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Classement en biblio - 3 lecteurs
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bonjour les lecteurs ….
Voici le 2° volet de la trilogie de Philippe Carrese.
Nous retrouvons les principaux protagonistes du tome précédent mais cette fois à l'aube de la seconde guerre mondiale.
Marzio, le violoniste virtuose, est devenu chef d'orchestre à la suite d'un accident et est assez blasé de la vie.
Son père, Volturno, est devenu le patriarche du village et chef local du parti de Mussoloni.
Sa fille Vittoria est devenue un adulte aux idées indépendantes.
Ofélia vit toujours aux Etats-Unis.
Un accident tragique sur le nouveau contient va faire en sorte que tous ce petit monde, qui ne devait plus se côtoyer, se retrouve à nouveau réuni d'une manière ou d'une autre….
En effet, l'histoire ne s'arrête pas là !
Ce 2° opus m'a beaucoup moins convaincue que le précédent.
Certes, il est agréable de retrouver les protagonistes et de continuer à suivre leurs aventures.
Certes, l'écriture est aisée et la lecture glisse.
Mais ….J'ai trouvé le tout bien convenu et sans grande surprise.. tout est cousu de fil blanc et mon attention s'est souvent égarée.
J'ai eu beaucoup de mal à me passionner pour le récit.
Je lirai le 3° et dernier tome de cette saga, en espérant un peu plus d'attrait de ma part.
Ce livre reste cependant, comme on dit, un bon " page turner" ou lecture de détente.
2.5/5 étoiles pour moi
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Date de sortie
Retour à San Catello
- France : 2015-05-22 (Français)
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Résumé
L'histoire pouvait s'arrêter là. Mais une destinée se joue souvent à pas grand-chose : quelques secondes de retard, un geste inapproprié, une rencontre anodine, un incident idiot. L'histoire aurait pu s'arrêter là si le fils et le mari de Valentina ne s'étaient pas trouvés sur le pont de Genesee River ce jour-là, si Charles Cèseran, un jeune photographe marseillais, n'était pas tombé sur une correspondance d'Amérique destinée à sa mère, si Marzio Belonore, le concertiste réputé, ne s'était pas coincé les doigts dans une porte, si Vittoria Belonore avait pris le volant de cette Maserati sur le circuit de Tripoli... L'histoire aurait pu s'arrêter là si Tancredi Crevalcore, condottiere romain, n'avait pas retrouvé au hasard d'une soirée tout à fait oubliable le violon de son fils Michele, disparu un quart de siècle plus tôt.
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