Ajouter une description
Liste des descriptions
Le narrateur mène une vie tranquille dans sa maison au bord de la Seine, en Normandie, lorsque d'étranges phénomènes commencent à se produire. C'est la carafe d'eau sur sa table de nuit qui est bue, des objets qui disparaissent ou se brisent, une fleur cueillie par une main invisible... Peu à peu, le narrateur acquiert la certitude qu'un être surnaturel et immatériel vit chez lui, se nourrit de ses provisions. Pire encore, cet être, qu'il baptise le Horla, a tout pouvoir sur lui, un pouvoir grandissant... S'il quitte sa maison, ce pouvoir disparaît ; mais bientôt, il ne peut plus sortir de chez lui, il est prisonnier. D'où vient cet esprit ? Du Horla ou de l'homme, l'un des deux doit périr.
Afficher en entierPar une belle journée de printemps, depuis son jardin, un homme salue un superbe trois-mâts qui passe sur la Seine. Mais, rentré chez lui, il est saisi d'un étrange malaise.
Bientôt surviennent des événements mystérieux.
Chaque nuit, de l'eau disparaît sans raison de la carafe posée sur sa table de chevet et son sommeil est interrompu par un même cauchemar : il croit sentir une créature invisible se pencher sur son corps et aspirer sa vie...
Afficher en entierAngoisse…Hallucinations…Folie…Un bourgeois, riverain de la Seine, raconte comment il a été saisi d'une angoisse grandissante à la découverte d'une présence invisible malfaisante qu'il a nommé le Horla.« Attendez. L'Être ! Comment le nommerai-je ? L'Invisible. Non cela ne suffit pas. Je l'ai baptisé le Horla. Pourquoi ? Je ne sais point. Donc le Horla ne me quittait plus guère. J'avais jour et nuit la sensation, la certitude de la présence de cet insaisissable voisin, et la certitude aussi qu'il prenait ma vie, heure par heure, minute par minute. » Il le perçoit, il le sent, mais il ne le voit pas. D'où vient le Horla ? De son âme tourmentée ou de son corps consumé ? De son corps consumé qui tourmente son âme ? Cet édition comprend une autobiographie de l'auteurPuisse cet ouvrage vous satisfaire
Afficher en entierLe narrateur confie à son journal l'expérience angoissante qu'il fait de la présence d'un être invisible auquel il donne le nom de Horla. Jour après jour, sa terreur augmente et les doutes qui l'assaillent le mènent aux portes de la folie.
Afficher en entierUn être invisible hante un personnage qui ne peut lui échapper. Une jeune morte réapparaît dans un château gardé par un étrange jardinier. Une main s'anime et tue l'homme qui la gardait chez lui comme un trophée...
Voici le sujet de trois des sept nouvelles de ce recueil,sept nouvelles fascinantes où le lecteur, confronté à des faits insolites et captivé par l'art du conteur,sent parfois vaciller sa raison.
Afficher en entierInvisible, indéfinissable, malfaisante, la "chose" rôde déjà autour de lui. L'homme est pris de fièvres, d'insomnies, de cauchemars. L'eau de sa carafe disparaît, la tige d'une rose se brise sous ses yeux, les pages de son livre se tournent d'elles-mêmes. Perd-il la raison ? A l'angoisse succèdent la peur et bientôt l'épouvante. Une lutte démoniaque se prépare entre l'homme et cette image maléfique de lui-même qui le dévore peu à peu et s'empare de lui. Qui est cet Autre qui maintenant crie son nom, "le Horla" ? "C'est lui, qui me hante ! il est en moi, il devient mon âme; je le tuerai !"
Le thème de la folie court comme un motif effrayant chez Maupassant, que la maladie mental emportera à l'âge de quarante-trois ans. Mais Le Horla, journal d'un fou, demeure l'œuvre d'un artiste au sommet de son art, une des plus troublantes de la littérature fantastique.
Afficher en entierLe Horla est le titre de deux nouvelles fantastiques de Guy de Maupassant parues en 1886 et 1887.
Le Horla trouve d'abord son origine dans une autre nouvelle de Maupassant, Lettre d'un fou, publiée en 1885 dans le quotidien Gil Blas, qui développe déjà la même histoire, sans que le nom de « Horla » n'y soit mentionné. Ensuite, la première version du Horla a été publiée en 1886 dans Gil Blas. La seconde version, plus connue que la précédente, est parue en 1887 dans un recueil de nouvelles homonyme1.
Les trois versions se présentent sous trois formes littéraires différentes : Lettre d'un fou, comme son titre l'indique, est une lettre fictive, la première version du Horla est un récit-cadre et la seconde version prend la forme d’un journal intime inachevé qui laisse craindre que son propriétaire n’ait sombré dans la folie ou ne se soit suicidé.
Le Horla, écrit pendant ses quelques moments de lucidité, marque les prémices de la folie de son auteur, qui est de plus en plus victime d'hallucinations et de dédoublement de la personnalité à cause de la syphilis qu'il a contracté, et qui est interné dans la clinique de l'aliéniste Émile Blanche après avoir fait une tentative de suicide en 1892, un an et demi avant sa mort survenue le 6 juillet 1893.
Afficher en entierQuel est cet être impalpable et mystérieux, cette présence tapie dans l'ombre, prête à bondir pour posséder sa proie ? Le narrateur du Horla relate dans son journal la traque insensée qu'il entreprend contre une étrange créature. Et le lecteur assiste, impuissant, à son inexorable chute dans les abîmes de la folie...
Dans une seconde nouvelle, L'Héritage, un couple s'efforce de faire un enfant pour toucher l'héritage d'une vieille tante. Mais l'enfant ne vient pas, et l'échéance approche. Que faire ?
Afficher en entier" Or, ayant dormi environ quarante minutes, je rouvris les yeux sans faire un mouvement, réveillé par je ne sais quelle émotion confuse et bizarre. Je ne vis rien d'abord, puis, tout à coup. il me sembla qu'une page du livre resté ouvert sur ma table venait de tourner toute seule. Aucun souffle d'air n'était entré par ma fenêtre. Je fus surpris et j'attendis. Au bout de quatre minutes environ, je vis, je vis, oui, je vis de mes yeux une autre page se soulever et se rabattre sur la précédente, comme si un doigt l'eût feuilletée. Mon fauteuil était vide, semblait vide ; mais je compris qu'il était là, lui, assis à ma place, et qu'il lisait. "
Afficher en entierQuel est cet être impalpable et mystérieux, cette présence tapie dans l'ombre, prête à bondir pour posséder sa proie ? Le narrateur du Horla relate dans son journal la traque insensée qu'il entreprend contre une étrange créature. Et le lecteur assiste, impuissant, à son inexorable chute dans les abîmes de la folie... Dans une seconde nouvelle, L'Héritage, un couple s'efforce de faire un enfant pour toucher l'héritage d'une vieille tante. Mais l'enfant ne vient pas, et l'échéance approche. Que faire ?
Afficher en entier