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Extrait ajouté par Camille77150 2016-01-19T22:35:30+01:00

— Non, mais… NON ! Mais… Bon sang, Cara ! Qu’as-tu ce matin ? Tu as tes règles ou quoi ?… OUIII, je veux vivre avec toi dans cette foutue baraque ou n’importe où sur cette putain de planète ! OUI, je veux la retaper avec toi, OUI ! OUI et OUI !… Je veux me trouver un travail honnête comme les gens NORMAUX pour pouvoir ramener un PUTAIN de salaire à NOTRE foyer. OUI ! Je veux t’épouser ! OUI ! Je veux avoir des enfants AVEC TOI ! OUI ! Je veux vieillir à TES côtés ! OUI, je ne veux plus baiser QU’AVEC TOI ! Même quand tu seras grosse, vieille et laide !… Alors, ARRÊTE de te poser ce genre de QUESTION, et pose-toi plutôt la question de savoir si TOI, tu le veux AUSSI !… (Il pointe un doigt accusateur sur elle) TOI, TOI et TOI ! Je ne sais même pas si tu m’aimes ! MERDE à la fin !… JE T’AIME, moi !… Tu le sais, non ? Alors, maintenant, pour l’amour du Ciel, BOUGE TES FESSES

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Extrait ajouté par Dixie93 2015-06-30T11:53:10+02:00

**— Alors, pour quelle raison es-tu revenu ? répète Lucas.

Agacé par l’insistance de son cadet, Reed râle avant de répondre la phrase toute prête qu’il comptait déjà lui servir cinq minutes plus tôt :

— Qu’est-ce que tu n’as pas compris dans la phrase « je suis revenu pour te voir » ?

— Tu veux savoir ce que je n’ai pas capté ? Facile, dit-il en posant brutalement son poing sur le comptoir. Quinze ans sans nouvelles et sans la moindre explication. Voilà ce que j’ai du mal à comprendre,… frangin !

— Tu veux que je te dise quoi ? crache Reed, visiblement touché par les paroles de Lucas.

Quelque chose échappe à Reed.

— Tu peux m’expliquer pourquoi je me suis retrouvé seul. Toi et Robert aviez disparu. Pourquoi ? Et où est passé Robert ? Le sais-tu ?

— Tu es sérieux ?

Reed scrute le visage crispé et grave de Lucas. Il ne comprend pas non plus pourquoi son frère s’interroge. Se moque-t-il de lui ? Il s’éclaircit la voix avant d’ajouter à voix basse et les dents serrées :

— À quoi tu joues, Lucas ?

— Non ! Toi, à quoi tu joues ? rétorque-t-il sur le même ton, les yeux vissés à ceux de Reed.

— Tu ne te souviens de rien, alors ?... tente à nouveau Reed, son petit frère étant visiblement atteint d’amnésie.

— Me souvenir de quoi, Reed ?

Ce dernier se lève, vide son verre d’un trait et le repose sur le comptoir.

— Laisse tomber !

Comment se fait-il qu’il n’ait aucun souvenir de ce matin-là ? Lui se souvient de tout, de chaque coup, de chaque cri, de chaque goutte de sang. Il aurait préféré être frappé par la même amnésie que celle de Lucas. Sa vie aurait été tellement moins compliquée.

— Bonne journée ! jette Reed en tournant les talons.**

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Extrait ajouté par Tiate 2016-08-04T15:47:55+02:00

- Je sais que tu es loin d'éprouver ce que moi, j'éprouve pour toi, mais... Cara, fais-moi confiance et aide-moi...

Elle fronce les sourcils et l'interroge du regard, perdue par cette dernière supplique.

Il continue :

- Aide-moi à devenir un homme bon. Celui qui pourra te rendre heureuse, celui que tu attends. Je suis un peu empoté à ce niveau-là. Je ne sais pas comment m'y prendre. Je commettrai sûrement des erreurs, mais je te prie d'avoir de la patience, car ce n'est pas inné en moi.

- Veux-tu réellement être... (il hésite, se trouvant ridicule.) être ma petite amie ? Souhaites-tu vraiment ce genre de relation avec moi ? Car moi, j'ai vraiment envie d'essayer.

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Extrait ajouté par Folize 2016-02-08T17:44:30+01:00

— Embrasse-moi, chuchote-t-elle.

— Je…

Abasourdi d’entendre ces mots de la bouche de Cara et habitué à refuser ce genre de marque d’affection, il allait la repousser, mais il se ravise immédiatement en vibrant à la simple pensée qu’elle le lui demande. Il en rêve depuis si longtemps… L’embrasser était devenu une obsession, un fantasme. Le baiser chaste de l’autre jour à l’hôpital le hante encore.

Reportant son regard sur sa bouche, il vient lentement y presser ses lèvres. Il s’électrise aussitôt le contact établi. Il n’a jamais eu l’occasion de ressentir un tel brasier s’allumer en lui. Emporté par son émotion et le désir qui l’embrase, il intensifie son baiser malgré la douleur que lui inflige sa blessure à la lèvre inférieure. Un son entre le gémissement et le grognement s’échappe de sa gorge. Il incline légèrement la tête pour la prendre à pleine bouche et n’aspire déjà plus qu’à caresser sa langue. Il veut la dévorer, la boire jusqu’à plus soif.

Tous les sentiments refoulés ces derniers mois réapparaissent en un véritable feu d’artifice et transportent Cara dans une transe qu’elle n’aurait jamais crue possible surtout au vu de la situation dans laquelle ils se trouvent tous les deux, réduits à être filmés au cours de leurs ébats pour satisfaire la libido d’un voyeur pervers et sauver leur peau.

Cet homme aux lèvres si douces et à la langue experte lui fait oublier le traumatisme de cette soirée. Elle n’a jamais été embrassée avec autant de passion et de désespoir mêlés. Elle sent la fougue et la tendresse qui en émanent. Comment a-t-elle pu s’en passer ? Ce qu’elle avait envisagé comme un supplice se mue en un intense aphrodisiaque. Elle se surprend à en oublier les caméras et Lucas, et elle incite Reed à poursuivre ses caresses et ses baisers.

Quittant un court instant sa bouche, Reed plonge un regard larmoyant de désir dans celui de cette beauté qui esquisse un timide sourire. A-t-elle pris autant de plaisir que lui quand leurs lèvres se sont scellées ? Lui peine à s’en remettre. Tout son corps s’est embrasé jusqu’à la moindre de ses cellules. Il en veut plus, bien plus

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Extrait ajouté par anonyme 2015-11-20T14:48:27+01:00

Reed se lève en tanguant légèrement et jette un rapide coup d’œil gêné vers Cara, atterrée par ce qu’il vient de se passer et attristée par son manque de respect.

Malgré tout, Lucas persévère :

— Pourquoi elle t’accuse de viol ?

— Tu as entendu, non ? Je ne l’ai pas violée, se défend-il. Elle m’a chauffé. Je suis un homme. Elle est une femme : je l’ai culbutée et voilà… En gros, je lui ai donné ce qu’elle voulait… ce qu’elles veulent toutes, fin de l’histoire, O.K. ?

Reed se passe une main sur la lèvre pour essuyer le sang qui persiste à couler.

— Mais ça, forcément, tu ne peux pas le comprendre ! poursuit Reed avec davantage de mépris dans la voix. Ça fait combien de temps ? Hein ? (Il lui lance une petite claque virile sur la joue.) Depuis combien de temps n’as-tu pas trempé ta queue dans une bonne petite chatte accueillante ?

Rageur, Lucas est prêt à bondir sur son aîné. Cara s’interpose dos à lui, face à un Reed satisfait de le mettre hors de lui. Ce dernier baisse les yeux sur elle et cligne nerveusement des paupières, déstabilisé. Son sourire arrogant s’efface. Il fait demi-tour et se dirige vers la sortie.

— Ça va, toi ? demande Lucas, inquiet, tout en caressant le bras de Cara.

Elle hausse les épaules et s’exclame ironiquement :

— Rien n’a réellement changé ici… Bienvenue à Cornfield !

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Extrait ajouté par Tiate 2016-08-03T09:52:11+02:00

- Es-tu la seule dans ce bled paumé à ne pas le voir ?

- Voir quoi ?

Il fait un nouveau pas vers elle et lui appose les deux mains sur ses joues. Elle esquisse un léger mouvement de recul, mais le laisse finalement faire. ce simple toucher l'électrise. Elle n'ose imaginer ce qu'elle ressentirait au contact de son corps contre le sien.

- Que je fais et dit toutes ces conneries parce que je souffre...je suis fou amoureux de toi, je l'ai toujours été, je le serai toujours et te voir avec mon frère me tue, me rend dingue, m'anéantit et me...

-...Et te quoi ?

- Je t'aime, Cara.

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Extrait ajouté par nadoss 2016-01-16T07:46:30+01:00

— Je l’ai vu agir, hier soir, avec ces deux femmes, il les a traitées comme de vulgaires objets. J’ai vu de la rage, de la hargne dans son regard… du sadisme, comme quelqu’un de complément vidé de bons sens et démuni de sentiments.

Subjuguée par ses dires, elle lui pose la seule et unique question qui lui vient spontanément :

— Tu penses qu’il est revenu ici pour quoi ?

— Sincèrement, lâche-t-il sans réfléchir. Toi…

— Moi ?!? s’étouffe-t-elle avec sa gorgée de café.

Perplexe, Cara le jauge du regard. Il paraît indubitablement convaincu de ce qu’il avance. Elle en reste sans voix.

— Ne t’inquiète pas, Cara, la rassure-t-il en apposant sa main sur la sienne. Je ne le laisserai pas te créer d’ennuis… Comme je l’ai toujours fait quand nous étions gosses, d’accord?

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Extrait ajouté par LilyEden 2016-01-09T15:38:42+01:00

Malgré la culpabilité, Cara ne peut s’empêcher de le trouver séduisant, avec ses yeux d’une couleur peu ordinaire et son magnifique visage. Aucun sculpteur n’aurait pu façonner des formes aussi parfaites, douces, malgré leurs traits indéniablement masculins.

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Extrait ajouté par zezet49 2015-12-15T14:45:00+01:00

-Non, Cara. Toi, tu représentes tout pour moi... Tu es... tu es le seul et l'unique amour de ma vie, tu l'as toujours été. Tu es... la seule que je désire réellement et que je respecte, celle qui me donne l'envie de me lever le matin, de respirer, de vivre tout simplement. tu me parles de bonheur... Je ne serai heureux qu'avec toi. Les autres ne sont qu'un ...passe-temps, je ne fais que me vider les couilles avec elles.

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Extrait ajouté par Tiate 2016-08-05T12:50:58+02:00

- Je t'aime, chuchote-t-il en survolant sa bouche.

Elle ne détourne pas ses yeux des siens. Emerveillée, par leur tendresse et leur beauté, puis emportée par l'amour qui y rayonne.

- Je sais et je suis désolée.

Il fronce les sourcils, peu enthousiasmé à l'idée d'entendre son éternel refrain. Mais, contre toute attente, elle pose ses doigts sur ses lèvres.

- Non, écoute-moi. Je suis désolée de ne pas avoir ouvert les yeux plus tôt, parce que... (Elle hésite en réfléchissant à la meilleure façon de lui dire ce qu'elle ressent.) Je suis amoureuse de toi depuis un bon moment déjà. Oui. Je t'aime Reed. Je t'aime aussi.

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