant l'avènement d'un grand prosateur. Joseph, le père instituteur, Augustine, la timide maman, l'oncle Jules, la tante Rose, le petit frère Paul, deviennent immédiatement aussi populaires que Marius, César ou Panisse. Et la scène de la chasse à la bartavelle se transforme immédiatement en dictée d'école primaire...
Les souvenirs de Pagnol sont un peu ceux de tous les enfants du monde. Plus tard, paraît-il, Pagnol aurait voulu qu'ils deviennent un film. C'est Yves Robert qui, longtemps après la mort de l'écrivain, le réalisera.
Très bon livre que j'ai lu pendant mon adolescence, et que j'ai relu depuis! j'avais l'impression de sentir la garigue chez moi et d'entendre les cigales! J'adore vraiment son style d'écriture et j'avais l'impression de retomber en enfance! Alors pour les nostalgiques je le conseille fortement.
C'est un livre culte à lire au moins une fois dans sa vie, Marcel Pagnol est un écrivain accomplit. Je le recommande comme classique pour tous les âges
Une fois de plus, je vais détonner en vous avouant, que malgré les + de 150 livres que je lis par an, je n'ai jamais lu les Pagnol (ni vu les films d'ailleurs), comme quoi on peut être une passionnée de lecture et ne pas connaître ses classiques. Je répare donc cette carence en 2024 (mieux vaut tard que jamais), alors je ne vais vous faire un résumé, tout le monde connaît l'histoire de ce petit garçon qui passe ses vacance en Provence. J'ai trouvé le texte, plein de tendresse et de vérité : les insolences, la naïveté, les expériences de la vie, la découverte de la nature (beurk pour ce qu'ils font subir aux insectes). C'était une autre époque où il faisait bon vivre, où marcher plusieurs kilomètres ne faisait peur à personne, où chaque objet trouvait une utilité en retransformant les objets, rien n'était perdu, ni gaspillé. Que cette époque représente la vraie vie pour moi ! Je file lire la suite.
Je me suis grandement réjoui de cette lecture, plongeant dans le petit roman de Marcel Pagnol avec les yeux d'un enfant et toute son innocence. Certains passages ont réussi à me tirer des rires sincères. La manière dont l'auteur capture l'esprit de l'enfance est remarquable. Avec cette première expérience positive, je suis impatiente de me plonger avec plaisir dans la suite de cette histoire.
Un classqiue de la littérature française. L'amour de la famille, chérir les siens, être déçu de leurs défauts et imperfections, les souvenirs, encore et toujours, souvenirs qui perdurent, qui forgent une personnalité, sentiments partagés, universels. Voilà ce que m'a inspirée cette œuvre de Pagnol.
Une description romancée de l'enfance de Marcel Pagnol par lui-même, la description de la Provence est si fidèle que l'on peut sentir
l'odeur du thym et le serpolet en ouvrant le livre ! C'est avec bonheur que je me suis remis dans la lecture de ce roman, qui m'avait prodigieusement enchanté lors de mon enfance. Un chef-d'oeuvre littéraire .
Résumé
Un petit Marseillais d'il y a un siècle : l'école primaire ; le cocon familial ; les premières vacances dans les collines, à La Treille ; la première chasse avec son père...
Lorsqu'il commence à rédiger ses Souvenirs d'enfance, au milieu des années cinquante, Marcel Pagnol est en train de s'éloigner du cinéma, et le théâtre ne lui sourit plus.
La Gloire de mon père, dès sa parution, en 1957, est salué comme marquant l'avènement d'un grand prosateur. Joseph, le père instituteur, Augustine, la timide maman, l'oncle Jules, la tante Rose, le petit frère Paul, deviennent immédiatement aussi populaires que Marius, César ou Panisse. Et la scène de la chasse à la bartavelle se transforme immédiatement en dictée d'école primaire...
Les souvenirs de Pagnol sont un peu ceux de tous les enfants du monde. Plus tard, paraît-il, Pagnol aurait voulu qu'ils deviennent un film. C'est Yves Robert qui, longtemps après la mort de l'écrivain, le réalisera.
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