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Extrait ajouté par Petit-tom 2017-04-08T13:29:21+02:00

Elle me faisait un peu penser à un moelleux au chocolat : avec une couche tendre, mais résistante, et un fondant irrésistiblement doux. Cette comparaison l'avait fait beaucoup rire...

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Extrait ajouté par Maud-Vogel 2016-03-31T01:36:55+02:00

(ch.14)

"Lorsque je me réveillais, je n’avais fait un somme que de deux petites heures. Mais à ce moment, je me sentis plus forte que jamais. Une véritable guerrière prête à tout. Il est dit que la haine est toute aussi égale à l’amour, et il était clair que celui-ci avait désormais basculé à son opposé. Je sautais du lit avec une énergie à toute épreuve et ramassais le bijou, qui, après avoir été projeté par moi, trainait par terre. Je le rangeais dans son écrin et le cachais sous mon oreiller. Mon orgueil blessé, il était hors-de-question que je le remette autour du cou. Pour me souvenir de mon combat, j’avais décidé de garder sa rose éternelle, offerte la veille. Elle serait un rappel quotidien de ma nouvelle bataille."

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Extrait ajouté par Maud-Vogel 2015-01-28T20:10:57+01:00

Spoiler(cliquez pour révéler)

"Le soir venu, je refis un cauchemar, plus terrifiant encore que le précédent. Je me voyais voguer au-dessus de la forêt, puis l’instant d’après, j’y marchais. La route parsemée de ronces et d’embuches me paraissait pourtant facile, si bien que je parvenais vite aux ruines. Je m’aventurais vers elle, guidée par mon instinct. Soudain, Ania apparaissait au centre de celle-ci par intermittence, comme un hologramme mal reflété. Elle me faisait penser à un fantôme qui avait dû mal à rester visible. Ses longs cheveux flottaient dans un vent inexistant, et ses yeux dénués de vie fixaient le vide. Oui, avec sa peau laiteuse presque translucide, la jeune fille semblait vraiment être un fantôme.

Après tout, les sorciers existaient bel et bien ; pourquoi pas les fantômes ? Ania se tourna lentement vers moi, un peu trop d’ailleurs, s’en était vraiment effrayant ! Allait-elle fondre sur moi et me traverser, pour se venger du fait que Lucas m’avait un jour embrassé ?

Les lèvres de la femme bougèrent mais aucun son ne sortait de sa bouche, comme si elle essayait de me dire une information importante mais n’y parvenait pas.

Précautionneusement, je m’approchais d’elle, enjambant un tas de pierres. Aussitôt, une vague de froid m’envahit. Là, je me sentis vraiment stressée par la situation.

Brusquement, la jeune femme s’écroula au sol, déchirant le silence d’un cri perçant. Moi aussi je me sentis partir, tombant à ses côtés. Je regardais mes mains, qui à ma plus grande stupéfaction, s’effaçaient petit à petit. La peau d’Ania, pour sa part, se teintait en rose.

Réalisant ce qu’il se passait, j’hurlais à pleins poumons, paniquée. Ania prenait vie grâce à moi, et malgré moi ! Puis une voix sourde résonnait, prononcée par Ania :

« Lana jesteś Nayra.... »"

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Extrait ajouté par Maud-Vogel 2015-01-28T20:07:15+01:00

"Et toi ma puce, le lycée, les amis, tout se passe toujours aussi bien ?

– Oui, mentis-je.

Enfin, ce n’était pas un très gros mensonge. Oui j’étais menacée par un terrible sorcier, oui je côtoyais de très près la magie ; mais ma vie n’avait jamais été aussi parfaite ! Allez savoir…

Mon père me dévisagea, d’un air soupçonneux. Il insista.

– Mais euh, tu ne veux pas m’en dire plus ? Je ne sais pas, tu n’as pas de petit-ami par exemple ?

– Papa !

– Ben quoi ?! C’est normal pour un père de vouloir savoir ce genre de truc.

– Non, je n’ai personne.

– Bien.

– Bien ?

– Non, enfin je veux dire ok.

– J’rigole papa, t’inquiètes.

Pour rien au monde je n’aurais échangé ces moments simples de bonheur, ces instants de complicité. Je trempais une tartine dans mon café, le sourire aux lèvres. Ravie, je constatais même que mon père avait laissé tomber concernant la voiture qu’Alec m’avait offerte… Et ce qui combla parfaitement mon bonheur, c’est que le regard qu’il posait dorénavant sur moi avait perdu toute sa dureté. Je crois qu’enfin, il me pardonnait…"

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Extrait ajouté par Maud-Vogel 2015-01-28T20:06:08+01:00

"Je revoyais alors les belles montagnes, plus hautes et impressionnantes encore que la dernière fois où je les avais vu. Les prés m’apparaissaient plus sauvages avec leurs hautes herbes. Je survolais ensuite le petit ruisseau et son eau irrémédiablement plus foncée que jamais.

Quand, alors, je vis une silhouette s’approcher lentement de moi. Je distinguais à présent mon corps ; je ne survolais plus ce paysage, j’étais physiquement là. Je ne pouvais plus bouger et lorsque l’ombre menaçante fut à ma portée, je reconnus son visage. Mais, malgré son charme, il avait quelque chose d’irréel et de terrifiant. [...]

Je ne considérais plus cela comme un rêve. Je m’étais véritablement sentie en danger."

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Extrait ajouté par Maud-Vogel 2015-01-28T19:58:03+01:00

"Une petite brise d’automne caressa mon visage. Ma vision restait pénible dans l’opacité de la nuit. Les étoiles et la pleine lune étaient voilées par de gros nuages. Je m’orientais difficilement dans les hautes herbes et fleurs sauvages. Une senteur de pin et de menthe fraîche mêlée me conquit. J’aperçus soudain une lueur tremblotante, provenant de la forêt. Pourquoi serait-elle allée aussi loin ? Me questionnais-je. Était-ce bien elle après tout ? Pour en avoir le cœur net, je décidais de braver la peur que m’inspirait cette forêt la nuit.

Après avoir récupéré une lampe torche, jeté un bref regard à mon amie qui dormait encore paisiblement, je m’aventurais parmi les hauts chênes, cèdres et autres arbres qui constituaient cette forêt sombre et inquiétante. J’avançais prudemment, me prenant malgré tout les pieds dans des branches, des ronces et des orties, en suivant impassiblement la faible lumière. Le trajet me paraissait sans fin…

Soudain, une chouette hulula, m’arrachant un sursaut. Terrifiée, je projetais les faisceaux lumineux de ma lampe un peu partout, à l’affut du moindre danger. Les ombres se reflétaient étrangement, donnant encore plus d’intensité à ma trouille déjà bien présente. La forêt devait grouiller de bêtes sauvages… Et puis la télévision qui avait évoqué la présence d’un tueur dans la région… Rien de rassurant en soi.

Enfin, parvenue aux abords de la lueur, je scrutais les lieux. Je distinguais alors une silhouette immobile au milieu des vieilles ruines. Je frissonnais. Était-ce encore l’un de mes rêves ? J’hésitais, et finalement appelais : [...]"

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