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Extrait ajouté par Maiwennwenn 2014-09-07T13:09:10+02:00

— Bon, puisque personne n'a l'air décidé à le faire, je me lance, fit soudain Azilis. Que portent vraiment les Écossais sous leur kilt?

Un concert de rires étouffés salua la question. Tout le monde se tourna vers Kieran, dans l'attente de la réponse. Thaïs pinça les lèvres pour s'empêcher de sourire, ne sachant trop comme le Highlander allait prendre la question.

— La réponse est simple, dit-il avec un sourire ravageur. L'avenir de l'Écosse.

Des protestations s'élevèrent face à cette réponse qui n'en était pas vraiment une. Comme Kieran ne semblait pas décidé à se montrer plus précis, tous les regards convergèrent vers Thaïs, qui perdit soudain toute envie de rire. Elle se sentit rougir violemment et maudit son teint clair de rousse.

— Thaïs? fit Azilis d'une voix trop suave pour être honnête. Tu connais la réponse, n'est-ce pas?

— Sois gentille, ajouta Sélène, aie pitié de tes pauvres cousines.

— Si vous voulez vraiment savoir... commença Thaïs.

Elle se penchèrent toutes vers elle, attentives.

— Vous n'avez qu'à sortir avec un Écossais! acheva la jeune femme en éclatant de rire.

— Garce, fit Azilis avec affection. Joanna, tu ne pourrais pas créer un petit courant d'air qui soulèverait accidentellement un bout de tissu?

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Extrait ajouté par AuroreAylin 2014-07-13T17:47:14+02:00

— J'ai besoin de vous, Thaïs. Je ne pourrai jamais retrouver ce que j'ai perdu sans votre aide.

Il la contemplait avec une gravité douloureuse. Reconnaître qu'il avait besoin d'aide devait être difficile pour cet homme fier. Elle ne réagit pas quand il s'avança, réduisant la distance qu'elle avait mise entre eux. Lorsqu'il leva la main pour caresser sa joue, elle tressaillit à peine, prisonnière de son regard sombre, intense. Elle s'attendait à ce qui allait suivre, le désirait même instamment, aussi ne chercha-t-elle pas à se dérober quand il se pencha au-dessus d'elle, s'arrêtant un instant, leurs lèvres si proches qu'elle pouvait sentir son souffle. Sans en avoir conscience, Thaïs passa la langue sur ses lèvres, et il prit cela pour une invite. Elle ferma les yeux à l'instant où la bouche de Kieran se posa sur la sienne.

Ce fut un baiser langoureux, dénué de l'urgence de la veille, au parc. Il prenait son temps, léchant, titillant, savourant sa bouche comme on savoure un mets raffiné. Sa main vint se poser sur sa nuque, froissant un peu plus ses mèches folles pour mieux incliner sa tête et approfondir leur baiser. Vaincue, Thaïs se laissa aller contre lui, se plaquant sans vergogne contre son corps massif. Elle jeta ses bras autour de son cou et se dressa sur la pointe des pieds, jusqu'à ce que leurs corps s'épousent parfaitement et que la zone si sensible entre ses cuisses chevauche le relief dur qui tendait son kilt.

Kieran retint un gémissement, se colla contre le corps souple de la jeune femme. Il la fit reculer d'un pas, puis d'un autre, jusqu'à ce qu'elle heurte le petit bureau, sur laquelle il la fit grimper. Désormais, elle était à la hauteur idéale. Il put se placer entre ses jambes, qui s'étaient spontanément écartées et frotter sa douloureuse érection contre la fine barrière de son sous-vêtement. Ses mains se glissèrent sous la robe, remontant le long des cuisses de la jeune femme, tandis que sa langue explorait sa bouche avec ardeur.

La voix de Jenny vint percer le brouillard sensuel dans lequel ils étaient plongés.

— J'y vais, criait-elle de l'autre côté du magasin.

Thaïs reprit pied avec la réalité. S'arrachant à l'étreinte de Kieran, elle sauta du bureau comme si le diable était à ses trousses et se mit hors de portée, haletante. Kieran lui tournait le dos, tentant lui aussi de reprendre ses esprits. Les sensations avaient-elles été aussi intenses autrefois ou était-ce l'effet de centaines d'années de chasteté forcée? Il devait prendre sur lui pour ne pas se jeter comme un sauvage sur la jeune femme.

Le joyeux tintement de la clochette placée au-dessus de la porte du magasin vint troubler le silence que seuls leurs souffles précipités emplissait. Jenny était partie, les laissant seuls, échevelés, en proie à un désir insatisfait.

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Extrait ajouté par Maiwennwenn 2014-09-07T13:10:28+02:00

Elle sursauta en découvrant un homme assis, adossé à un arbre.

— Oh ! fit-elle avec un sourire penaud. Désolée.

Elle voulut reculer, mais l'homme se dressa d'un bond.

— Vous me voyez ? demanda-t-il.

— Heu... oui.

Les yeux écarquillés, Thaïs le contempla. Il était grand. Très grand. Il était musclé. Très musclé. Il était beau. Très beau. La jeune femme crut qu'elle souffrait d'une hallucination quand, croisant le regard brun de l'inconnu, elle le reconnut. Monsieur chocolat !

C'était tout simplement impossible ! Pourtant, l'homme qui se tenait devant elle était le sosie de l'homme de ses rêves brûlants, de ses longs cheveux aux reflets marron glacé nattés sur les tempes jusqu'au kilt. Il la regardait comme si elle était quelque créature féerique égarée, son regard brun exprimant tout à la fois la joie, l'incrédulité et une certaine forme de révérence.

— Elle me voit, elle m'entend, murmura l'homme, comme pour lui-même.

Soudain, il tendit la main, lui saisit le poignet. Thaïs poussa un petit cri, voulut se dégager, mais il raffermit sa prise, la ramenant contre lui.

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Extrait ajouté par AuroreAylin 2014-07-13T17:42:13+02:00

Se mordant la lèvre inférieure pour ne pas rire, Thaïs se précipita dans la salle de bain et vida le panier de linge sale : ce cher Tony n'avait jamais été un homme d'intérieur, sans doute croyait-il que ses vêtements sales se lavaient seuls, se repassaient par miracle et revenaient dans l'armoire par l'opération du saint esprit. Comme elle s'y attendait, Anthony avait oublié quelques petites choses. Avec jubilation, la jeune femme souleva du bout des doigts une cravate qu'elle identifia comme la préférée de son propriétaire.

— Voyons, que vais-je en faire ? murmura-t-elle, prise d'un fou rire irrépressible.

Lancer de nouveau ses affaires par la fenêtre risquait d'être un peu répétitif, elle avait toujours été fière de son imagination débordante. Thaïs se saisit d'une paire de ciseaux et entreprit de découper la cravate en gloussant.

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Extrait ajouté par MarieMah 2014-09-12T17:18:58+02:00

Et s'il se rendait utile? Peut-être la jeune femme serait-elle mieux disposée à son égard s'il l'aidait? Avec un sourire, Kieran se pencha au-dessus de la machine pour en scruter les entrailles. Il y avait beaucoup de linge. Il appela à lui une bouteille sur laquelle était dessinée de la lavande et versa une généreuse rasade de savon, se réjouissant que Thaïs n'ait pas besoin, comme les femmes de son époque, d'abîmer ses jolies mains pour frotter le linge. Le XXIè siècle était sans conteste une époque de progrès pour les femmes. Ensuite, il s'interrompit pour réfléchir un instant. Il fallait de l'eau pour laver le linge. S'emparant d'un récipient, Kieran le remplit consciencieusement plusieurs fois pour en vider le contenu dans la machine. Lorsque le niveau d'eau lui sembla suffisant – le linge était totalement immergé – il referma le capot et appuya sur quelques boutons, au hasard.

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Extrait ajouté par Chlawee 2018-09-21T12:36:10+02:00

Les premiers essayages furent accompagnés par Joanna et Thaïs chantant à tue-tête ce qui, expliquèrent-elles, était le générique du film Pretty Woman.

- Connais pas, répondit Kieran en haussant les épaules, un peu mal à l'aise dans son pantalon.

- On le regardera ce soir, tu vas voir, Julia Roberts est extra ! s'exclama Thaïs.

- Personnellement, je regarde pour Richard Gere, répliqua Joanna.

- Oui, il est craquant, admit Thaïs.

Kieran se renfrogna, ce qui fit rire les deux jeunes femmes.

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Extrait ajouté par Chlawee 2018-09-21T12:31:27+02:00

- Lorsque tu es en danger, ton corps se dématérialise ? résuma Thaïs, incrédule.

- Je suppose qu'il va falloir faire quelques tests, encore, mais oui, c'est ce que je pense.

- C'est vrai qu'un oreiller, c'est super dangereux pour ton petit corps fragile, se moqua la jeune femme.

- Il faudra faire une liste d'expériences à tenter dans les prochains jours, sourit Kieran. On va s'amuser comme des petits fous.

- Tant que tes tests n'impliquent pas de te jeter sous un bus pour mettre ta théorie à l'épreuve, ça me va, décréta Thaïs.

Kieran se sentait libéré d'un grand poids maintenant qu'il pensait avoir compris ce qui lui arrivait. La prédiction de Sophie prenait tout son sens, mais sans l'aspect inquiétant qu'il lui avait d'abord prêté. De nouveau d'humeur joueuse, il attrapa Thaïs et la renversa sur le lit.

- Si on reprenait ce qu'on avait commencé ? susurra-t-il, charmeur.

- On n'avait rien commencé du tout, riposta la jeune femme, taquine. Si ma mémoire est bonne, un oreiller inoffensif t'a mis en déroute.

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Extrait ajouté par Chlawee 2018-09-21T12:22:59+02:00

Kieran la rejoignit en quelques brasses puissantes. C'était très étrange de le voir arriver vers elle, fendant l'eau sans pour autant s'y trouver.

- Je suppose que tu es contente ? grogna Kieran en arrivant à sa hauteur.

- Tout à fait, répondit-elle avec un sourire. Tu comprends maintenant ce que je ressens quand mes cousines bavent devant toi. C'est désagréable, n'est-ce pas ?

- Je ne crois pas t'avoir donné la moindre raison d'être jalouse.

- C'est vrai, reconnut Thaïs. Mais une femme a le droit, de temps en temps, de vérifier son capital de séduction.

- Crois-moi, ton capital est à son maximum, grommela Kieran. Plus, ce serait insupportable !

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Extrait ajouté par Chlawee 2018-09-21T12:13:32+02:00

- Ce n'est pas très gentil de me tenter comme cela, dit Kieran d'une voix suave qui fit courir des frissons le long de sa colonne vertébrale. Vous êtes tellement appétissante que je pourrais me jeter sur vous pour vous dévorer.

- Restez où vous êtes, et tout ira bien entre nous, riposta Thaïs, repoussant tant bien que mal les images explicites de Kieran en train de la dévorer. Rappelez-vous que je peux vous toucher. Je mords et je griffe, alors gardez vos distances.

Le sourire carnassier du Highlander lui fit prendre conscience de ce que ses paroles pouvaient avoir de provocant.

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Extrait ajouté par MissBibli 2023-12-14T15:19:36+01:00

- Qu'êtes-vous exactement, Kieran McDougall ? demanda la vieille femme, autoritaire.

- D'après la tante Sophie, je suis un fantôme qui n'en est pas vraiment un, répondit-il.

Cela résumait plutôt bien la situation, non ?

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