Nantas
Auteur
- Émile Zola (Écrivain)
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Classement en biblio - 138 lecteurs
extrait
Commentaires récents
Décidément je suis voué en ce moment à des livres de nouvelles inconnus .. Je savais que Zola s'était essayé aux nouvelles...Evidemment cela ne fait pas le poids à côté des Rougon-Macquart mais c'est tout de même du Zola : merveilleuse écriture, sens du récit, thème incontournable de l'argent !!
Intéressant !
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C'était la première que je lisais un livre de Zola et franchement je n'ai pas été déçue. C'est une petite nouvelle bien sympathique et avec une belle morale.
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J'ai seulement aimé la fin, lorsque Flavis empêche Nantas de se suicider, et lui dit qu'elle l'aime. Par contre madame Chuin n'est vraiment pas sympa de faire ça je trouve ;-)
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Bonne nouvelle qui montre bien que l'argent ne fait pas le bonheur. Même si je suis un peu déçue de la part de Zola, je m'attendais à plus de naturalisme de sa part Spoiler(cliquez pour révéler)et donc que Nantas meurt à la fin et que Flavie regrette de ne pas lui avoir avoué ses sentiments.
Mais ça reste une nouvelle agréable à lire.
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Notre prof de français nous avait demandé de lire ce livre.On sait que personne n'aime les livres que nos profs nous donnent mais celui-là etait vraiment bien :)
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J'ai beaucoup aimé ce livre même si cette histoire n'est remplie que d'arrangements etc c'était bien ^^
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Plutôt cool. C'est drôle d'accepter un marcher comme ça et de finir par tomber amoureux de la personne avec laquel on c'est marié pour l'argent.
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Date de sortie
Nantas
- France : 2009-09-03 - Poche (Français)
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Editeurs
Résumé
Nantas, un jeune Marseillais ambitieux qui vient de monter à Paris, ne parvient pas à trouver de situation lorsqu'un soir une mystérieuse visiteuse lui propose d'épouser Flavie, la fille du baron Danvilliers : il reconnaîtra l'enfant dont elle est enceinte et percevra deux cent mille francs. Simplement, la jeune fille lui demande de n'être jamais son mari que de nom et, après sa brillante ascension sociale, c'est Flavie que Nantas voudra conquérir. Relation qui s'inverse dans la seconde nouvelle, où le triomphe de la virilité se retourne en défaite. Car si Adèle désire épouser Ferdinand Sourdis dans l'espoir de mener le jeune peintre à la gloire, la paresse aussi bien que la débauche du mari conduisent peu à peu sa jeune femme à achever ses tableaux - et finalement à usurper son rôle. Publiées pour la première fois en 1878 et en 1880 dans Le Messager de l'Europe, une grande revue de Saint-Pétersbourg, ces nouvelles appartiennent pleinement à leur temps. Mais si l'ambitieuse puissance de Nantas évoque Son Excellence Eugène Rougon, ou Aristide Saccard, l'aventurier prédateur de La Curée, c'est bien plutôt à la misogynie des écrivains proches de Zola que fait songer Madame Sourdis, femme vampire qui aura finalement dévoré son mari et inquiétante annonciatrice de bien des névroses fin-de-siècle qui feront aussi frémir de cette épouvante-là.
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