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"La volonté du mal ruine souvent le mal."

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Boromir se tut, et ses yeux se fermèrent avec lassitude. Au bout d'un moment, il parla de nouveau :

- Adieu, Aragorn ! Va à Minas Tirith et sauve mon peuple ! J'ai échoué.

- Non ! dit Aragorn, lui prenant la main et lui baisant le front. Tu as vaincu. Peu d'hommes ont remporté une pareille victoire. Sois en paix ! Minas Tirith ne tombera pas !

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J'ai près de vingt-neuf ans, en quoi je vous bats ; bien que je ne mesure que quatre pieds et que je ne risque guère de pousser davantage, sinon latéralement.

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"- Espèces de coquins, lâcheurs aux pieds et à la caboche laineux! Une belle chasse dans laquelle vous nous avez entraîné. Deux cents lieux, par marais et forêts, en affrontant les combats et la mort, pour vous secourir! Tout cela pour vous retrouver là à banquer et à vous délasser - et à fumer! Fumer! Où avez vous trouvé l'herbe, Scélérats? Par le marteau et les tenailles! Je suis tellement déchiré entre la rage et la joie que ce sera pur miracle si je n'éclate pas!

- Vous parlez pour moi Gimli, dit Legolas, riant. Encore que j'aimerais mieux savoir où ils ont trouvé le vin"

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"Dois-je tout vous décrire ? Ou vous trouver un marche pied ?"

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- Non! répondit Gollum. Sméagol n'est pas content. Et Sméagol n'aime pas les feuilles malodorantes. Il ne mange pas d'herbes ou de racines, non mon trésor, pas tant qu'il n'est pas affamé ou très malade, pauvre Sméagol.

- S'il ne fait pas ce qu'on lui demande, Sméagol va aller dans de la vraie eau chaude, quand celle-ci va bouillir, gronda Sam. Sam lui fourrera la tête dedans, oui mon trésor. Et je lui ferais aussi chercher des navets et des carottes, et des patates aussi, si c'était la saison. Je parie qu'il y a des tas de bonnes choses qui poussent à l'état sauvage dans ce pays. Je paierais cher pour une demi-douzaine de patates.

- Sméagol n'ira pas, oh non, mon trésor, pas cette fois-ci, siffla Gollum. Il a peur et il est très fatigué, et ce Hobbit n'est pas gentil, pas gentil du tout. Qu'est-ce que des patates, mon trésor, hein, qu'Est-ce que des patates?

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Nombreux sont ceux qui vivent et qui méritent la mort Et d'aucuns meurent qui méritent la vie. Pouvez vous la leur donner ? Alors ne soyez pas trop ardents à donner la mort au nom de la justice, craignant pour votre propre sécurité. Même les sages ne peuvent voir toutes les fins.

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Pour ma part, dit Faramir, j'aimerais voir l'Arbre Blanc fleurir de nouveaux dans les cours des rois, revenir la Couronne d'Argent et Minas Tirith en paix; Minas Arnor de nouveau telle qu'autrefois, emplie de lumière, haute et belle, comme une reine au milieu d'autres reines; non la maitresse de nombreux esclaves, non, fut-ce meme la maitresse bienveillante d'esclaves volontaires. La guerre doit être, tant que nous défendons nos vie contre un destructeur qui nous dévorerait tous; mais je n'aime pas le glaive luisant pour son acuité, ni la flèche pour sa rapidité, ni le guerrier pour sa gloire. J'aime seulement ce qu'ils défendent : la cité des Hommes de Numenor, et je voudrais qu'on l'aime pour ses souvenirs, pour son ancienneté, pour sa beauté et pour sa présente sagesse. Non crainte, sinon comme les hommes respectent la dignité d'un homme âgé et sage.

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La compagnie finit par sortir des arbres, et elle se trouva au fond de la Combe, à l'embranchement de la route du Gouffre de Helm qui se dirigeait d'une part à l'ouest vers Edoras et de l'autre au nord vers les Gués de l'Islen. Comme ils chevauchaient aux lisières de la forêt, Legolas fit halte et regarda en arrière avec regret. Il poussa alors soudain un cri.

_Il y a des yeux ! s'exclama-t-il. Des yeux qui nous observent d'entre les ombres des branches ! Je n'ai jamais vu pareils yeux.

Surpris par son cri, les autres s'arrêtèrent et se retournèrent ; mais Legolas fit mine de revenir en arrière.

_Non, non ! cria Gmili. Faites comme il vous plait dans votre folie, mais laissez-moi d'abord descendre de ce cheval ! Je ne veux pas voir d'yeux !

_Rester Legolas Feuilleverte ! dit Gandalf. Ne retournez pas encore dans la forêt, pas encore ! Votre moment n'est pas encore venu.

Tandis qu'il parlait, trois étranges formes sortirent des arbres. Elles étaient aussi grandes que des Trolls, mesurant une douzaine de pied de haut ; leurs corps solides, d'une robustesse de jeunes arbres, semblaient habillés de vêtements, ou de peaux, gris et bruns ajustés. Leurs membres étaient longs et leurs mains comportaient de nombreux doigts ; ils avaient les cheveux raides et des barbes d'un gris-vert de mousse. Ils observaient avec des yeux graves, mais non pas les cavaliers : leur regard se portait vers le nord. Ils élevèrent soudain leurs longues mains à leur bouche et lancèrent trois appels sonores, aussi clairs que les notes d'un cor, mais plus harmonieux et plus variés. Il y eu une réponse ; et se retournant de nouveau, les cavaliers virent approcher à grand pas dans l'herbe d'autres créatures semblables. Elles venaient rapidement du Nord, avec la démarche, mais non l'allure de hérons échassiers car, dans leurs longs pas, leurs jambes battaient plus vite que les ailes des hérons. Les cavaliers lancèrent des exclamations d'étonnement, et quelques-uns portèrent la main à leur épée.

_Les armes sont inutiles, dit Gandalf. Ce ne sont là que des pasteurs. Ils ne sont pas des ennemis, et en fait ils ne s'occupent aucunement de nous.

Ce semblait être vrai, car, tandis qu'il parlait, les grandes créatures s'évanouirent à grandes enjambées dans la forêt sans jeter le moindre regard aux cavaliers

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"-Gandalf ! dis-je enfin,mais ma voix ne fut qu'un murmure.

"Dit-il : "Salut,Pippin ! Voilà une agréable surprise ! " ?

Pas du tout ! Il dit :

"-levez-vous, espèce de nigaud de Touque ! Où donc, je me le demande bien, se trouve Sylvebarbe au milieu de tout ce bouleversement ? J'ai besoin de lui. Vite !

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