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Extrait ajouté par Attila9 2014-10-24T10:48:50+02:00

— Tu lui as parlé d’hier ? demanda-t-il avec curiosité.

— Je ne sais pas mentir, et… je me suis montrée assez distraite pour qu’elle soupçonne quelque chose.

— Distraite, à quel point ? s’amusa-t-il. Tu as confondu le sel avec le sucre ? Tu as oublié de mettre ton sachet de thé dans l’eau chaude ?

— Je ne participais pas à la conversation, avoua-t-elle en lui faisant une grimace pour réfuter ses théories.

— Alors, tu as fait mieux que moi, déclara-t-il, avant de froncer le nez en avouant. La soupe de légumes au sucre, c’est pas génial.

Même si elle l’avait voulu, elle n’aurait pu s’empêcher de rire, ce dont il fit semblant d’être vexé.

— C’était vraiment mauvais ? s’enquit-elle en reprenant son souffle.

— Affreux, confirma-t-il. Et ça m’a pris un temps infini de me préparer autre chose, tant je faisais attention à vérifier deux fois tout ce que j’ajoutais.

Elle recommença à rire. Tout en parlant, ils étaient entrés dans l’appartement, et il l’attira sur ses genoux quand il s’assit dans le canapé, alors qu’elle riait toujours.

— J’aime te faire rire, tu es si belle quand tu ris, bébé, déclara-t-il en repoussant ses cheveux pour embrasser sa gorge.

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Extrait ajouté par Attila9 2014-10-24T10:50:59+02:00

Echange entre Zar et Karen:

— Vous êtes particulièrement méfiante, plus encline encore que nous à défendre votre territoire, ce qui n’est pas peu dire, remarqua-t-il.

— C’est vous qui me dites ça, ricana-t-elle.

— Nous vous avons laissé entrer dans notre immeuble.

— Et vous êtes sur le perron, répliqua-t-elle.

— Très bien, je suppose que je dois considérer ça comme une avancée significative dans nos relations.

— C’est le cas.

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Extrait ajouté par Attila9 2014-10-24T10:44:02+02:00

— Non, bébé. Tu mérites mieux. Je veux pouvoir te caresser pendant des heures, je veux que tu sois à ton aise, qu’il n’y ait pas le moindre inconfort pour gâcher ces instants, je veux…

Il prit une profonde inspiration, conscient qu’il y avait encore un milliard de choses qu’il voulait pour elle. Paméla l’empêcha de poursuivre sa litanie d’une simple phrase émerveillée.

— Tu parles comme un homme amoureux.

Les yeux qu’il posa alors sur elle lui semblèrent encore plus sombres qu’un peu plus tôt.

— Tu n’imagines même pas à quel point, répondit-il.

Le cœur de Paméla manqua un battement, à cet instant il était mortellement sérieux, mais cet aveu n’en était que plus réel.

— Tout n’a pas besoin d’être parfait, parvint-elle à répondre au bout d’un moment.

— Pour toi, si, reconnut-il en soupirant. Je suis… je suis ce qu’on appelle un gaffeur. S’il y a une ânerie à faire, ou à dire, je vais forcément être celui qui s’en chargera. Et avec toi… avec toi, je voudrais… tout faire bien. Tu comprends ?

— Et pour l’instant, c’est le cas, essaya-t-elle de le rassurer.

— Non, fit-il en secouant la tête. Je me laisse emporter par mon désir comme un adolescent malhabile, je…

— Crois-moi, il n’y avait rien de malhabile, gloussa-t-elle.

Cela eut le mérite de lui rendre un semblant de sourire attendri.

— Tu es loin d’être tombée sur le meilleur d’entre nous, bébé, je dirais même que…

— Je me moque de savoir qui est le meilleur, tu me plais tel que tu es. Et pour être franche, ça me rassure un peu de savoir que tu n’es pas aussi parfait que tu en as l’air.

— Dieu, tu es absolument merveilleuse, bébé, véritablement divine.

Comme incapable de s’en empêcher, il replongea son nez dans son cou pour l’embrasser, avant de se redresser, bien trop vite au goût de Paméla.

— J’ai besoin de savoir que je peux te protéger de moi-même, avoua-t-il. Mes amis s’inquiètent pour toi. Ils savent que tu es trop jeune, et ils redoutent que je ne parvienne pas à me contenir, que je déconne une fois de plus en te volant ton souffle. Et pour être franc, je le redoute aussi.

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Extrait ajouté par fannynell 2022-12-17T12:09:16+01:00

— Et toi ? Qu’as-tu fait de ta journée ?

Paméla n’avait pour ainsi dire jamais menti à Karen, en grande partie parce qu’elle était une effroyable menteuse, mais également parce que sa sœur avait le don de toujours parvenir à lui faire avouer la vérité.

— Je… j’étais avec un ami, fit-elle en rougissant.

— Au centre commercial ? demanda Karen.

Nerveusement, Paméla secoua négativement la tête en reconnaissant :

— Chez lui.

— Il n’a pas abusé de la situation, n’est-ce pas ?

Comme souvent, il y avait un rien d’angoisse derrière sa question, même si pour une fois elle semblait plutôt encline à croire que tout allait bien pour elle.

— Il s’est montré très attentionné, murmura-t-elle, les joues en feu.

— Tu sais que tu n’es pas obligée de coucher avec un homme pour qu’il s’intéresse à toi, n’est-ce pas ? Tu ne dois pas le laisser…

Devenant écarlate, Paméla l’interrompit avant qu’elle ne s’imagine des choses.

— Nous n’avons pas… il n’a pas… enfin il n’a pas voulu…

Voyant à la mine de Karen qu’elle ne faisait que la stresser, elle s’obligea à achever la phrase suivante, quitte à se montrer très directe. Je devais d’abord apprendre ce qui me… plaît, avant de le vouloir, lui.

— Il n’a pas voulu…, s’effara Karen en restant bouche bée, incapable à son tour de finir sa phrase sous le coup de la surprise.

— Tu crois que ce n’est pas normal ? s’angoissa Paméla.

— Non, c’est… Il t’a procuré du plaisir ?

Plus que gênée au souvenir de ce qu’elle avait ressenti, elle se contenta de hocher la tête.

— Et lui, il n’a pas…

— Euh, il a… dans son pantalon, reconnut-elle.

— Oh Dieu ! s’exclama Karen. Épouse-le !

La mâchoire de Paméla se décrocha sous le choc.

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Extrait ajouté par Folize 2015-08-08T09:47:46+02:00

Jamais Paméla ne s’était sentie aussi belle, pas même la veille ; elle avait été trop anxieuse pour y prêter vraiment attention. Mais à cet instant, ce qu’elle lisait dans ses yeux, la tension qui émanait de son corps, tout concourait à lui faire comprendre qu’il la trouvait véritablement à son goût.

Rougissant de son audace, elle écarta impudiquement les jambes quand son regard atteignit son ventre. Elle le vit retenir son souffle, avant de gronder sourdement :

- Bébé, tu vas me tuer.

- J’espérais plutôt t’animer, fit-elle avec une petite moue.

- Crois-moi, être plus animé me paraît difficile, gémit-il en reposant un genou sur le bord du lit pour s’approcher d’elle.

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Extrait ajouté par Attila9 2014-10-24T10:49:55+02:00

— Vous n’avez pas le droit, elle est mineure et…

— Et si vous vous montrez trop casse-pieds ou si vous faites trop de vagues, il y aura toujours un juge qui vous retirera vos droits, ou émancipera ceux de Paméla afin de nous permettre de la garder dans nos locaux aussi longtemps que nous le voudrons.

La menace était d’autant plus grave qu’elle interdirait toute action visant à récupérer sa sœur, si jamais Paméla avait le moindre souci dans les semaines à venir. Tant qu’elle était mineure et sous sa tutelle, Karen pensait pouvoir la faire sortir du Cerdhe de Zar si sa sœur en exprimait le désir, elle ne pouvait donc pas prendre ce risque. Serrant une nouvelle fois les dents, elle le laissa poursuivre en l’écoutant avec attention.

— Mais ce n’est pas ce qui devrait vous inquiéter le plus. Depuis que vous avez débarqué dans les locaux des Sarangins avant-hier, vous avez attiré sur vous l’attention de personnes excessivement violentes, et même si nous l’envisagions, nous ne pourrions jamais vous offrir la protection qu’ils sont capables d’apporter à votre sœur. La chose se sait peu, parce que nous faisons tout notre possible pour que les médias ne l’ébruitent pas quand ils en ont connaissance, afin que cela ne donne pas des idées à d’autres, mais la principale cible des anti-sarangins ces derniers mois, ce sont leurs maîtresses.

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Extrait ajouté par Attila9 2014-10-24T10:51:43+02:00

Le pont lui avait toujours paru étroit, elle détestait se sentir coincée entre les garde-corps en pierre et elle prenait toujours soin de ralentir à son approche en temps normal en raison du virage, sauf que cette fois, elle n’aurait pas cette possibilité. Elle allait devoir le prendre à toute vitesse, en espérant ne pas percuter l’un des montants.

Et soudain, une idée jaillit dans son esprit, elle pouvait peut-être tenter quelque chose. L’eau avait beaucoup baissé au cours de l’été, et même si elle était toujours agitée de remous dangereux quelle que soit la saison, Paméla estimait être assez bonne nageuse pour parvenir à garder la tête hors de l’eau ; assez longtemps en tout cas, pour échapper à ses poursuivants.

Les rives étaient trop accidentées pour qu’ils tentent de les longer avec leur pick-up dans l’espoir de la repêcher, et s’ils avaient un minimum de cervelle, ils ne prendraient pas le risque de plonger. Elle était trop désespérée pour avoir ce genre de choix, mais elle doutait que l’un ou l’autre soit assez stupide pour prendre le risque de mourir en essayant de la rattraper.

Restait à savoir si elle aurait le courage de passer à l’acte. Elle regarda aussi loin qu’elle le pouvait, mais aucune voiture n’était en vue, aucun secours d’aucune sorte, elle ne pouvait compter que sur elle-même.

Ralentissant un peu, encore indécise face au risque qu’elle envisageait de prendre, elle fut une nouvelle fois bousculée par le pick-up, et cette fois elle ne retint pas son cri.

Finalement, estimant qu’elle roulait trop vite pour plonger dans l’eau sans risque, elle voulut renoncer à son idée qui lui paraissait brusquement suicidaire, quand un nouveau coup de feu fit exploser l’un de ses pneus, la voiture fit une embardée sur la gauche. Paméla tenta de la redresser et, réalisant qu’elle fonçait droit sur le mur du pont, contre-braqua instinctivement.

Il y eut une seconde hors du temps, durant laquelle tout sembla s’arrêter. Il n’y avait plus que le son du moteur tournant inutilement à plein régime dans le vide, puis la sensation angoissante d’une chute, avant l’impact violent avec l’eau.

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