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Une pluie sans fin



Description ajoutée par x-Key 2015-04-17T03:54:24+02:00

Résumé

« De temps à autre apparaît un auteur amoureux de son art, du langage écrit [...] et des grands mystères qui résident de l’autre côté du monde physique. Il y avait William Faulkner, Cormac McCarthy ou Annie Proulx. Vous pouvez maintenant ajouter Michael Farris Smith à la liste. »

James Lee Burke

Entre Mad Max 2 et La Route : le nouveau chef-d’œuvre post-apocalyptique.

Après des années de catastrophes écologiques, le sud des États-Unis, de la Louisiane à la Floride, est devenu un véritable no man’s land. Plutôt que de reconstruire sans cesse, le gouvernement a tracé une frontière et ordonné l’évacuation de la zone. Au sud de la Ligne se trouve désormais une zone de non-droit ravagée par les tempêtes et les intempéries incessantes – sans électricité, sans ressources et sans lois.

Cohen fait partie des rares hommes qui ont choisi de rester. Incapable de surmonter la mort de sa femme et de l’enfant qu’elle portait, il tente tant bien que mal de redonner un sens à sa vie, errant sous une pluie sans fin. Des circonstances imprévues vont le mettre en présence d’une colonie de survivants, menée par Aggie, un prêcheur fanatique hanté par des visions mystiques. Celui-ci retenant contre leur gré des femmes et des enfants, Cohen va les libérer et tenter de leur faire franchir la Ligne. Commence alors un dangereux périple à travers un paysage désolé, avec pour fin l'espoir d'une humanité peut-être retrouvée.

Prophétique, sans concession, portée par une langue incantatoire, cette histoire de rédemption aux accents post-apocalyptiques révèle un auteur de tout premier ordre. Une pluie sans fin est de ces romans qui continuent de hanter leur lecteur bien après la dernière page.

Michael Farris Smith vit à Columbus, Mississippi. Une pluie sans fin est son premier roman.

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Classement en biblio - 12 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par bellajessica 2018-01-02T21:39:13+01:00

— Alors là, jamais de la vie, protesta le vieillard à la pancarte. Moi, je m’suis usé les semelles quelque chose de bien pour venir !

— Vire-moi cette pancarte débile et ferme-la. Tu vas te balader longtemps avec ça ?

— Aussi longtemps que j’en aurai envie.

— Ça ne veut rien dire du tout.

— C’est pas la question. J’en ai marre de rester planté sous la pluie.

— Tu peux danser, si tu veux. »

Cohen remonta la file, posa ses jerrycans vides à l’arrière du camion, monta la rampe et serra la main de Charlie. Lequel considéra son profil.

« Tu t’coupes toujours les cheveux tout seul, à c’que j’vois.

— Ma coiffeuse est en vacances.

— Pareil. Mais j’me donne un mal fou pour venir ici. J’arrête jamais. Ta maison tient toujours ?

— Toujours.

— Quand ton père l’a construite, je savais qu’il faudrait au moins l’apocalypse pour la foutre en l’air. Ce bon vieux Jimmy Smith et moi, on s’est payé sa fiole parce qu’il triplait la charpente, mais il était comme le troisième petit cochon, il faisait à son idée, point final.

— Je sais. Ma mère rêvait d’un étage, mais il n’en a jamais voulu non plus.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Venesia 2020-05-14T14:14:07+02:00
Or

J'ai été embarquée dans l'histoire, j'ai prise dans le tourbillon des émotions des personnages.

Un roman qui me restera en tête et qui restera sur les rayonnages de ma bibliothèque car j'ai envie de le prêter et de le relire ...

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Commentaire ajouté par M-a_n_o-n 2017-03-02T09:19:40+01:00
Argent

Pour tout dire, je ressors un peu déçue de cette lecture à cause du déroulement de l'histoire. Le fait qu'il pleuve sans arrêt est plus un prétexte qu'autre chose pour parler du deuil et de la solitude du personnage principal. Ce qui rend le roman très très déprimant. De plus, le présent est entrecoupé de flash-back de la vie d'avant de Cohen et de sa femme, ce qui aurait pu être une bonne idée mais l'auteur s'est focalisé sur des périodes qui apportent très peu à l'histoire.

J'ai aussi eu l'impression que l'auteur de savait pas toujours comment poursuivre son récit ou quoi faire de ses personnages, ce qui fait que certains disparaissent et qu'on se sait pas du tout ce qu'il est advenu d'eux.

C'est dommage, car le thème du roman avait du potentiel et certains personnages aussi mais l'intrigue n'est pas à la hauteur et il y a trop d'incohérences au niveau du post-apocalyptique.

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Commentaire ajouté par stoufnie 2015-10-04T11:25:24+02:00
Bronze

- Maman, les p'tits bateau qui vont sur l'eau ont t'.........

- Ah non tu vas pas te mettre à chanter !!! Tu vois pas qu'il pleut des cordes depuis si longtemps qu'on ne se souvient plus du soleil !!!

- Mais j'étais d'humeur guillerette moi !!

- Et puis quoi encore !! Où est-ce que tu as vu qu'on pouvait s'amuser et être gaie.

- Oui. C'est vrai. Promis, je ne recommencerais plus ..

- Allez tais toi et rame !!! Et plus vite que ça !

448 pages de flotte, de tempêtes, de froid et de grisaille. Eh bien moi j'ai ramé pour lire ce bouquin. J'ai besoin d'espoir, de lumière.. Je marche à la pile solaire, et là pour le coup, je n'avais que très peu de source d'énergie. Au final, j'ai mis beaucoup plus de temps pour le lire que prévu ! Un bon point pour le rapport dépense / temps passé me direz vous !! Il est plus rentable que mes autres achats :p

Une ambiance lourde donc vous disais-je. La météo est partie en cacahuète sur tout un territoire Américain. Un climat rude où les tornades détruisent tout. Il n'y a plus d’abri pour protéger homme, femme et enfant. Même le gouvernement s'est désengagé de ce problème ! Il s'en lave les mains.

Un torrent ininterrompu charriait sa conviction, tandis que les muscles de sa nuque se crispaient, que ses mains et ses bras ondulaient – car il tordait le serpent telle une serviette mouillée – ,que le besoin de tuer devenait impérieux, qu’il demandait la force et le châtiment de ceux qui doutaient de la voie, ma voie, Ta voie, Seigneur, si électrisé par sa puissance et son pouvoir qu’il ne vit pas la femme se précipiter sur lui et n’eut pas le temps d’échapper à l’emportement de la prière : déjà, il gisait sur le dos, bras et jambes plaqués à terre, son propre revolver contre ses lèvres, baiser-morsure d’une maîtresse ardente. Le serpent s’était enfui.

C'est tout simplement devenu la loi du plus fort. C'est ce que va comprendre notre héro qui a des allures d'homme des cavernes version apocalyptique. Il va être dépouillé de ses biens, de ses souvenirs et laissé pour mort. Bravant les éléments, il part à la recherche de quelques objets qu'on lui a voler (car apparemment lui est matérialiste !!)

L'auteur nous donne une vision bien dramatique d'un monde qui s'étiole. La nature humaine reprend des droits de sauvage. Les animaux deviennent dangereux et incontrôlable.

Je regrette que l'auteur est pris autant de temps pour relater son histoire, c'est long ! Beaucoup trop long ! Cela manque de dynamisme. Les flashbacks de la vie "d'avant" sont aussi un peu trop nombreux à mon goût.

Il faut attendre la bonne moitié du roman pour que les choses commencent à bouger, c'est dommage.

Cela dit si vous êtes patient et êtes un fervent admirateur des sujets d’atmosphères de fin du monde, alors ce roman est pour vous...

http://lesciblesdunelectriceavisee.blogspot.com/2015/10/une-pluie-sans-fin-michael-farris-smith.html

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Commentaire ajouté par Noumie 2015-08-28T21:35:15+02:00
Bronze

Roman absolument merveilleux ! Le texte est bien décrit, l'histoire, post-apocalyptique nous emmène loin dans notre monde, mais on arrive quand même à y croire dur comme fer ! Je le conseille vivement !

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Date de sortie

Une pluie sans fin

  • France : 2015-05-07 (Français)

Activité récente

baudb l'ajoute dans sa biblio or
2023-03-24T16:09:21+01:00
Venesia l'ajoute dans sa biblio or
2020-05-14T14:11:05+02:00

Titres alternatifs

  • Rivers - Anglais

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 12
Commentaires 4
extraits 1
Evaluations 5
Note globale 6.75 / 10

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