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Dans la province suédoise de Scanie, Wallander, jeune retraité, cherche à acheter une maison à la campagne. Un ami lui en présente une, qui lui plaît immédiatement. En parcourant le jardin, il trébuche sur ce qui se révèle être les os d'une main qui émerge du sol. Au lieu d'entamer une autre vie dans cette maison, Wallander commence une nouvelle enquête.
On pouvait donc conclure à un meurtre car, comme le fit sobrement remarquer Wallander, les gens avaient peut-être coutume de se pendre, mais pas de se dépendre ensuite et d'aller s'enterrer eux-mêmes dans leur jardin ou dans le jardin d'autrui.
« Ce samedi, Kurt Wallander était au bout du rouleau (…) Il avait la tête bien trop lourde pour être encore efficace (…) Il espérait que personne ne frapperait à sa porte. Il voulait être tranquille. Avoir la paix (…) Je voudrais me mettre en congé de moi-même, pensa-t-il. De cette pesanteur que je traîne et qui me mine. Je n’en peux plus. »
Le commissaire désabusé (qui a dit dépressif ?), dont la seule satisfaction de l’année est d’avoir été épargné par la grippe, n’aspire qu’à une chose : acheter une maison et prendre sa retraite. C’est sûr qu’on ne risque pas de le confondre avec James Bond, son collègue britannique. Son nom est Kurt. Kurt Wallander.
Comme on l’imagine, ce projet ambitieux ne va pas se dérouler comme prévu et, en visitant ce qui pourrait devenir sa future maison, Wallander découvre une main enterrée et le squelette qui s’y rattache. Un squelette très ancien qui va, malheureusement pour lui (et heureusement pour nous !), reléguer au placard ses légitimes envies de retraite et le lancer sur une nouvelle – et dernière – enquête (bien que les faits soient prescrits, au diable les varices !)
Polar suédois lent et froid qui clôture la série des Wallander, commissaire anti-héros par excellence. Description de la Scanie (province suédoise), réflexions sur la modification de la criminalité suédoise au début du XXI° siècle, relations difficiles de Wallander avec sa fille, pensées désabusées et personnelles du commissaire, tout cela autour d’une enquête sur un cadavre de 60 ans d’âge… La dernière du commissaire, bourru mais humain et attachant, tient toutes ses promesses.
Imaginez quelques instants : vous êtes un policier en fin de carrière, rêvez d'un petit coin tranquille à la campagne au milieu de marronniers, pommiers et groseilliers. C'est un dimanche automnal et froid, vous vous apprêtez à visiter la maison que vous allez peut-être acquérir... mais de cela nous en reparlerons plus tard, voyons plutôt ce qui a décidé Wallander, enquêteur à la brigade criminelle d'Ystad, à revenir sur ses pas...
Lors de sa visite, son pied heurte quelque chose dans le jardin, sous un épais tapis de feuilles mortes. Wallander ne prête tout d'abord pas cas à ce détail, mais son inconscient, voire son intuition, le ramène précisément à l'endroit où il a failli perdre l'équilibre quelques minutes plus tôt... ce détail est suffisamment perturbant et macabre pour qu'une enquête soit immédiatement ouverte.
Autant le dire tout de suite, c'est une enquête qui piétinera longtemps, car compliquée, mais elle sera menée très sérieusement et en étroite collaboration avec toute l'équipe de Wallander, sa propre fille Linda, le chef de la police et la légiste y compris. L'accent est mis sur la volonté du policier à percer le mystère de ce corps enseveli depuis près de soixante ans : résoudre une enquête tant d'années plus tard est comme tenter de retrouver une aiguille dans une meule de foin. Mais les volontés sont réelles et motivées, Wallander et son équipe sont organisés, tout sera mis en œuvre pour résoudre cette sordide affaire, visite au cadastre, questions aux voisins, fouille de la maison, jardin transformé en chantier, analyses réalisées par l'institut médico-légal...
Dans son avant-propos ainsi que dans un dernier chapitre intitulé « Wallander et moi », Henning Mankell prévient son lecteur : « Il n'y aura pas d'autre enquête avec Kurt Wallander lequel a pris sa retraite... Combien de temps ses pas continueront encore de résonner sur notre terre, je n'en sais rien. C'est sans doute à lui de décider ».
Une nouvelle petite enquête pour Wallander, alors que le tome précédent indiquait que cela en était fini pour lui. Nous revenons effectivement en arrière, alors que Wallander n'a pas encore trouvé sa maison, mais, en la visitant, un squelette de femme, qui va le pousser à enquêter sur l'identité de celle qui a manifestement été tuée, puis enterrée dans le jardin de cette maison qu'il s'apprêtait à acheter. C'est court, et c'est normal, puisqu'il s'agit d'une nouvelle que Mankell a reprise des années plus tard. Cela se lit très facilement, nous retrouvons tous les ingrédients des romans précédents, avec cette variante que Wallander enquête ici sur un fait survenu un demi-siècle plus tôt. Un bon et rapide moment de lecture.
Un super (et court !) roman mettant en scène l’inspecteur Wallander qui se situe chronologiquement juste avant le dernier épisode de la série (bien que publié par après). Le suspense est total dans ce qui semble être une simple petite enquête au départ mais qui prend ensuite une véritable allure de chasse au trésor pour comprendre ce qui a pu se passer dans le jardin de la propriété visité par Wallander quelques soixante ans plus tôt. Bluffant.
Un Mankell vite parcouru, vite lu, apprécié mais qui sera certainement vite oublié. Rien de vraiment nouveau dans cette intrigue, dans les traits de Wallander ou dans les relations du policier.
Le fait de voir Wallander se plonger dans un passé lointain pour trouver des indices m'a fait penser à certains épisodes de Cold Case, série que j'apprécie.
Un bon roman pour un bel après-midi frisquet mais ça s'arrête là.
Résumé
Dans la province suédoise de Scanie, Wallander, jeune retraité, cherche à acheter une maison à la campagne. Un ami lui en présente une, qui lui plaît immédiatement. En parcourant le jardin, il trébuche sur ce qui se révèle être les os d'une main qui émerge du sol. Au lieu d'entamer une autre vie dans cette maison, Wallander commence une nouvelle enquête.
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