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Psychopompe



Description ajoutée par Biquet 2011-08-23T18:12:55+02:00

Résumé

Paris, hiver 2011. La vie d'Alice Jourdan bascule dans l'horreur la nuit où elle se fait agresser par un vagabond fantomatique qui a le visage de son mari défunt. L'incident plonge la jeune femme dans un état de terreur paranoïaque. Elle va se confier à Victor Bellanger, flic marginal en pleine dérive, qui n'hésite pas à rompre avec tout cadre légal pour mener sa propre enquête. Tous deux se retrouvent au coeur d'une série d incidents violents liés au passé familial de la jeune femme. Les portes de la folie scientifique viennent de s ouvrir ! Isolés et traqués, ils ne peuvent compter que sur eux-mêmes pour échapper à l'abîme où les entraîne la quête obsessionnelle des psychopompes, les guides de l'au-delà.

Une palpitante fuite post-mortem. Didier van Cauwelaert, président du Jury, en parle en ces termes : « Un polar hallucinant aux frontières de la vie ! MAGISTRAL ! »

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Classement en biblio - 17 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Biquet 2012-03-23T08:22:43+01:00

Victor sort son Sig-Sauer et ouvre sa portière. Le gamin coincé entre la porte et la Mégane le regarde sortir sans se départir un instant de son attitude de défi. Ils ne s’échangent pas un mot, le môme attend sûrement que le flic lui annonce la raison de cette intervention musclée, mais Victor ne desserre pas les dents. Il contourne la voiture et fait un signe au gamin lui ordonnant de se tourner.

— Quoi ? Mais ça va pas, non… J’ai rien fait moi !

Victor ne lui laisse pas le temps d’en dire plus, il l’agrippe par l’épaule et le plaque sans ménagement sur la voiture, le jeune homme essaye bien de résister, mais sa jeunesse ne compense pas la différence de gabarit ni de puissance et il se retrouve en quelques secondes avec les mains attachées dans une paire de menottes serrée jusqu’à lui entailler les poignets. Il continue de plaider son innocence et de menacer à mots couverts de représailles ce flic qui ose lui manquer de respect.

Victor apprécie qu’il renforce ainsi sa détermination, il ouvre la portière et le pousse sur le fauteuil passager, prenant soin au passage de déchirer la doudoune du jeune homme sur une vingtaine de centimètres. Il claque la porte sur lui et regagne sa place. Toujours muet, il s’allume une Gitane sous les injures de son passager qui indique le prix d’achat du blouson déchiré. Victor crache sa fumée et demande d’un ton placide.

— Tu viens d’où, Mario ?

— Alfortville.

— Ça je sais, mais tes origines ?

— Le Cap-Vert, qu’est ce que ça peut vous foutre ?

— C’est beau, les mornas. C’est triste, mais c’est beau.

— Ouais… Ma mère aime beaucoup. Si vous aviez envie de parler de musique, fallait aller à un concert. Bellanger ne répond pas, il allume son iPod et recherche quelques instants un titre approprié, il sourit avec satisfaction quand la voix de Cesaria Evora retentit dans l’habitacle. Sous le regard médusé du gamin, il remet le Sig dans son holster, il ouvre la boîte à gants de la voiture et attrape le Manhurin F1 qu’il y a laissé. Il ouvre le barillet de ce 357 à canon court qui l’a accompagné pendant ses quinze années à l’Antigang et dont il peine à se séparer. Il sent le regard étonné du gamin qui ne doit pas comprendre pourquoi cette arrestation se déroule d’une manière aussi étrange. Victor sent aussi ce regard se poser sur son cou, sur cette cicatrice qui lui part du menton et qui descend jusqu’en dessous de sa pomme d’Adam. Cette cicatrice qu’une barbe de trois jours est bien incapable de masquer, une cicatrice bien trop récente pour être discrète et qui indispose tous ceux qui la regardent. Victor ne fait rien pour la dissimuler, au contraire il l’exhibe presque, comme une décoration, un souvenir de son voyage aux portes de la mort, la preuve matérielle de son engagement sans limites et sans retour dans un combat perdu d’avance.

— Elle te plaît, ma cicatrice, Mario ? Tu voudrais la même ?

— J’ai pas envie d’avoir la tête de Quasimodo.

— Je croyais que c’était Scarface, votre idole.

— C’est Nicolas Sarkozy mon idole, je suis un mec réglo, moi.

— Tu veux que je te raconte comment je l’ai eue ?

— Vous n’avez pas d’amis à qui raconter votre vie ?

L’ironie du jeune homme agace Victor, il veut avoir le dessus. Or l’intelligence et la répartie du gamin perturbent son projet. C’est une partie sérieuse qu’il compte jouer. Alors, il referme le barillet du Manhurin, tend le bras violemment et vient frapper la lèvre supérieure de Mario avec le canon court du 357.

— Tu préfères qu’on en finisse tout de suite ?

Plaqué contre la portière, le gosse perd un peu de sa superbe, louche sur le canon appuyé fermement sous son nez, passe une langue timide sur le filet de sang qui coule de sa lèvre et comprend, comme l’escomptait Victor, que cette interpellation impromptue pourrait déraper et qu’il ferait mieux d’adopter un profil bas pour la suite de la conversation.

— Non, non… Allez-y, racontez-moi comment vous avez eu votre balafre.

— Ça ne fait pas longtemps que je suis au commissariat d’Alfortville. Avant j’ai passé quinze années à la BRI-PP, au 36 quai des Orfèvres. L’Antigang, ça doit de dire quelque chose non ?

— De nom, oui.

— C’est long, quinze années à l’Antigang. Les mecs craquent au bout de dix ans au maximum. Mais moi, comme disait un de mes anciens patrons, j’ai « brûlé mes vaisseaux », je n’avais nulle part ailleurs où aller, alors je m’y accrochais. Jusqu’à ce qu’on s’acharne à m’en faire partir. Victor, sans retirer l’arme du visage du jeune homme, tire une dernière bouffée de sa Gitane et écrase son mégot sur le sol jonché de détritus de la Mégane, où il rejoint une dizaine de ses semblables.

— Il parait que je suis devenu incontrôlable, plus assez fiable, dangereux pour l’équipe. « Un franc-tireur incapable de respecter des consignes précises et mettant le travail de la brigade en danger par des initiatives hasardeuses ». Tu vois, j’ai bonne mémoire, je me rappelle de ce qu’ils ont écrit dans mon dossier. Après quinze piges, des centaines d’interpellations, deux balles dans la peau…

Bellanger pointe avec le canon du revolver l’emplacement de ses blessures, une dans la cuisse et une dans le bras, et le replace sous le nez de Mario.

— J’ai toujours été un des mieux notés. Et clac, à 38 ans, à la casse le capitaine Victor Bellanger. C’est dégueulasse non ?

Il marque un temps d’arrêt guettant l’assentiment du jeune Capverdien, qui tarde à venir, alors il appuie un peu plus fort sur le canon du Manhurin, en guise de répétition de sa question.

— Oui, oui… C’est dégueulasse, marmonne Mario d’une voix lasse.

— Mais je ne me suis pas laissé faire. Je me suis battu pour leur donner tort. Ils m’ont mis sur des affaires de merde : du trafic de shit, de la paperasse, des voleurs de scooters, de portables. Mais je n’ai pas lâché.

— Vous avez eu raison.

Comme satisfait de la réponse du jeune homme, Bellanger retire le canon de son visage et repose son bras sur la cuisse du gamin, le canon pointé vers son entrejambe.

— Mais il y a eu ça.

Il montre sa cicatrice en longeant le bourrelet du bout des doigts de sa main libre, avec un sourire désabusé. Puis il désigne les deux scanners posés sur le tableau de bord.

— J’en ai toujours un avec moi. Une nuit, il y a trois mois, j’ai entendu un appel signalant des coups de feu dans un bar de nuit mal famé, à deux pas de chez moi. J’ai foncé, et j’y suis arrivé en premier.

Victor retire son flingue des jambes du jeune homme et ouvre le barillet. Il laisse tomber les balles entre ses cuisses dans un tintement métallique. Le gamin, tétanisé, reste collé le long de la vitre passager. La fumée blanche de son souffle court se mêlant aux volutes des gitanes de Bellanger qui tardent à évacuer l’habitacle étouffant de la Mégane. La chanson de Cesaria Evora est terminée, laissant un silence pesant entre les deux hommes. Puis Bellanger reprend :

— C’était un règlement de comptes, deux gitans qui braquaient une serveuse pour faire venir le patron et s’expliquer avec lui. Ils avaient l’air allumés, j’ai pas attendu mes collègues, je suis entré dans le bar avant que ça tourne mal. Il prend une des balles, la tend devant lui et l’inspecte à la lumière du réverbère. Un homme passe avec son chien en laisse, sans jeter un oeil vers la voiture arrêtée devant l’entrée du parking. Victor est satisfait de son examen du projectile, mais surtout de ne pas avoir croisé le regard du promeneur. Il ne veut pas de témoin susceptible de l’identifier.

— J’ai essayé de les raisonner. Mais il y avait déjà un serveur à terre. Raide mort : une balle dans la tronche…

Du sang partout. Les clients allongés se chiaient dessus. Les deux gitans demandaient sans cesse à voir le patron, un nom corse, ça puait le règlement de comptes mafieux qui dérape. Ils n’ont pas voulu m’écouter. Mes collègues sont arrivés et ont bouclé le quartier. Les deux types ont paniqué. C’étaient des paumés, rien à perdre : tout était déjà perdu. Il remet la bastos sélectionnée dans le barillet, le referme avec un claquement sec et commence à le faire tourner machinalement du bout des doigts.

— Tout ce que j’ai réussi à faire, c’est de jouer sur leur honneur de machos pour les convaincre de me prendre, moi, comme otage plutôt que la serveuse. Une pauvre gamine qui n’avait rien à voir dans tout ça. Ils ont demandé une bagnole. Ils perdaient les pédales et ça pouvait vraiment finir en boucherie.

Victor cesse de jouer avec son Manhurin et se rallume une Gitane. Après avoir bruyamment inspiré deux bouffées, il sourit au jeune homme et lui glisse en indiquant sa cigarette.

— Va savoir, c’est peut-être ma dernière. Ce serait con, tu n’aurais pas la fin de l’histoire. Et il s’enfonce le canon court du revolver dans la gorge, la gueule légèrement orientée vers le haut, pour être sûr de se brûler le cerveau. Il appuie sur la détente, le percuteur s’écarte et claque sur une cavité vide du barillet. Le môme, qui n’a pas eu le temps d’esquisser un geste, tremble de la tête aux pieds, il lui semble même voir poindre des larmes au coin de ses yeux écarquillés. Sans changer de ton, malgré le geste incroyable qu’il vient de réaliser, Bellanger reprend son histoire.

— La caisse est arrivée après une petite heure de palabres.

Je suis sorti avec les deux gitans, le plus costaud des deux me tenait devant lui avec un couteau sous la gorge et son pote marchait derrière en me braquant avec son flingue. J’étais coincé, mais ils ont fait une connerie. Il joue de nouveau avec le barillet du revolver, le faisant tourner sans discontinuer avec son pouce pendant qu’il termine son histoire, sous le regard terrorisé et effaré du Capverdien dont il n’est pas certain qu’il soit encore capable d’en suivre le fil.

— Le porteur du pétard a fait le tour de la bagnole pour prendre le volant me laissant seul de l’autre côté avec le mec au surin. Il me serrait fort ce con et j’avais son schlass enfoncé dans la peau, juste là. Il pointe du doigt la pointe basse de sa cicatrice, sous sa pomme d’Adam, là où elle est large comme une pièce d’un euro avant de s’affiner en remontant vers le menton.

— Je ne leur ai pas laissé le temps de faire une deuxième connerie, j’ai chopé le bras qui tenait le surin. Il a essayé de me découper la carotide, mais il ne l’a qu’entamée. J’ai eu le temps de me libérer et de plonger à terre. Après je suis parti dans le coaltar. Il m’a pas loupé, le voleur de poules. J’ai bien failli crever, tu peux me croire. Mais les deux pourritures sont en taule aujourd’hui. L’affaire a fait un peu de bruit, on a loué mon « comportement héroïque ». Victor hausse les épaules pour signifier ses regrets.

— J’avais perdu trop de sang et j’étais dans le coma, alors j’en ai pas profité. Dommage. Mais qu’est ce que tu crois qu’on m’a offert quand je suis sorti du cirage ?

Ce coup-ci le môme ne laisse pas à Victor l’occasion de répéter sa question. Il lui demande d’une voix chevrotante, d’où a disparu la moindre trace de l’assurance qui l’habitait dix minutes auparavant.

— Je sais pas… Du pognon ? Ou une médaille ?

— Ça aurait été sympa. Mais non. On m’a poussé à atterrir à Alfortville. Une affectation plus calme, la banlieue paisible, pas trop bourgeoise, mais juste assez pour me reposer et terminer ma carrière tranquillement. Il parait que je l’ai bien mérité. La voix de Victor devient plus forte, elle trahit son énervement, sa rage et son ressentiment. Il martèle en écrasant sa Gitane.

— Ils ont cru se débarrasser de moi. Ils ne pouvaient plus me foutre dehors. Un héros qui fait la une du Parisien sur son lit d’Hôpital… Alors, ils ont cru me mettre sur la touche dans ce trou à rats. Mais ils se trompent. Il n’y a pas de quartier tranquille, ni de petits truands. Il n’y a que des petits flics bien tranquilles, planqués, leur gros ventre derrière un bureau. Je vais leur montrer ce qu’on peut faire avec un peu de volonté dans une ville comme celle-ci. C’est aussi important que l’Antigang. Et tu vas m’aider Mario, tu vas devenir mon meilleur ami. Victor pointe son arme vers la tête du jeune homme et lui appuie le canon sur le front. Avec son pouce, il tire le percuteur en arrière, en laissant ce bruit funeste remplir l’habitacle, et pose son doigt sur la détente.

— Je veux que tous les deux jours tu me fasses un point sur tout ce qu’il se passe dans les cités d’Alfortville, de Maisons-Alfort et de Choisy-le-Roi. Je sais que tu y as plein de potes et que tu sais tout ce qu’il s’y trafique. Je veux tout savoir : les braquos, le shit, la coke, les téléphones, les scoots… tout. Si je me rends compte que tu en oublies ou que tu me racontes des conneries, je viens jouer avec toi. Dis-moi que tu es d’accord, Mario.

— Je ne suis pas une putain de balance ! Merde !

Victor presse la détente, le percuteur frappe une nouvelle fois dans le vide, le môme chanceux a les yeux fermés, mais il tente de faire bonne contenance malgré son teint pâle et serre les dents avec une moue volontaire. Un peu déçu de la résistance du gamin, Victor comprend ce qui l’empêche de craquer. Il allume ses scanners et baisse la fenêtre de la voiture.

— Tu crois que c’est une balle à blanc c’est ça ?

Il passe son bras armé par la fenêtre de la Mégane, il appuie sur la détente à trois reprises. À la troisième, le coup retentit, la balle va frapper le béton et provoque un nuage de poussière et de neige à cinq mètres de la voiture. La descente du parking résonne de longues secondes en écho à la détonation brutale du 357.

— Tu vois. Je ne triche pas. Sans danger, ce jeu n’aurait pas beaucoup d’intérêt.

Il ouvre le barillet et replace une balle. Cette fois-ci le gosse est tétanisé, il ne s’était pas trompé, jusque-là Mario avait cru à un bluff, maintenant il est mûr. Bellanger montre le scanner du doigt.

— Ils ne vont pas tarder à signaler le coup de feu. D’ici là, on a juste le temps de se refaire une petite partie entre potes. Il dirige le canon vers sa bouche et dans un sourire glisse au jeune homme qui se colle de plus en plus à la portière et qui a maintenant vraiment les larmes aux yeux et les lèvres tremblantes.

— Je crois que c’était mon tour. Non ?

Puis, semblant se raviser après mure réflexion, il lui adresse une moue paternaliste demandant l’approbation tacite du jeune homme, qui en est bien incapable tant il paraît paralysé par l’angoisse.

— Ah non ! Toi tu croyais qu’il était chargé à blanc. Ça,ne compte pas. On commence par toi ce coup-ci. Chacun son tour d’avoir peur en premier. Il faut être fair-play quand on joue. Il pointe le canon sur le front du jeune Capverdien qui se raidit et semble vouloir faire disparaître sa tête couverte de nattes dans sa doudoune blanche. Mais la gueule du Manhurin vient impitoyablement se coller à son front couvert de sueur, et le pouce de Bellanger tire sur le percuteur avec un claquement lugubre.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par eleos 2022-06-25T17:25:15+02:00
Lu aussi

Je n'aurai pas décerné un prix à ce livre. Je suis déçue.

L'écriture est gênante, pas assez fluide, un mélange de polar noir basique et de fantastique. Ça passe moyen. Les personnages sont bizarrement campés, mêlant cliché et recherche d'originalité. Ça donne des acteurs pas très attachants. Le fond de l'histoire est malgré tout intéressant. Dommage que cela ait été raconté de la sorte. C'était à la limite de l'ennui. Seule une petite partie de la fin était vraiment intéressante pour moi.

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Commentaire ajouté par Anne2702 2016-01-27T09:01:27+01:00
Argent

J'ai lu ce livre alors que j'avais rencontré l'auteur, un monsieur très gentil et très accessible. Ce livre commence très fort avec une femme qui se fait agresser par son mari mort. Pas de temps mort dans ce livre, l'auteur nous tient en haleine jusqu'à la fin. La force de l'auteur tient dans son vocabulaire et sa façon d'écrire. Une histoire magnifique et horrible écrite de façon magistrale ainsi peut être résumé ce livre.

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Commentaire ajouté par SeRiaLectrice 2012-06-14T09:07:01+02:00
Lu aussi

Un livre palpitant avec une incroyable intrigue , des découvertes et confidences surprenantes ,on serait même tenté de croire a cet univers parallèle en tout cas il y a réflexion .Très bien réussi pour un premier bouquin , perso j'ai adoré le personnage de Virginie Montserray sa folle curiosité , sa détermination à tout épreuve ,sa force aussi ..... Génial

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Date de sortie

Psychopompe

  • France : 2012-10-11 - Poche (Français)

Activité récente

Nicy70 l'ajoute dans sa biblio or
2017-05-06T13:59:44+02:00

Titres alternatifs

  • Les violeurs d'âme - Le psychopompe - Français

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