Sherlock Holmes, Volume 1
Auteur
- Arthur Conan Doyle (Écrivain)
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extrait
- Si je lui dis la vérité, elle ne me croira pas. Vous rappelez-vous le vieux proverbe persan? "Il risque gros, celui qui arrache à une tigresse son petit ! Mais celui qui ôte à une femme ses illusions risque davantage." Dans Hâfiz, il y a autant de sagesse que dans Horace, et une connaissance des humains aussi profonde.
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Je ne peux que saluer le génie de Sir Arthur Conan Doyle qui a créé le détective le plus connu de toute l'histoire de la littérature et du cinéma. Comment a-t-il fait pour connaître des techniques mises au point que des année plus tard ? Cela reste un mystère pour moi! Toujours est-il que j'ai rarement deviné la fin des enquêtes avant Sherlock! Pour ce qui est de la relation entre John et Sherlock... Oui elle est ambiguë! Et je crois dur comme fer qu'il y a plus que de la simple amitié entre eux. Mais je crois surtout qu'étant donné l'époque cela ne pouvait être explicité clairement dans un livre. Donc ça ne sera jamais prouvé malheureusement.
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J'ai enfin lu ce livre qui malgré le fait qu'il fut à lire pour les cours est resté un livre bien agréable.
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Le plus grand détective de tous les temps mérite bien son titre!
Chaque enquête révèle un peu plus de la personnalité de son héro mais sans en dévoiler trop. Et l'humour anglais est toujours présent dans chaque page.
Conan Doyle est véritablement un grand génie pour avoir inventé un personnage qui réussi même à échapper à son auteur.
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J'ai adoré découvrir le personnage de Sherlock Holmes ! Conan Doyle est tout simplement un génie !
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J'ai lu tout les Sherlock Holmes, et j'avoue que j'aime bien ce personnage aux dons d'observations et de déductions très dévellopés.
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J'ai lut la plupart des aventures de Sherlock qui m'ont énormément plut ( une étude en rouge , le chien des Baskerville , la pensionnaire voilée , le vampire du Sussex ...etc ) mais je voudrais savoir si une histoire complète de l'affrontement de Sherlock avec Moriarty jusqu'a sa prétendue mort existe ?
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Encore un bon livre de Sherlock et comme Ecarlate je suis un peu étonnée qu'on puisse voir des sentiments plus forts que l'amitié entre Sherlock et John mais leur relation est si particulière que l'amour pourrait être une possibilité à ne pas laisser de côté.
En tout cas, j'ai adoré le livre.
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Je n'avais encore jamais lu les aventures du fameux détective, le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle conserve un charme désuet. Concrètement, je suis surpris des débats qui ont eu lieu sur l'éventuelle homosexualité des deux héros, Holmes et Watson, puisque dès la seconde aventure, le signe des quatre, le Docteur Watson tombe amoureux, sans ambiguïté possible, de l'héroïne et se marie avec. Dans ce cas, aui mieux, ce bon docteur est-il bisexuel ? Voilà pour le côté people. Pour le reste, l'orgueil assumé de S.H., qui ne cesse de réclamer le soutien de Watson comme biographe, est un élément assez intéressant. Voyons voir la suite.
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Résumé
Au numéro 221 de Baker Street, le docteur Watson, ancien officier de l'armée des Indes, partage un appartement avec Sherlock Holmes.
Tantôt celui-ci fume l'opium ou rêve après une piqûre de morphine, tantôt il explore les gazettes du matin ; tantôt il neige à flocons épais, tantôt le brouillard envahit lentement la rue, mais on sait qu'un cab va s'arrêter, qu'un pas pressé va retentir sur les pavés, que la porte de l'appartement va s'ouvrir pour livrer passage à un inconnu, bouleversé par l'angoisse.
Une nouvelle aventure va commencer dans ce domaine propre à Conan Doyle : la magie du rationnel. Parmi les héros de l'histoire littéraire, Sherlock Holmes a sa place auprès d'Ulysse et de Don Quichotte.
Apparemment héros de la raison, Conan Doyle l'enfanta en effet à la fin d'un siècle positiviste où la science semblait s'être révélée capable de résoudre tous les problèmes cosmiques et humains.
Sherlock Holmes est plutôt physicien et chimiste que mathématicien ou psychologue.
Alors que Dupin, le détective d'Edgar Poe, raisonne intuitivement en se mettant à la place de l'autre, que Rouletabille, le détective de Gaston Leroux, cherche abstraitement " le bon bout de la raison ", Sherlock Holmes déduit le passé d'un inconnu à une certaine usure de sa canne, du boîtier de sa montre, de ses semelles ou de son haut-de-forme, et le passage clandestin d'un coupable ou d'une victime, aussitôt identifié, à des cendres de cigarette ou au déplacement d'une pendule.
Mais Sherlock Holmes n'est pas que robot génial, car Conan Doyle est un romancier.
Le mystère initial, l'émotion qu'il inspire, le démenti qu'il semble souvent porter à la raison, l'angoisse qui en résulte, la menace qui subsiste multipliée par les péripéties, tout conspire à produire une électricité poétique qui persiste lorsque, à la fin, la lumière plus banale de la raison triomphante vient remettre le monde en ordre.
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