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-Keller. Dés que je t'ai vue...(Ils'interrompit,reprit son souffle.) Tu ... sintillais. Avec cette longue chevelure noire qui dansait sur chacun de tes mouvements, et ces yeux gris argenté. Jusqu'ici je ne m'était pas vraiemnt rendu compte ce que c'était que d'etre métamorphe. Mais toi a la fois fille et félin...(Il poussa un soupir). Je m'exprime mal.

Il fallait que je lui réponde-tout de suite. Mais elle ne pouvais pas, pas plus qu'elle ne pouvait bouger.

[...]

-Nous sommes fait l'un pour l'autre dit Galen.

De doux picottements. Elle sentait la force de son amour scintiller en elle et elle ne pouvait résister plus longtemps.

Ses bras se nouérent autour de Galen, son visage se releva -juste un peu parce qu'elle était grande-, les lévres déja entrouvertes.

S'ensuivie un baiser frémissant et infiniment doux.

Aprés un long moment de flottement dans une brume dorée, Keller frissonna de nouveau.

-Il y a quelque chose... que je dois me rappeller...

-Je t'aime, répondit Galen.

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Les gens meurent...aime-les avant le deuil.

La beauté s'altère...admire-la avant l'automne.

L'amour change...sauf l'amour que tu donnes.

Car si tu aimes, tu ne seras jamais seule.

-En fait, je voulais dire: Et tu seras toujours seule...Alors ne compte pas sur les autres pour etre heureuse, mais n'arrete pas non plus d'aimer, pour ne pas finir vide et seule, plutot que seule et forte et capable de donner sans t'inquiéter de ce que tu pourras en tirer. Mais c'était un peu long, et ca ne rimait pas.

Keller considérait le papier sans réagir.

-Pardon, ajouta-t-il. Si tu n'aimes pas...

Elle se jeta dans ses bras, fondant en larmes.

-Je vais bruler l'autre, assura-t-elle. Et je t'aime. Embrasse-moi.

-Oui, chef.

Et s'exécuta.

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« Les gens meurent... aime-les avant le deuil.

La beauté s'altère... admire-la avant l'automne.

L'amour change... sauf l'amour que tu donne.

Car si tu aimes, tu ne seras jamais seule. »

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« Tu as renoncé pour moi à devenir un oiseau ? lui souffla Keller. »

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« - [...] Embrasse moi.

Il sourit.

- Oui, chef. »

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« Le temps passa au ralenti. Elle put le dévisager, comme si elle avait une année devant elle. Il n'était pas laid - à vrai dire, plutôt beau. Il ne semblait pas beaucoup plus âgé qu'elle, les traits réguliers, assez trapu, les muscles saillants sous ses vêtements, les cheveux noirs, hirsutes mais brillants, un peu comme de la fourrure, qui lui mangeaient le front d'une curieuse façon, comme s'il les avait ébouriffés à dessein, contraste avec son allure plutôt nette.

Et il avait des yeux d'obsidienne.

Complètement opaques.

D'un noir métallique dépourvu de toute clarté.

Et qui ne révélaient rien, comme s'ils ne faisaient que refléter la lumière de ceux qui le regardaient. Des yeux de monstre qui figèrent tous les muscles de Keller. »

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- Tu n'aimes pas la nature animale. Rappelle-toi quand tu as ôté la main de mon épaule, dans la salle de musique.

- Dans la .. ?

Il n'acheva pas, et Keller attendit tristement que les souvenirs de son dégoût lui reviennent. Mais il ne manifesta aucune forme de révulsion, plutôt une sorte de nostalgie qu'il tenta d'étouffer, suivie d'un éclat de rire.

- Keller, je n'ai pas ôté ma main parce que je n'aimait pas ta fourrure, mais parce que ... (il hésita, un peu gêné avant de se jeter à l'eau) ... j'avais envie de te caresser.

- Me caresser ?

- Ta fourrure était tellement douce, et ça me faisait tellement de bien de la caresser à contresens, comme du velours ! Et puis j'en avais envie ... (il lui passa la main dans le dos) Je ne pouvait pas m'en empêcher. Mais je savais qu'il ne fallait pas, et tu m'aurais sans doute massacré si j'avais fait ça. Alors j'ai préféré m'abstenir.

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keller se tourna pour lui faire face

-oui monsieur? ou faut-il dire(monseigneur)?

il tressaillit,mais parvint à se reprendre

-jaurais du te le dire depuis le début

-bon, qu'est-ce que tu veux?

-on peut entrer là? demanda-t-il en ouvrant la porte donnant sur un petit bureau elle n'y tenait pas, mmais ne put se résoudre à refuser et entra les brras croisés, le laissant referner la porte

-tu m'as sauvé la vie dit-il en se dirigeant vers la fenetre. sur le ciel blanc, son profil se découpait comme celui d'un prince sur la face d'une piece ancienne

-si tu le dis... rétorqua-t-elle.ces briques ne m'ont pas tuée, alors je ne vois pas pourquoi toi....

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-je t'aime, repondit galen.

-oui, mais j'ai oublier quelque chose...

- nous somme ensemble. je ne veut me rapeler de rien d'autre

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« - Tu aurais dû rester endormi. Qui t'a réveillé ?

Elle cherchait à gagner du temps, histoire de récupérer quelques forces. Mais la réponse l'intéressait quand même.

- Quelqu'un, ricanna-t-il. Quelqu'un que tu ne connaîtras jamais. Une sorcière qui n'en est pas une. Nous avons passé une alliance. »

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