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- Ce que tu as dit dans le cimetière, sur le fait qu'il n'y avait pas eu d'autre fille avant moi. Tu disais la vérité, non ?

[...]

- Oui. Oui, c'est la vérité.

- Tu mens ?

- Oui.

- Est-ce que tu viens encore de mentir ?

- Oui.

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River s’étira et remua les orteils dans la lumière déclinante du soleil.

— Violet, Violet…Tu te blottis contre moi pour dormir puis t’en vas aussi sec ? Ce serait donc une sieste sans lendemain ?

Avec un sourire, il conclut :

— Oublie le film et rejoins-moi.

J’éclatai de rire.

— Tu m’as dit que tu voulais y aller. Que Casablanca était l’un de tes films préférés.

— Je devais être en pleine crise de somnanlinguisme. C’est comme le somnambulisme, avec la parole.

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La vie était moins dangereuse sans River. Et tout un tas d’autres « moins ». Moins époustouflante. Moins terrifiante. Moins bouleversante. Moins…tout.

Tu me manques salement, River

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<< Les morts sont partout autour de nous, disait Freddie. Tu n'as aucune raison d'avoir peur d'eux, Violet. Et ceux qui ne les craignent pas ne craignent pas n'on plus la mort. Et quand on ne redoute pas la mort, alors on n'a plus qu'une satanée chose à redouter, et c'est le diable. Il devrait toujours en être ainsi.>>

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- Ça n'a rien à voir avec ça, Vi. Ça n'a rien avoir avec Freddie ou mon grand-père. Ça n'a rien à voir avec l'embrasement. C'est toi, assise sur ces grandes marches pour lire au soleil. C'est toi qui boit ton café sur la pointe des pieds. C'est toi, à la fois si direct et timide, si attentionnée et excentrique, si snob. C'est tout ça.

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Peut-être que c'était un résidu de l'embrasement qui s'exprimait à travers moi. Peut-être que c'était la raison de ma mélancolie... Cependant, rien ne m'avait paru aussi réel. Et je ne pouvais plus compter que sur mes sentiments pour avancer, qu'ils soient purs ou non. River avait manipulé des gens. Il en avait tué. Il était malfaisant. [...]

Seulement au fond, tout au fond de mon coeur, dans le recoin le plus sombre, j'éprouvais autre chose : ça m'était bien égal que River soit le mal incarné. Je continuais à l'apprécier. Peut-être même que je l'aimais. Et peut-être que ça faisait de moi quelqu'un de mauvais aussi.

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Je rêvai de cimetières. Et d'un tunnel. D'un homme aux dents poilus, le cou barré d'une entaille. Je rêvai aussi du diable, qui avait les traits de River, bien que ses cheveux soient roux et ses yeux injectés de sang. Sauf que ce n'était pas le diable. Ni River. Mais Neely, ses cheveux blonds rougis par le soleil couchant, le visage échauffé par une bagarre. Il se battait avec Rive, qui brusquement se mettait à m'embrasser. Je me sentais bien, si bien... Il couvrait ma nuque et mes épaules de baisers... Il m'aida à me déshabiller, je fis de même avec lui, nous étions nus, et ça m'était égal, je voulais juste que River continue à m'embrasser, pour l'éternité et l'éternité, amen, et tout était si parfait, et je savais que le moment était venu, je le désirais, oh oui, je le désirais tellement...

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Freddie me répétait souvent qu'il faut saisir le bonheur dès qu'il se présente, parce que la vie ne nous laisse pas l'occasion de prendre notre temps. -Violet

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J'ouvris les yeux sur une silhouette masculine aux contours flous, dressée au-dessus de moi. Le soleil qui pénétrait à flots par la fenêtre le nimbait d'un halo, tel un ange auréolé d'or dans un tableau du début de la Renaissance. Je clignai des paupières puis les laissai se refermer. J'étais dans le lit de River, dans la dépendance. Je me tâtai la tête : elle était lourde et cotonneuse.

-On ne t'a jamais appris à frapper ? demandai-je.

Je bâillai, rejetai les draps et me levai. Prise d'un panique subite, je crus que j'étais nue avant de constater que je portais toujours mes vêtements de la veille. Je considérai mon frère. Sauf que ce n'était pas Luke qui se tenait au pied du lied, mais un inconnu. Jeune - mon âge ou un an de moins. Grand, il devait sans doute davantage à sa blondeur à une exposition prolongée au soleil qu'à une grand-mère hollandaise, contrairement à moi. [...]

-Bonjour, bonjour, dit l'inconnu avec un sourire. Désolé de débarquer comme ça et d'interrompre... je ne sais trop quoi. Je cherchais...

Il se tourna et rencontra le regard de River.

-... mon frère, conclut-il.

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Je fis courir mes doigts le long des cicatrices sur mes poignets. La vie était moins dangereuse sans River. Et tout un tas d'autres "moins". Moins époustouflante. Moins terrifiante. Moins bouleversante. Moins... tout. Tu me manques salement, River.

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