Le sépulcre de cristal

Livre captivant du début à la fin, les personnages sont attachants. Et l humour est au rendez vous . Ouvrir le sépulcre de cristal, c'est pénétrer dans un au-delà glaçant, d'autant plus angoissant qu'il paraît si proche... C'est se trouver pris dans un récit haletant auquel il est impossible de s'arracher. C'est passer par un flot d'émotions suscitées par des images qui font impression.Je recommande à tout les fans de fantastique, de lire aussi la suite... C'est addictif

Vraiment je ne ses que dire assez mitiger.

Je n'ai pas réellement accroché je me suis un peu perdue dans se livre .

Pas très original ! ni convaincant .

Je me suis encore fait avoir avec la couverture !

Je me faisais une telle joie de le lire et bien déçu.

Vraiment dommage...

Enorme déception que ce livre…

Déjà, parce que j’ai voulu crâner un peu et le prendre en format papier : paf, 20€ ! Ensuite, parce que j’ai vraiment cru que j’allais lire un truc sympa malgré de grosses maladresses.

Au premier tiers du livre, je m’apprêtais à le noter 3/5.

Vers la moitié, bon, allez… 2/5 ?

Quand j’ai enfin lu la fin, j’ai eu envie de jeter le livre à travers la pièce. Et hop, 1/5.

Pour plusieurs raisons :

- Le style : lourd, pompeux, indigeste. Julie Leconte n’a voulu faire que de belles phrases pleines de métaphores, de périphrases, d’images, de comparaisons… On a l’impression qu’elle a appris par cœur la liste des figures de style et qu’elle a essayé de toutes les utiliser. Vous allez avoir envie de vous arracher les yeux. Les descriptions tournent parfois tellement autour du pot que lorsque l’héroïne se réveille dans un cercueil, il m’a fallu de longues minutes et plusieurs relectures pour comprendre le passage en question. Le mot « cercueil » n’est employé qu’au paragraphe suivant et on sent que l’auteur l’utilise à contrecœur.

« Considérée comme assassinée, elle allait être livrée au savoir-faire des détectives de la chair, cette race particulière qui fascine et effraie, tout à la fois. Livrée à ces personnages qui appuient ou invalides les suppositions sur les circonstances mystérieuses d’un trépas. Livrée à ses figures qui font le succès des séries policières d’un genre nouveau. Livrée au scalpel des légistes. »

- L’histoire : déjà que le style rend la lecture extrêmement pénible pour les descriptions, les scènes d’action ne sont pas mieux. L’histoire commence pas trop, trop mal mais au fur et à mesure de l’intrigue, de nombreuses scènes se trouvent être parfaitement inutiles, on tourne en rond. Une fois la fin atteinte, on se rend compte que c’est juste du vent. Tout ça n’a servi à rien puisque la fin n’a aucun rapport avec le reste de l’histoire qu’on peine déjà à suivre.

- La fabrication : ben oui, j’ai pris la version papier. Coquilles, mise en page qui part en sucette, espaces en trop… A 20€. J’ai bobo.

Avec vivacité et élégance, Julie Leconte joue avec les codes de la littérature vampirique et ravive le mythe. Ainsi régénérés par cet apport de sang neuf, les lointains descendants de Dracula n'en sont que plus cruels et pervers. Ouvrir le sépulcre de cristal, c'est pénétrer dans un au-delà glaçant, d'autant plus angoissant qu'il paraît si proche... C'est se trouver pris dans un récit haletant auquel il est impossible de s'arracher. C'est passer par un flot d'émotions suscitées par des images qui font impression.

Si vous avez les nerfs ou le cœur fragile, si vous aimez les plumes trempées dans l'eau de rose, ne lisez pas ce livre. Dans le cas contraire, régalez-vous... sans modération.

Lorelei est une jeune femme dont nous ne saurons jamais grand-chose de plus que l'horrible malchance qui a décidé ce soir là de s'agripper à ses basques dans les rues de Paris. Sans doute un brin trop sentimentale et naïve elle se rend à un rendez-vous avec son amoureux pour subir la plus cruelle des désillusions avant de tomber de Charybde en Scylla, voire pire. On pourrait penser qu'elle sera l'héroïne de ce roman, et pourtant il n'en est rien tant la trame de cette aventure se brode autour du grand nombre de protagonistes venant grossir les rangs des acteurs de ce sinistre drame et qui augmente à l'instar des goules du clan des vampires de Dunkan. Car le projet que l'auteur poursuivait depuis des années concerne effectivement un non-mort, le vampire, son coté sombre et torturé loin des clichés glamour des romances qui pullulent en bit-lit.

Julie Leconte a pris le parti de construire son histoire comme une succession de tableaux vivants, comme des volets accolés à la scène centrale, ou des petites fenêtres s'ouvrant comme des interludes ou entractes nous faisant trépigner d'impatience avant d'en arriver au fait. On a l'impression d'évoluer dans une immense pièce sombre dont chaque pan s'éclaire petit à petit sous la houlette d'un guide qui tenterait de capter notre attention en nous relatant les moments marquants de la vie des personnages secondaires présents. On s'éloigne ainsi du thème principal au risque de se perdre, pour y replonger plus tard, parfois trop. Car ces apartés sont bien trop longues pour ce qu'elles durent et n'apportent rien de plus à l'intrigue si ce n'est d'assombrir jusqu'à parfois noircir l'oeuvre originale, exception faite du sujet en lui-même. C'est le but certes mais la manière d'y parvenir aurait probablement mieux fonctionné sur un format plus long avec un scénario plus étoffé et des héros plus travaillés.

C'est très bien écrit, parfois un peu trop dans l'excès de zèle en raison d'une ribambelle de qualificatifs parfois étranges, qui paraissent mal choisis, et de métaphores ou comparaisons troubles parfois convenues qui prêtent à sourire. On pourrait y voir un contraste entre l'élégance d'un style, la douceur d'une écriture s'opposant aux ténèbres de ce qu'elle évoque, à la violence de ce qu'elle raconte. J'ai apprécié ce point pourtant il m'a manqué de la consistance et de l'épaisseur dans l'ensemble. L'intrigue en elle-même est assez basique, j'ai eu du mal à visualiser certaines péripéties, à les comprendre, de mêmes que certaines tortures évoquées manquaient de détails pour coller à la vision de ce monde cruel et sanglant. De plus la profusion d'individus que l'on côtoie ne sont qu'effleurés, survolés, notamment Lorelei, Dunkan, les jumeaux, et l'ennemi, il est difficile de ressentir une quelconque empathie à leur encontre et c'est bien dommage.