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Il s'en passe de drôles de choses à la pension Vanilos.
Quantité d'objets plutôt ... hétéroclites disparaissent. Simples " emprunts " entre pensionnaires ? Pourquoi pas ? Ce sont sans doute les filles qui se chipent bâtons de rouge, compacts de poudre et boucles d'oreilles. Mais le reste ? Comment expliquer la disparition d'un stéthoscope et de cristaux d'acide borique ? Kleptomanie ? L'hypothèse est attrayante. Pourtant elle ne rend pas compte de la totalité des " incidents ".
Et certains sont inquiétants : une écharpe de soie est retrouvée lacérée, un sac de voyage subit le même sort. Non, cette fois, rien ne va plus. Il se trame quelque chose de grave. Sinon l'illustre Hercule Poirot aurait-il condescendu à prendre l'affaire en main ?
J’ai comme le sentiment, Sally, que quelqu'un, ici, est fou. Réellement fou. Du genre fou sanguinaire, j'entends... pas quelqu'un qui se prendrait seulement pour un concombre.
Peut-être le polar d'Agatha Christie que j'ai le moins savouré pour le moment. Comme évoqué dans plusieurs commentaires, il y a beaucoup de personnages (comparé à d'habitude) et il est facile de s'y perdre. Il y a également trop peu d'éléments descriptifs sur les personnages pour réussir à les différencier correctement.
Une enquête très agréable à lire, j’ai bien aimé la multitude de personnages dans cette pension et l’effet brouillon… même si j’avais déjà vu l’adaptation, j’ai eu du mal à me souvenir de détails !
Un sacré Meli mélo qui paraît incompréhensible jusqu'à ce que notre génial belge tire les ficelles et rende tout lumineux et simple. Une réussite de plus pour la reine du crime.
Encore une fois Hercule Poirot résout une nouvelle affaire avec une main de maitre. C'était une lecture agréable et fluide. Un petit point négatif tout de même, il y a un peu trop de personnages qui ne sont pas suffisamment caractérisés, ce qui fait qu'on se mélange un peu les pinceaux.
Spoiler(cliquez pour révéler) « La conversation mon cher ami, pas autre chose ! Tous les assasins qu'il m'a été donné de rencontrer adoraient parler. Le sliencieux tue rarement et, quand ça lui arrive, son crime est simple, violent, évident.
Au contraire, le meurtrier qui se croit malin est si content de lui que, tôt ou tard, il bavard et se trahit. Parlez au gens, mon cher Sharpe, ne vous contentez pas de les interroger ! Demandez-leur comment ils voient les choses, dites leur que leur avid [est] précieux, que vous aimeriez [...] »
Résumé
Il s'en passe de drôles de choses à la pension Vanilos.
Quantité d'objets plutôt ... hétéroclites disparaissent. Simples " emprunts " entre pensionnaires ? Pourquoi pas ? Ce sont sans doute les filles qui se chipent bâtons de rouge, compacts de poudre et boucles d'oreilles. Mais le reste ? Comment expliquer la disparition d'un stéthoscope et de cristaux d'acide borique ? Kleptomanie ? L'hypothèse est attrayante. Pourtant elle ne rend pas compte de la totalité des " incidents ".
Et certains sont inquiétants : une écharpe de soie est retrouvée lacérée, un sac de voyage subit le même sort. Non, cette fois, rien ne va plus. Il se trame quelque chose de grave. Sinon l'illustre Hercule Poirot aurait-il condescendu à prendre l'affaire en main ?
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