Les Amants de Londres, Tome 2 : Le Pardon

TW = Agression sexuelle explicite.

Canon ! En général, les histoires d’amnésie, c’est pas trop mon délire, mais ici l’autrice met cette ficelle de narration, au service d’une intrigue résolument féministe que j’ai trouvé intelligente et très engagée. Sans en dire trop, l’héroïne porte un geste de sororité particulièrement puissant qui rend toute l’intrigue à fleur de peau. Il y a un petit côté “Le Voyageur sans bagage” de Jean Anouilh chez le héros qui dresse le bilan de sa vie et des choix qu'il a faits, réalisant petit à petit pourquoi il les a faits. Sa résilience est d’une grande justesse. J’ai passé un excellent moment de lecture.

Une romance douce, tendre, avec une touche de sensualité et d’aventures. Une collection que j’adore « Aventures et Passions », et comme son nom l’indique, il y a pleins d’aventures et de passions. Chacun de ses romans peut être entraînant, doux, érotique, attendrissant. Ils vont feront passer de délicieux moments.

Des personnages avec des caractères puissants, déstabilisants. Attachants. Cette histoire est d’un immense romantisme et pleine de rebondissements. Délicieuse. Chaleureuse. Un entre-deux parfait.

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Angleterre, milieu du XIXe siècle : Mercy ; infirmière lors de la guerre de Crimée, arrive chez le frère de Stephen, avec un bébé dans les bras. Stephen mort sur le champ de bataille, elle amène le petit John à sa famille, mais espère qu’on lui laissera la possibilité de rester près de lui, tellement elle aime l’enfant.

Mais Stephen est vivant. Vivant, mais blessé et amnésique. Il ne se souvient plus de Mercy — ni de rien concernant cette période — cependant l’ancien coureur de jupons lui propose le mariage. Mercy n’ose pas lui avouer ce qu’il a oublié.

Cette romance part sur un mariage basé sur un mensonge, deux êtres marqués par les horreurs de la guerre, et la crainte perpétuelle de Mercy qu’elle soit démasquée. Mais elle ferait n’importe quoi pour le petit John. Un amour maternel qui n’a rien à voir avec les liens du sang est ici joliment mis en scène, à une époque où chez les nobles cette notion était peu admise (il n’y a qu’à penser aux règles de filiation et d’héritage).

La fin ne manque pas de tension, bien au contraire !

J'ai été nettement moins emballée que pour le premier tome. Les personnages m'ont beaucoup agacée, en particulier Mercy qui se persuade qu'elle ne ment pas alors que toute sa relation avec son mari est fondée sur son énorme bobard. La fin se lit plus facilement et est même plutôt attendrissante, mais j'avoue n'avoir vraiment pas accroché à l'intrigue, même si j'ai apprécié le statut d'infirmière de Mercy durant la guerre.

La vérité n'est pas toujours bonne à dire mais engendre moins de problèmes.

J'aime bien se type de roman d'amour. Mercy est pleine d'abnégation et l'amnésie de Stephen est une bénédiction quand on sait les cicatrices qu'une guerre laisse sur l'âme d'une personne. J'ai beaucoup aimé leurs cheminements malgré un ou deux faits qui manquaient un peu de cohérence.

Dans l'ensemble, ce tome n'est pas mauvais, mais j'ai trouvé beaucoup de longueurs et de répétitions. Je pensais que le personnage de Stephen me plairait, mais ce n'est pas le cas.

Pour une fois, l'objet de ce livre est la guerre de Crimée, peu connue malgré la boucherie et les énormes pertes humaines. Cet aspect m'a plu. Par contre l'histoire est convenue, sans trop d'intérêt : j'ai mis plus d'une semaine à lire ce bouquin, c'est une preuve !

Moins bonne que la précédente. J’ai lu en diagonale jusqu’à la confrontation qu’on attend depuis les premières pages. Malgré tout c’était agréable mais long. De plus tout se résout beaucoup trop facilement à mon avis

Un très bon deuxième tome j’ai beaucoup apprécié cette histoire.