Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 700
Membres
1 013 436

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Celui qui ne sait pas dissimuler ne sait pas régner

Afficher en entier

Cherchez le mobile et vous trouverez l’assassin, explique l’adage. Haine, jalousie, cupidité…

Richelieu passait impassiblement en revue les causes motivant un régicide en l’an 1630, et, au fur et à

mesure, la liste des suspects s’allongeait.

Afficher en entier

Aujourd’hui encore, je souris de mon innocence… J’avais dix-sept ans et tant d’illusions ! Et c’était toujours ma naïveté qui me poussait vers les Tuileries, et bientôt au Louvre.

Afficher en entier

Ainsi, alors que j’approchais de Paris, l’hospitalité se fit rare.

Afficher en entier

Je dus baisser la tête pour cacher mes larmes et, m’abandonnant à la prière, je confiai mon sort au

Tout-Puissant, suppliant que l’on vienne à mon aide ; que l’on m’envoie enfin un signe d’espoir.

Afficher en entier

- En effet ! grinça-t-il. Aucun agent ne pourrait se cacher derrière les traits d'un être aussi fier, et aussi maladroit que toi.

- N'augmentez plus ma honte et rendez votre jugement, fis-je entendre, convaincu d'être aussitôt renvoyé.

- Eh bien ! Je décide que ce métier te va comme un gant, répondit-il sans attendre, car tu as l'air de tout, mais sûrement pas d'un espion. Ta candeur te servirait-elle de camouflage ? Le temps nous apprendra si je me trompe, si la bienveillance m'aveugle ou si tu possèdes le don de te sortir de situations embarrassantes.

Cependant, ajouta-t-il en haussant le ton, n'oublie jamais que la chance ne sourit qu'une fois aux innocents. Il te faut gagner en sérénité et apprendre à supporter mes critiques. Sers-toi de ta cervelle avant de japper comme un jeune chien fou.

Afficher en entier

Le cœur battant, je retournai sur place le lendemain. Hélas, Marie n’était pas aux cuisines. Bien sûr, elle ne m’attendait pas. Mais comment croire qu’il puisse en être autrement ? Je n’avais été qu’un divertimento, usant aujourd’hui d’un mot dont j’ignorais alors l’existence. Un jouet, dus-je bougonner, un serf qui avait distrait la soirée de la petite princesse.

Afficher en entier

J’allais infliger cette injustice à ma bienfaitrice quand elle surgit, rayonnante, les bras chargés de linges propres. En me les tendant, elle me demanda mon prénom. Antoine ? Et le répéta avant de murmurer le sien. Marie… Marie de Montigny

Afficher en entier

— Est-ce l’invité que j’attendais pour faire honneur à ma table ? Elle me fit signe d’avancer. — Ne crains rien. Ce n’est pas moi qui te mangerai… Pour dissiper ma gêne, j’ai plongé la main dans ma besace et sorti les perdrix qu’un métayer m’avait ordonné de porter au château. — As-tu faim ? demanda cette ravissante fée. Des mots dans lesquels j’entendais qu’on ne voulait ni me punir ni me contraindre, mais simplement subvenir à mon désarroi

Afficher en entier

Bien qu’ayant décidé d’aller me pendre ailleurs plutôt que de me morfondre, j’hésitais sur la méthode, partagé entre la peur de déplaire à Dieu et le désir puéril de découvrir le monde et ses créations. Mourir ou vivre, je devais choisir. Mais en d’autres lieux – c’était une certitude – et je songeais chaque nuit à fuir comme mon père, trouvant ainsi un motif de renouer avec cette ombre, de m’en rapprocher, même dans la mort, moi qui me désespérais de n’appartenir à aucune lignée, quand une rencontre me laissa enfin espérer autre chose que ce tableau funeste

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode