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Fabrice surgit d'un couloir latéral, également sous sa forme bestiale.

- Chérie ? Tara ? Tout va bien ?

- C'est gentil de m'appeler chéri, répondit Cal, mais on avait dit qu'on resterait discrets !

- Ah, ah, très drôle, grogna Fabrice. Tu sais très bien que je parlais à Moineau.

Bien qu'en train de courir, Cal posa théâtralement les mains sur sa poitrine.

- Je suis foudroyé par la déception, moi qui croyait être le seul dans ton cœur !

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- Voyons, fit Cal, intensément concentré. Les elfes ont une conception très souple du mariage et de la sexualité. Vous pouvez avoir jusqu'à cinq maris, si je me souviens bien, même si vous n'en aviez pris que deux ?

Tara prit un air béat. Cal lui jeta un regard mauvais.

- Arrête de baver, souffla-t-il. Je te réserve pour mon usage exclusif.

- Égoïste !

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La jeune fille écarquilla ses yeux bleus et se redressa comme une fusée, oubliant totalement qu'elle n'était pas habillée, à part les cristaux sur son corps.

Cette fois ci, ce fut au tour de Cal d'écarquiller les yeux. Tara avait un corps magnifique qui le faisait abondamment baver, l’exhiber sous ses yeux alors qu'il était à la diète était une très mauvaise idée. Des images classées XXX défilèrent dans son crane soudain surchauffé.

[…]

- Moineau ?

- Oui ?

- Touche-moi s'il te plait.

Moineau la regarda d'un air éberlué.

-Euh... oui, tu sais, Tara, je ne suis pas spécialement prude, vu qu'à la cour on en a vu d'autres avec cette nouvelle mode "nude", et que Fabrice et moi, on passe notre temps à poil,si tu vois ce que je veux dire, mais là tu es un peu trop à la mode à mon goût...

Tara ne comprit pas tout de suite, puis baissa les yeux et rougit violemment en réalisant qu'elle n'avait rien sur elle. Et rabattit le drap sur sa poitrine.

- Oups, pardon...

- Non, non, c'était très bien, ronronna Cal, les yeux gris étincelants.

- Cal ! s'écria Moineau.

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- [...] Vous êtes tombée amoureuse d'un humain ? A moins que ce ne soit d'un dragon ? (Cal baissa la voix, suggestif.) Ou d'un gnome ? Il parait qu'ils ont de grosses...

- Cal ! s'exclama Tara.

- ... capacités linguistiques ? Ben quoi, tu pensais à quoi ?

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- C'est bizarre, fit Cal, comme en écho aux pensées de Tara, alors que les combinaisons de Robin et V'ala disparaissaient après avoir été désinfectées.

- Qu'est-ce qui est bizarre? demanda Fabrice

- Je pensais qu'il allait se produire un truc. Ce n'est pas normal.

Moineau secoua la tête.

-Tu veux dire que tu trouves ça trop calme, c'est ça ?

- Oui ! Exactement ! Tara, tu vas bien ?

- Qu'est ce que je viens faire dans l'histoire, moi ? demanda la jeune fille surprise.

- En général, tu es l'épicentre des événements. Ou tu disparais. Ou quelqu'un autour de toi disparaît. On se lance à ta recherche ou à la recherche de celui d'entre nous qui a disparu, et on manque de mourir de manière en général assez horrible.

Tara éclata de rire.

-C'est une façon originale de voire les choses. Donc, comme là, il ne s'est rien passé, tu en déduis que je suis malade ?

-Ben oui.

p251

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-Dis-moi, Cal, s'exclama Sanhexia/El, alors qu'ils se levaient de table dans la salle à manger élégamment aménagée de la navette, tu es sûr que tu veux sortir avec Tara? Parce que, pardon de te dire ça, mais cette fille est un paratonnerre à problèmes. Elle les attire d'une façon assez impressionnante, nous trouvons, El et moi.

-El, appela Cal doucement.

La voix de Sanhexia ne changea pas, mais l'expression du visage de la jeune démone se transforma, de même que son accent.

-Oui? Je suis là.

-Tu es morte. Et tu es un fantôme. Question d'attirer les ennuis, tu n'es pas mal non plus...

Sanhexia hocha gravement sa jolie tête blonde.

-Tu marques un point, Cal.

Archange était d'accord, mais pour d'autres raisons. Lui ne contestait pas du tout que la compagnie de Tara était dangereuse.

-Tu devrais sortir avec moi, Tara, fit-il tout en jetant un regard rusé vers Cal. Je suis bien plus solide qu'un humain, les dommages collatéraux de tes aventures ne risqueront pas de me tuer... Enfin moins que quelqu'un d'autre.

Tara allait répondre lorsque Mara se planta devant Archange et lui sourit.

-Je n'aimais pas Gabriel parce que c'était un méchant génie du mal. Mais toi, tu es un gentil génie du bien. Je veux bien sortir avec toi.

Le magnifique démon en resta bouche bée. D'abord que quelqu'un lui disse qu'il était un gentil génie du bien, et ensuite que ce quelqu'un soit une ravissante jeune fille.

Qui, accessoirement, avait fait échouer leurs plans pour conquérir cette univers.

-Euh... euh... bafouilla-t-il en virant au rouge pivoine. Comment?

Prouvant que tous les garçons de l'univers étaient les mêmes, démons ou non, lorsqu'une jolie fille les draguait ouvertement.

-Ben oui! Tu es super hot, super trop mignon, les télés de la planètes parlent tout le temps de toi, et les filles se demandent avec qui tu vas sortir, et si ce sera une démone ou une humaine ou une elfe ou une vampyr... bref. Et moi je suis l'Héritière de l'Héritière, ce dont je me passerais bien, soit dit entre nous. Si on sort ensemble, les journaux vont avoir une crise de nerfs. C'est très, très bon pour le secteur de la communication, tu sais! Et puis j'ai des actions dans quelques jourstaux et deux, trois chaînes de télécristal. Ça ne leur fera pas de mal non plus, une ou deux interviews de nous roucoulant comme des pigeons. Avec une exclusivité bien sûr.

Il y eut un moment de silence, pendant qu'Archange essayait de comprendre ce qu'il venait de lui tomber sur la tête.

-Comme... comme des pigeons? Désolé mais le traducteur me montre l'image d'une sorte d'oiseau, j'avoue que je ne vois pas très bien le rapport.

Morte de rire, Tara lui expliqua l'histoire des pigeons, tandis que Robin piquait un fard et levait les yeux au ciel.

Archange fronça les sourcils.

-Euh... à propos de ce que je proposais à Tara, je plaisantais, hein? C'est juste pour faire enrager Cal. Je vois bien qu'ils sont amoureux, tous les deux.

Cal fit la grimace. Archange reprit sérieusement:

-Mara Duncan,tu es, comme tu le dis si bien, l'Héritière de l'Héritière. Je ne croit pas que ton peuple verra d'un très bon œil que tu... euh... comment dites-vous déjà... sortes avec un démon. Et encore moins le roi d'entre eux. Même si j'ai demandé Tara en mariage, c'était une manœuvre de mon père. Cela ne venait pas de moi, tu comprends? C'était... euh... politique.

Mara mit les poings sur les hanches tandis que tous les autres laissaient de l'espace au deux jeunes gens, mais suffisamment près pour ne pas en perdre une miette.

-Quoi? Tu veux dire que tu ne me trouves pas assez jolie? Tu as peur que je ne sois pas aussi résistante que tes petites démones chéries?

L'attaque était si injuste, alors qu'Archange essayait d'être noble, qu'il en resta bouche bée.

-Mais si! protesta-t-il. Tu es magnifique! Quel rapport avec les démones?

-Tu as une petite copine en ce moment?

-Non je n'ai pas le temps.

En faite, il n'en avait surtout pas l'envie. Les démones le regardaient comme s'il était le premier prix d'un concours du plus beau galoub et il détestait ça.

-Parfait, fit Mara, satisfaite. Alors tu vas prendre le temps d'être mon petit copain. Et si ça ne nous plait pas, tu pourras retourner vers tes précieuses démones.

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- Tu es assez effrayante, tu sais, à rester comme ça? Qu'est ce qui se passe ?

- Tu as envie de fromage, répondit Tara.

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Tout à coup, Demiderus, affolé, fit son apparition.

Sanhexia lui sauta dans les bras, mimant l'affolement.

- Nous allons tous mourir ! fit-elle théâtralement. Demiderus, sauvez-moi !

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-Ah, ah, jolie Tara ! Guerre ? Bagarre ? Donner pouvoir, tout exploser ?

-Par mes ancêtres, rit Fafnir, cette Pierre mériterait d'être une naine !

La Pierre vint flotter autour d'eux, les saluant les uns après les autres, s'attardant plus particulièrement auprès de Robin qu'elle trouvait "super super beau".

-Je ne sais pas si nous allons faire exploser des choses, répondit gravement Tara en caressant la boule brillante lorsqu'elle se posa à sa portée, mais il va y avoir de l'action, ça, j'en suis sûre. Alors, tu as aimé ton séjour ici ?

-Ah, ah, s'exclama la Pierre Vivante, oui, visite à la Terre. Jolie planète. Mais pas assez d'action ici, non ! Ici seulement explosion avec Mourmur. Pas drôle.

-Comment ça, pas drôle ? ronchonna Mourmur.

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Début du chapitre 1 (la suite sur Youtube et lue par Sophie)

Chapitre 1

Le Sangrave

Ou comment regretter amèrement de ne pas avoir triché.

Les Sangraves masqués et enveloppés de robes d’un gris presque noir regardaient les pailles qu’ils avaient dans les mains. Dix d’entre eux soupiraient de soulagement, tandis que le onzième, tremblant, fixait le petit bout doré sans arriver à y croire.

— Par les crocs cariés de Gélisor, hoqueta-t-il, j’aurais dû tricher ! Je savais que j’aurais dû tricher. Mais j’ai toujours de la chance d’habitude ! Je ne comprends pas ce qui s’est passé !

Les autres Sangraves se mirent à rire. L’un d’eux, son masque miroitant d’un bleu soulagé, mit ses mains sur ses hanches, ce qui tira sa robe sur sa poitrine, soulignant le fait qu’il n’était absolument pas un homme.

— Ça va, numéro 45, ce n’est rien du tout ! Il faut juste que tu ailles dire la vérité à notre maître.

Numéro 45 releva un masque vert de trouille sur celle qui venait de le narguer.

— Rien du tout ! pleurnicha-t-il. Rien du tout ! Tu rigoles, numéro 32, nous savons tous ce que Magister fait aux apporteurs de mauvaise nouvelle ! (Il jeta son bout de paille à terre. Comme le morceau était très léger, le geste ne fut pas aussi spectaculaire qu’il aurait voulu.) Il va me carboniser !

— On s’en fiche ! répliqua l’un des autres Sangraves. Tu as perdu, que tu le veuilles ou non, c’est à ton tour.

Numéro 45 eut beau protester, les autres furent sans pitié. Quelques minutes de lutte intense après, submergé par le nombre, numéro 45 franchissait le seuil du bureau de Magister, la dague de numéro 32 dans les reins, histoire de le motiver.

La porte claqua bruyamment derrière lui et un bruit de pas précipités lui apprit que les autres s’étaient enfuis.

Les lâches !

Il inspira profondément. Il s’essuya le front, sa main passant au travers du masque immatériel, qui protégeait son identité. Mais qu’est-ce qui lui avait pris de vouloir devenir un Sangrave ! OK, le pouvoir, OK, l’argent, OK, les jolies filles. Mais tout ça n’avait plus aucune importance lorsqu’on risquait de perdre la vie.

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