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Au lycée, ils étaient trois amis jusqu’à ce qu’Adrian se joigne à eux. Il était différent, brillant et plus mûr. Tous l’admiraient. Ils croyaient alors vivre dans un enclos et qu’ils seraient bientôt lâchés dans la vraie vie. Pourtant, les jeux étaient faits en partie.
À l'université, Tony, le narrateur, fréquenta Véronica et découvrit que le corps des filles est parfois défendu comme la zone d’exclusion d'un pays pour la pêche… Quelques mois plus tard, il apprit qu’elle sortait désormais avec Adrian. De rage, il leur écrivit une lettre épouvantable…
Pourquoi Adrian s’est-il suicidé?
Quarante ans plus tard, le passé qui ressurgit révèle une terrible vérité. Elle bouleversera Tony et chacun des lecteurs d’« Une fille, qui danse ».
L'Histoire, ce ne sont pas les mensonges des vainqueurs, [...]. Ce sont plutôt les souvenirs des survivants, dont la plupart ne sont ni victorieux, ni vaincus.
Trop long alors qu’il ne fait que 200 pages. J’ai eu envie de lire le livre après avoir vu le film dont je n’avais pas vraiment compris l’histoire et finalement comme pour le livre ce n’est pas logique du tout ! J’ai eu beaucoup de mal avec le style d’écriture ce qui fait que je n’ai jamais réussi à rentrer dans l’histoire et le personnage principal est très antipathique et il m’a rappelé Holden de l’attrape-coeurs (ce qui n’est pas une bonne chose pour moi ayant détestée ce livre !)
C’est un voyage dans le passé, dans la mémoire de Tony Webster, narrateur de ce récit, que nous livre Julian Barnes. Mais aussi une introspection, une sorte de remise en question. Tony, dont le premier véritable amour, Veronica, resurgit dans sa vie de manière inattendue quarante ans après leur rupture. Elle l’avait si vite remplacé en sortant avec l’un de ses meilleurs amis de lycée, Adrian. Et blessé dans son ego, Tony avait envoyé une lettre assassine aux deux amoureux. Cette lettre est-elle la, ou du moins une des raisons pour laquelle Adrian s’est suicidé?
Ce qui fait que les chemins de Tony et Veronica se recroisent est un héritage étrange que Tony reçoit de la mère de Veronica, une femme qu’il n’a vue qu’une seule fois dans sa vie: le journal intime d’Adrian. Alors le sexagénaire s’interroge sur les motivations qui justifient ce leg et le voilà qui se replonge dans ses souvenirs.
Après sa relation avec Veronica, la vie de Tony a été plutôt terne. Et à la manière dont il en parle, on sent que Veronica lui faisait un peu peur. C’est une femme intelligente, peut-être l’est-elle même davantage que Tony et que c’est une des raisons qui ont fait que, se sentant inférieur et ainsi comme menacé dans son ego de mâle dominant, il a préféré rompre.
Découvert dans la version audio lue par Théo Frilet, j’ai été vite transportée dans le récit grâce à la voix du lecteur, mais l’histoire en elle même m’a assez peu passionnée. Je n’ai pas trouvé Tony Webster sympathique. Il a un côté égocentrique qui m’a un peu agacée. Le genre de gars qui a préféré une vie pas super trépidante juste pour s’assurer de garder une certaine supériorité sur les autres, qui préfère finir sa vie seul pour continuer de s’en assurer. Il se préoccupe de ce qui a pu pousser son ami au suicide uniquement parce que Veronica le prive du journal d’Adrian dont il a hérité. Car si Adrian avait vraiment été son ami, s’il avait eu un minimum d’intérêt pour quelqu’un d’autre que lui-même, n’aurait-il pas cherché à comprendre ce qui s’était passé sur le moment?
Un récit qui n’a pas su me convaincre, mais non dépourvu d’intérêt par son côté introspectif.
Déception pour ce roman que j'ai découvert en version audio.
Je n'ai pas aimé les personnages ni le style de l'auteur, en revanche, j'ai trouvé la base de l'histoire intéressante.
Mon billet est disponible sur mon blog Les lectures de Lily (www.les lecturesdelily.com) ou en suivant ce lien : http://www.leslecturesdelily.com/2018/09/une-fille-qui-danse-ecrit-par-julian.html
Un peu banal au début, l'histoire de deux garçons qui séduisent une fille, le premier fréquente la fille avec timidité, un peu timoré, dans la découverte du corps de l'autre, puis apprend que cette fille se laisse séduire par un de ses amis, garçon brillant, plus mur, admiré de tous. De rage il écrivit une lettre épouvantable. Plus tard, bien plus tard, le passé va le rattraper lorsqu'il se rendra compte d'une bouleversante vérité.
Un roman imprégné d'une immense nostalgie, celle de la jeunesse passée qui ne reviendra pas, d'une époque, aussi, les swinging sixties. Et puis, sous cette nostalgie, transparaît petit à petit la culpabilité. Tony ne sait pas pourquoi, mais il se sent coupable de ce qui s'est passé des décennies plus tôt. Julian Barnes crée un vrai mystère même si on n'est pas dans un polar et sa dissipation est un coup.
Il traite des souvenirs, du sens la vie mais aussi de la mort notamment du suicide. Le style est assez pompeux mais se tient quand même, à certains moments on se demande où l'auteur veut en venir et à d'autres moments le propos est limpide. Je le recommande aux lecteurs qui aime les livres qui traite de la vie de manière philosophique et qui recherchent un sens aux moindres détails.
Bien qu'il ne soit pas un coup de cœur, j'ai lu se livre vraiment très vite. En a peine une journée je l'avais finis. Je l'ai commencé le samedi soir et fini le dimanche matin, c'est pour dire à quel point ça a été rapide.
Je ne ferais pas ici une éloge du livre, car comme je l'ai dis plus haut, ce n'est pas un coup de cœur. Le héros Tony, un soixanternaire se rappelle sa vie avec le aléas qui vont avec : sa bande de copain, l'arrivé d'Adrian (et l'adoration qu'il lui portait), sa relation avec Véronica et sa famille, puis son mariage et son divorce le tout sur un ton philosophique qui peut par moment nous faire perdre un peut le nord. Il m'est arrivé de ne pas comprendre certain de ses réflexions étant « trop » philosophique à mon goût.
Très vite arrive le mystère entourant le suicide d'Adrian, mais le tout arrive très tard dans sa vie. Même la fin du livre m'a semblait dans le brouillard, bien que j'avais la réponse à mes questions, j'avais l'impression qu'elles étaient incomplète. J'ai mis un peu de temps à comprendre certaine chose.
Au niveau des personnages, il y a bien sur Tony, Margaret son ex femme avec qui il reste lier et Véronica son ex d'il y a 40 ans. J'ai détester Véronica, autant jeune qu'âgé. Même si j'avais une pointe de douleur pour certaine chose qu'elle a vécu, je ne l'aimais pas. Et ceux qui liront le livre me comprendront.
En conclusion, c'est un livre qui se lit mais qui ne restera pas gravé. Je l'ai eu, je l'ai eu mais dans deux mois je m'en souviendrai plus.
A noter que "The sens of a ending" est le titre original. Une des traductions : Le sens d'une fin... Mouai, je vais y revenir... Ce livre m'a plu ; c'est incontestable. Néanmoins, la fin m'a un peu déconcerté. Il m'a fallu plusieurs lectures des dernières pages et le recours à plusieurs sites internet pour comprendre le dénouement qui me paraît un peu alambiqué. Je me sentais, dès le livre refermé, et suite à mon incompréhension finale, un tant soit peu honteux. Mais je me suis aperçu que je n'étais pas le seul lecteur à être confronté à cet imbroglio. Quelques coquilles déroutantes, ou alors facéties de l'auteur, apparaissant ici ou là, n'arrangent rien quant à la compréhension. Quoiqu'il en soit, ce roman, dans lequel l'humour (noir, parfois) a sa place malgré des faits dramatiques, reste très plaisant à lire... A déguster avec une bonne cup of tea et un plaid sur les genoux.
Je n'ai vraiment pas apprécié ce livre, pourtant je me suis accrochée.
Le personnage principal est un vieux monsieur qui nous raconte son adolescence arrogante, son amour avec la froide Veronica où ils sont tout les deux pire que l'autre, mais où ne trouve évidemment que le moyen de l'accuser elle, ses amitiés floues et égoïstes, tout en s'apitoyant sur son sort, avant de se dire que non, il ne faut pas s'apitoyer. (tout en espérant qu'on le fera pour lui)
L'histoire non plus n'est pas top. Tout le livre cherche à nous donner un certain suspense sur les raisons du suicide d'Adrian, qui reste, sans vouloir faire peur à ceux qui ne l'ont pas lu, de toutes façons obscures, tout en faisant une morale sur les parts de responsabilité, ce qui m'a donné envie de dire : ta culpabilité, garde la, tu l'as bien mérité.
Le passage sur les handicapés était inutile au final, et leur description mal exploitée, tournant plus dans la pitié et la "générosité de vous laisser vivre" que dans l'acceptation, ce qui en dit encore long sur le point de vue de l'auteur/personnage principal, qui ne semblent de toutes façons ne former qu'une seule personne tant ce livre ressemble à une autobiographie obscure d'une personne que l'on a pas envie de connaître.
Résumé
Au lycée, ils étaient trois amis jusqu’à ce qu’Adrian se joigne à eux. Il était différent, brillant et plus mûr. Tous l’admiraient. Ils croyaient alors vivre dans un enclos et qu’ils seraient bientôt lâchés dans la vraie vie. Pourtant, les jeux étaient faits en partie.
À l'université, Tony, le narrateur, fréquenta Véronica et découvrit que le corps des filles est parfois défendu comme la zone d’exclusion d'un pays pour la pêche… Quelques mois plus tard, il apprit qu’elle sortait désormais avec Adrian. De rage, il leur écrivit une lettre épouvantable…
Pourquoi Adrian s’est-il suicidé?
Quarante ans plus tard, le passé qui ressurgit révèle une terrible vérité. Elle bouleversera Tony et chacun des lecteurs d’« Une fille, qui danse ».
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