Les Royaumes oubliés : La Trilogie des héros de Phlan, Tome 3 : La Fontaine de pénombre
Auteur
- James M. Ward (Écrivain)
- Anne K. Brown (Écrivain)
Thèmes
FantasyAcheter neuf
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Classement en biblio - 52 lecteurs
extrait
L’immense tueur surnommé Ravageur déambulait dans le hall souterrain enfumé. Il scrutait la foule de son regard cruel, les lèvres ourlées d’un sourire carnassier. Depuis le dernier des coupe-jarrets jusqu’au plus raffiné des meurtriers, les assassins de la guilde, de Phlan avaient répondu « présent ». Plus de trois cents hommes et femmes se tenaient à ses ordres. Les prêtres gâteux du temple vivaient leurs derniers instants…
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Dans ce troisième tome de la trilogie des héros de Phlan, nous faisons suite au précédent épisode avec la recherche de la dernière fontaine qui peut mettre en péril la cité de Phlan.
Le récit est très linéaire, très prévisible et sans vraiment d’intérêt. L’histoire est d’une grande pauvreté, alternant scènes de combat avec des scènes de réflexion misérables.
C’est un épisode très décevant de la série des Royaumes Oubliés qui fait chuter considérablement le niveau alors que ce dernier était déjà bien entamé par cette trilogie.
Alors que l’univers se prête à des histoires, des quêtes fantastiques, les auteurs apparemment en sont incapables et écrivent des romans que tout un chacun pourrait pourrait écrire.
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Un second tome dans la lignée du 1er. On y retrouve les personnages du 1er tome et on les suit avec plaisir dans cette nouvelle aventure.
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Date de sortie
Les Royaumes oubliés : La Trilogie des héros de Phlan, Tome 3 : La Fontaine de pénombre
- France : 2002-10-23 (Français)
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Résumé
Que se lèvent les héros, les enfants des héros et les enfants de leurs enfants ! Que reviennent du néant les paladins défunts, que s'unissent les âmes vaillantes des Royaumes ! Baine le Fléau est vaincu, mais le Marteau Sacré n'est pas revenu entre les mains des prêtres-guerriers. La décadence ne peut pas continuer indéfiniment. Un vent glacé souffle sur la cité de Phlan. L'ultime affrontement est pour ce soir. Car il en va des villes comme des hommes : quand le destin s'accomplit, le coeur cogne à se rompre.
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