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Churchill et Roosevelt n'ont pas changé de politique ni de stratégie.
Ils veulent vaincre militairement le IIIe Reich.
La chute de Hitler, la destruction du nazisme, la capitulation de l'Allemagne, l'anéantissement de ses armées sauveront les Juifs de l'extermination.
Afficher en entier" [...] Aujourd'hui, nos ennemis sont parvenus à faire régner sur l'Europe un régime de terreur plus effroyable que celui qui fut installé par les hordes barbares au printemps du Moyen Âge, en mettant toute leur science au service de leur férocité..."
Déclaration du général DE GAULLE à la Conférence interalliée de Saint-James, Londres, le 12 janvier 1942
Afficher en entierTout remonte à Jean Moulin. Il est la clé de voûte de la Résistance. Il organise, contrôle, rassemble, ordonne, reçoit et distribue les fonds fournis par la France Libre.
Afficher en entierPenché sur le gouffre où la patrie a roulé, je suis son fils qui l'appelle, lui tient la lumière, lui montre le salut.
Afficher en entierJe suis colossalement humain. Au temps de la domination papale à Rome, les Juifs étaient traînés en parade à travers la ville par des ânes. Tout ce que je fis, c'est qu'ils doivent partir. Si l'opération entraîne leur mort, je ne peux rien y faire.
Je n'envisage l'extermination totale que s'ils refusent de partir de leur plein gré.
Afficher en entierOn massacre ces Untermenschen. On brûle leurs isbas. on éventre leurs mères, leurs soeurs, leurs épouses. On tue leurs enfants, mais ces poux sont innombrables.
Afficher en entierLe 28 mai 1942, le port de l'étoile de David, jaune, avec le mot JUIF en lettres gothiques noires, est rendu obligatoire en France, en zone occupée.
Les tueurs marquent leurs proies.
Afficher en entierL'Allemagne a perdu la guerre. Elle entraînera dans son gouffre tous ceux qui auront marché ou semblé marcher sans son sillage. Prenez garde, monsieur le Maréchal, de ne pas survivre à votre gloire.
Afficher en entierLes représailles sont lourdes, impitoyables : chaque jours tombent des "otages", des "terroristes". La plupart sont fusillés, certains décapités.
"Imbéciles, c'est pour vous que je meurs", lance au peloton d'exécution l'un de ces "terroristes", Valentin Feldman.
Afficher en entierDans le ghetto de Vilna, un adolescent de quatorze ans écrit :
'J'ai le sentiment que nous sommes pareils à des moutons. On nous massacre par millions et nous sommes démunis. L'ennemi est fort, rusé.
Il nous extermine conformément à un plan et nous sommes découragés.
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