La Morte dans le labyrinthe

Je n’ai pas le premier tome de cette série, ni les suivants. Je n’ai que celui-ci que j’ai hérité lors d’un achat de lot de livres.

J’ai bien aimé sans plus.

Je me suis ennuyé, j’ai eue l’impression de lire le même récit que l’expiration par le sang de Peter Tremayne que j’ai lu il y a quelque mois. À quelque nuance prés...

Les faits historique sont intéressants sinon l’enquête en elle même n’est pas très prenante…

J’avais deviné qui était l’instigateur même avant le déroulé de l’histoire. Pas que je suis magicienne, mais tout est dit ou presque des les premières pages.

Vous aurez compris, si un de ses livres se faufille dans ma pal, je ne suis pas sûr de le lire…

Bonne lecture !

Comme pour le premier tome, j'ai eu du mal à accrocher à une histoire qui a pourtant tout pour plaire...

Un meurtre au XIIe siècle à la cour du roi Henry II d'Angleterre et une enquêtrice médecin légiste. Dit comme ça, ça en jette !

Mais l'écriture est loin d'être addictive, ce qui fait que je lisais à peu près 3 pages avant de devoir me secouer pour me reconcentrer. J'ai pas vraiment d'explication, c'est plus un sentiment, mais pour moi l'auteur est incapable de captiver son lecteur.

Ajoutons à ça de je hais le personnage principal de toute mon âme et nous obtenons une lecture plutôt difficile. Les réflexions anti-cléricales et pseudo féministes m'ont insupportée au plus haut point. Est-ce qu'on a vraiment besoin de ce genre d'opinion dans une intrigue qui se déroule au XIIe siècle ? Je ne crois pas, si l'auteur veut s'exprimer sur ces sujets qu'elle écrive une thèse ou un roman engagé du XXIe siècle. Mais couper un récit historique et policier avec des réflexions polémiques, très peu pour moi. Ça a encore plus contribué à gâcher ma lecture.

Je lirai le troisième tome en espérant qu'elle se calme mais franchement j'y crois pas trop.

Ce roman m'a marqué. Il m'a touché au plus profond de mon être. Il m'a dérangée, bousculée, écoeurée, dégoutée et fascinée… Oui, tout ça en même temps.

La dureté du moyen-âge, sa violence crue, la place de la femme dans la société de cette époque et le quotidien des hommes du moyen âge si bien dépeint, si dur….

Je recommande fortement ce livre par contre, attendez-vous à être dérangé dans votre petit quotidien bien douillet.

On ne peut que sortir changée d'une telle lecture!!

Un peu déçue par ce second roman, beaucoup moins passionnant que le premier. L'intrigue est assez lente et brouillonne. J'espère que le suivant sera meilleur...

Je termine "La morte dans le labyrinthe".

Un roman captivant par les personnages d'Adélia et de toute sa cohorte de compère dans l'Angleterre du XIIè siècle.

L'intrigue est captivante. On se plait à suivre les raisonnements déductifs d'Adélia.

L'écriture est facile, l'humour est bien amené. Les temps forts rythment le cours de l'intrigue.

Ariane Franklin ménage son suspense et même si l'on perçoit qu'il y a peu de lien entre les deux intrigues, il en ressort une sorte de complexité qui se dévoile à la fin du roman.

D'un point de vue historique, si tant est que certains personnages ayant existés n'ont pas eu les débordements décrits, il prennent toute leur importance dans ce contexte et comme on dit parfois, toute allusion à ces personnages est fortuite.

La suite de la Confidente des morts.

Différend du premier tome, un peu plus lent dû au scénario et plus porter sur l'histoire (un peu édulcorée) mais toujours aussi captivant. C'était un plaisir de retrouver Adelia et ses comparses, même si j'aurais bien aimé plus d'interactions entre eux.

Vivement que la suite soit traduite!

Un polar historique qui se laisse lire. Si l’auteur a le mérite d’avoir pris des figures historiques réelles et d’avoir gardé le souci de la cohérence par rapport à l’Histoire, quelques personnages sortent radicalement des portraits que l’Histoire a peint d’eux, notamment l’abbé Eynsham, l’auteur l’avoue elle-même à la fin du roman.

L’histoire se déroule en Angleterre sous le règne d’Henri Plantagenêt. Aliénor d’Aquitaine, sa femme et la mère de huit de ses enfants, est enfermée à Chinon car pousse ses fils à la rébellion contre leur père. Lorsque la favorite du roi, Rosemonde, est assassinée, tous les indices pointent vers Aliénor. Si sa culpabilité est avérée, cela signifierait une guerre sanglante entre un roi et sa reine. C’est ainsi qu’entre en scène Adélia, médecin des morts, afin de prouver l’innocence de la reine.

L’histoire est agréable, l’atmosphère du labyrinthe empreinte de mystère. Toutefois la mentalité des personnages a quelque chose qui m’a chiffonée. Si l’époque implique un obscurantisme profondément ancré dans l’esprit des gens, je trouve que la cause féministe, incarnée par Adélia et la reine Aliénor, prend beaucoup de place, jusqu’à en devenir limite étouffante. Les hommes sont alors une caricature du machisme affirmé, tandis que les deux femmes sont les porte-paroles incomprises de la cause féministe. Mettre une telle problématique en filigrane aurait été plus pertinent à mes yeux. Car même une reine ne pouvait afficher publiquement une telle pensée sans en pâtir.

C’est toutefois une lecture agréable avec une dénouement assez inattendu.

J'ai mis beaucoup de temps à terminer cet ouvrage. Le style de l'autrice est assez banal de mon point de vue et n'a pas rendu la lecture très attrayante. Je dirais même que j'ai trouvé plusieurs passages plutôt ennuyeux.

Mis à part cela, bien que cela soit tout de même un gros point négatif qui freine la lecture, j'ai trouvé que Ariane Franklin savait comment construire une intrigue. En effet, ce livre est un vrai polar, l'enquête est au centre du récit et est ponctuée de nombreux détails que le lecteur saura retenir mais pas forcément analyser pour découvrir le coupable. Pourtant, tout prend son sens à la fin du récit et la surprise est totale, j'ai déjà ressenti ce genre d'émotion face à un Agatha Christie par exemple, il y a là un véritable talent pour construire une intrigue. Dommage néanmoins que le style alourdisse considérablement le tout, ce qui rend l'enquête finalement moins attractive.

Quant aux personnages j'ai peu de chose à en dire. Ils sont assez simples et chacun dans un rôle prédéfini et cliché. Enfin quand les personnages sont développés, j'ai trouvé très dommage qu'on approfondisse pas les personnages comme Mansur par exemple, ou Gyltha. Quant à Adelia, il s'agit du personnage central, donc une femme assez simple, courageuse, faillible mais profondément honnête, combattant un amour impossible et protégeant son enfant contre tout. Une héroïne banale donc. On saluera tout de même son esprit féministe qui est la seule chose qui m'a semblé un peu original.

Bref, je n'ai pas spécialement apprécié cette lecture. Et je me suis aperçue qu'il y avait un tome avant ce livre au milieu du récit. Peut-être approfondira-t-il les autres personnages.