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Ancienne journaliste et ex-junkie, Zinzi habite Zoo City, un quartier de Johannesburg peuplé de marginaux et de criminels qui se sont vus attribuer la charge d'un animal symbiotique. Si l'animal meurt, son propriétaire aussi.
" Animalée " après la mort de son frère, Zinzi est affublée d'un paresseux qu'elle porte sur son dos. Elle vit désormais de petites arnaques et recherche ce ou ceux que les gens ont perdu(s). Elle est exceptionnellement douée pour cela.
Justement, une célèbre pop star s'est volatilisée. Zinzi espère tenir là son billet de sortie de Zoo City. Mais elle devra pour cela s'enfoncer plus encore dans les bas-fonds du ghetto...
" Zoo City constitue une lecture des plus enthousiasmantes, et Lauren Beukes atterrit illico sur la liste des auteurs à suivre de très près. " Philippe Boulier – belial.fr
Le thé avait un goût de pisse de cheval rance filtrée dans la chaussette d'un clochard, mais je l'ai bu quand même, entre autres parce que Paresseux s'est mis à siffler lorsque j'ai voulu le vider discrètement dans le pot d'une orchidée en plastique postée près du canapé.
Le début est très prometteur, l'idée de base intéressante... Mais l'écriture est opaque, les personnages sont désincarnés, les liens entre les protagonistes et les événements mal amenés, l'intrigue est ficelée comme un vieux rôti pas frais, on ne comprend rien pendant des pages et des pages... Je n'ai rien contre le fait de faire des efforts pour entrer dans l'histoire... Mais là, c'est juste bordélique. Puis on commence à s'ennuyer ferme. Enfin, il tombe des mains.
Probablement un des livres les plus trash que j'ai lus. L'ambiance d'un Johannesburg miné par la pauvreté et la violence est très rendu et le scénario est très original. J'ai eu du mal parfois à suivre la trame de l'histoire, tant la confusion règne dans la ville autant que dans l'esprit du personnage personnage principal du roman.
Avec un résumé qui fait réellement envie et le prestigieux prix Arthur C. Clarke, Zoo City avait tout pour donner un livre digne de ce nom... Eh bien c'est tout l'inverse.
Le côté surnaturel des animalés n'est pas mis en avant et au final il s'agit plus ou moins d'un polar bien noir et très glauque. Le rythme est lent, comprenant beaucoup de répétitions et de descriptions, les scènes glauques sont nombreuses et pour la plupart sans intérêt. Le scénario reste plutôt simple, même s'il comporte quelque rebondissement. Pourtant, tous les éléments étaient réunis pour faire un livre bien sympathique. L'écriture n'est pas mauvaise, la trame est intéressante et cela se passe en Afrique avec un auteur Africain, ce qui est intéressant au vu du manque de traductions en français de la SFFF de ce continent. A noter aussi les (trop) nombreuses fautes de frappes (traduction) du livre (en version ebook en tout cas).
J'aurais préféré trouver autre chose que le clivage minorité/majorité, pauvre/riche habituel, qui est mis en place grâce aux animaux. Lesquels ne servent au final, qu'à déranger les personnages et à couiner/aboyer/autre.
Le résumé vend ce que le livre n'est pas, à savoir un livre avec un fond de fiction développé. Il s'agit d'un roman noir et devrait être présenté comme tel.
Un livre étonnant et triste qui nous fait réfléchir.. J'ai beaucoup aimé l'histoire et la perso principale.. Même si l'histoire aurait pu être un peu plus longue le contenu reste très bien
Un roman qui change un peu et très original. Déjà le contexte, le pays ou cela se déroule mais aussi les personnages. Ils sont animalés certes mais ils sont aussi brut et décoiffant. Néanmoins certains passage traînent en longueur.
Le résumé me paraissait prometteur donc je me suis laissée tenter. De bonnes idées au départ mais à l'arrivée un univers que je n'ai pas réussi à intégrer. Trop de glauque tue le glauque. Une banale enquête en contrepoids. Dommage.
Moi qui me faisais une joie d'entamer ce livre qui m'intriguait au plus haut point dont le synopsis présageait une fanfare de tous les diables... Je suis restée sur ma fin, à ravaler mes élans de feux d'artifices, obligée de lire une histoire sans rebondissement concluant, aux personnages trop atypiques dans leurs tourments... Je n'ai point adhéré donc, cela doit se ressentir.
Un roman étonnant, au style brut et direct à l'image de son héroïne. L'idée est originale et aurait gagné à être un peu plus développée mais l'intrigue policière est un peu simple.
Résumé
Ancienne journaliste et ex-junkie, Zinzi habite Zoo City, un quartier de Johannesburg peuplé de marginaux et de criminels qui se sont vus attribuer la charge d'un animal symbiotique. Si l'animal meurt, son propriétaire aussi.
" Animalée " après la mort de son frère, Zinzi est affublée d'un paresseux qu'elle porte sur son dos. Elle vit désormais de petites arnaques et recherche ce ou ceux que les gens ont perdu(s). Elle est exceptionnellement douée pour cela.
Justement, une célèbre pop star s'est volatilisée. Zinzi espère tenir là son billet de sortie de Zoo City. Mais elle devra pour cela s'enfoncer plus encore dans les bas-fonds du ghetto...
" Zoo City constitue une lecture des plus enthousiasmantes, et Lauren Beukes atterrit illico sur la liste des auteurs à suivre de très près. " Philippe Boulier – belial.fr
Ce roman a reçu le prix Arthur C. Clarke.
(Source : Pocket)
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