107 ans
Auteur
- Diastème (Écrivain)
Classement en biblio - 64 lecteurs
extrait
Si je ne t'avais pas connue, je ne sais pas ce que je serais devenu. Un p'tit cadavre ou un p'tit con, un p'tit rebelle à trois sous...
Afficher en entierCommentaires récents
Un récit sur la maladie mentale qui tombe juste. C'est un cas clinique pour les soignants en santé mentale. Tout y est : obsession, anorexie, dépression, scarifications....
C'est l'histoire d'une psychose qui s'exprime clairement, qui décompense, à la suite d'une rupture. On assiste à la déchéance de Simon, en ayant accès sans langue de bois à son monde intérieur, à sa souffrance. Ce livre est très émouvant et aide à se faire une idée de ce que ressentent les malades.
Afficher en entier
J'ai beaucoup aimé ce roman choc.
Ce récit poignant nous fait découvrir, à travers son héros, les ravages que peut provoquer l'amour.
Cet ouvrage, à la fois cru et poétique, nous montre un amour si fort et si puissant qu'il transcende la violence mais amène à la folie. Cependant, ce roman fait aussi apparaître la douleur et la déchéance.
L'auteur tente de nous éclairer sur des thématiques difficiles, brutales que l'amour et la possession de l'autre
Afficher en entier
Un livre court, explosif et dramatiquement plaisant. Une histoire d'amour... une rupture... sans en faire trop... sans langue de bois. On ne cherche ni à embellir la vérité, ni à en faire trop : un livre qui m'a énormément touché.
Afficher en entier
Ce livre est un bijou pour moi, c'est un des rares livres que j'apprécie relire. Le mélange entre poésie, désespoir, humour est juste parfait.
Afficher en entier
Un petit bijou, parce que c'est l'amour le vrai qui est décrit, celui qui résonne celui qui fait mal celui qui soigne mais celui qui blesse et qu'on oublie pas. J'adore ce livre.
Afficher en entier
Un cri de désespoir, de haine et d'amour en si peu de pages.
Un livre que j'ai lu d'un trait, car impossible de m'arrêter.
Vraiment, je le recommande.
Tellement poétique, tellement vrai, tellement trash, tellement prenant.
Afficher en entier
On dit souvent que « l’habit ne fait pas le moine », n’est ce pas ? Et bien l’adage est particulièrement vrai dans le cas de 107 ans : Une petite centaine de pages ont en effet suffit à en faire une œuvre mémorable !
Ce livre est tout simplement merveilleux. A la fois poétique et destructeur. En un mot : c’est le genre de roman qui vous brise le cœur.
D’ailleurs, c’est le thème principal de l’histoire : le cœur, l’amour, et surtout les souffrances que cela peut entraîner. Thème que l’auteur a su traiter avec brio.
En effet, les mots de Diastème sont vrais, dures, bouleversants et terrifiants ; Mais ils sont surtout magnifiques. Ils m’ont émue au plus haut point et m’ont plongé dans une profonde mélancolie.
Finalement, ce petit récit est un véritable ascenseur émotionnel : il nous étouffe, il nous ébranle et nous perturbe de telle sorte qu’il nous est impossible de résister.
http://entrerevesetlettres.blogspot.fr/
Afficher en entier
Le meilleur livre que j'ai lu.
L'écriture est légère, simple et poétique.
Il y a beaucoup de magnifiques citations.
Je conseille ce livre, il est simplement parfait.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Date de sortie
107 ans
- France : 2006-08-24 - Poche (Français)
Activité récente
Livres ayant des thèmes similaires
Évaluations
- 77ème Ils ne sont pas encore sur Kindle (15 participants)
Editeurs
Résumé
Dans amour fou, il y a amour et fou. Tel est, littéralement, le sujet du nouveau roman de Diastème. Simon, 16 ans, est interné dans une institution psychiatrique. Parce qu’il aimait trop Lucie, qui venait de rompre avec lui, il s’est livré à un certain nombre d’actes – fugue, automutilation, agressions, etc. – qui ont conduit à son internement. C’est du moins ce qu’il se raconte. Tantôt gouailleur, tantôt sentimental, sarcastique, provocateur, pitoyable, ou triomphant, Simon nous ouvre les portes de son théâtre intérieur, de sa fantaisie et de sa souffrance. Mais la vérité est – évidemment – ailleurs. Du côté de ces auteurs (Jane Austen, Sylvia Plath, Ted Hughes, Jack Kerouac) auxquels il s’identifie, et qui tous, à un moment de leur vie, ont été confrontés au suicide. Il manque un nom à cette famille d’écrivain : celui d’Howard Buten, dont le héros, Burt (Quand j’avais cinq ans je m’ai tué), est en quelque sorte le petit frère de Simon, et qui pourrait bien nous fournir la clé de ce roman bref et déchirant.
Afficher en entier