1Q84, Livre 1 : Avril-Juin

Un roman intéressant, certes peut-être pas mon préféré de haruki Murakami mais le cœur de l'histoire et l'ambiance qui en découle est plutôt bien dosé

Ce livre est pour moi plus qu'un simple livre, c'est un univers à part entière. Dans ce livre, on plonge dans une autre réalité, un autre monde. L'écriture est compréhensible, c'est un roman qu'on lit très facilement il n'y a pas d'incompréhension. Cependant, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de longueur à certains moment, on pouvait sauté des pages entière sans que, celons moi, cela impacte la cohérence du livre. C'est vrai que c'est aussi ce point qui rend le livre aussi unique, mais pour moi il y avait des passages trop long, et que pendant un certains nombre de pages il ne se passait rien, ce n'était que des éléments descriptifs.

roman de 500 pages articulé de la façon suivante: un chapitre sur Tengo (le personnage masculin) puis un chapitre sur Aomamé (le personnage féminin). Le simple fait de découpé le livre de cette façon donne déjà une impression de longueur inutile sachant qu'à la fin du premier livre les deux personnages ne se sont pas encore croisés (je suppose qu'ils le feront dans les autres romans mais un livre seul m'a suffit j'abandonne là leur histoire ô combien inintéressante. Les descriptions ne permettent pas du tout de se familiariser et d'aimer les personnages. On apprend juste que Fukaéri a de beaux seins (ça doit être important pour nous le rappeler constamment je suppose) alors que le personnage de Fukaéri semble intriguant et peu conventionnel. Quant aux deux personnages principaux leur principale préoccupation dans la vie semble être de baiser car quand ils ne passent pas à l'acte ils réfléchissent à assouvir leur pulsions sexuelles, voila ce qui ressort de 500 pages. Le mon parallèle 1984/1q84 est supposé par Aomamé dès le départ mais ne semble ni la perturber pour autant ni apporter la moindre profondeur au roman!!! Passez votre chemin.

J’ai commencé cette série début d’année.

Je termine le dernier volume.

Romans très bien écrits.

J’ai adoré les 2 premiers mais plutôt déçu du dernier. J’ai eu du mal avec le nouveau personnage qui apparait dans ce troisième tome.

Et la fin…. Aucune surprise ni fantaisie qui aurait pu conclure cette histoire

Il me manque une VRAIE fin, trop de choses qui restent en suspens, on reste dans le flou c’est dommage..

Le premier tome d'une trilogie envoûtante, qui m'a plongé dans un état de semi-rêve durant les mois qu'ont duré ma lecture entrecoupée. Ça a été ma première expérience avec la littérature japonaise (et même asiatique en général, je crois), et j'y suis allée sans savoir à quoi m'attendre. Si l'intertextualité avec 1984 (qui était mon ancrage de départ) est légère et met du temps à se développer, le texte nous porte sans effort vers des réflexions nombreuses et profondes. Je ne regrette absolument pas ma lecture, et vous la conseille le temps d'un voyage hors du temps.

Sans surprise: c'est un coup de cœur. Je dis "sans surprise" car dès les premières pages, je savais que j'allais autant aimer l'histoire, que les personnages, que l'écriture. Et ça n'a pas loupé.

C'est la première fois que je lis Murakami, et qu'elle découverte ! Quelle poésie, quel bonheur de lire ces mots, quel émerveillement de voir se monde se créer devant mes yeux, qu'elle prouesse de pouvoir faire de ses lecteurs, des personnages à part entiere de son récit.

J'y ai tout aimé. C'est tellement intrigant, on ne sait jamais où on va, et quand finalement quelques éléments se rejoignent, on est à mille lieux d'imaginer comment c'est possible, et comment l'auteur a pu imaginer tout ça.

Il y a pleins de sujets abordés, et bien développés. Rien n'est juste survolé, Murakami va vraiment au bout des choses.

J'ai hâte de lire la suite et d'en savoir plus sur les histoires de Tengo, Aomame, Fukaeri et les "little People".

Genre de science-fiction? Oui, il y a une légère catégorie d'uchronie ou de monde parallèle, bien que selon moi, on se focalise davantage sur le fantastique très léger. Il est peu probable que nos petits gens mystérieux prennent de l'importance et qu'ils sont probablement à l'origine de cette histoire.Le premier tome d'une trilogie d'un écrivain japonais renommé, au point d'avoir été proposé pour le prix Nobel (j'aurais au moins acquis quelque contenu). La barre est élevée.

C'est avec « 1Q84 » que je suis entrée, il y a une bonne dizaine d'années, dans l'univers de Haruki Murakami.

À l'époque, j'avais eu l'impression de ne pas être totalement entrée dans le récit et surtout j'avais été incapable de dire si, la dernière page tournée, j'avais aimé ou pas cette histoire.

Le roman, à la fois réaliste et fantastique, avait tous les ingrédients pour me plaire. Et, en effet, l'atmosphère m'avait fascinée. Pourtant, même si ce texte où s'entrecroisaient rêve et réel, conscient et inconscient, m'avait plu, je l'avais également trouvé confus, énigmatique, trop peu explicite.

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Après une petite dizaine de romans lus, j'ai voulu revenir vers ces trois tomes présents dans ma bibliothèque, par curiosité, pour voir si mon ressenti avait pu évoluer.

Le premier tome de 1Q84 se déroule à Tokyo entre avril et juin de l'année 1984 et suit une femme et un homme, Aomame et Tengo, dans leur quête pour se retrouver. Au fond, il s'agit d'une histoire d'amour.

Mais avec Haruki Murakami, ce n'est jamais aussi simple. Si 1Q84 parle d'amour, de désir sexuel, de fantasme et de solitude. Il traite de la violence sexuelle, de crimes. C'est aussi un livre sur la littérature et l'écriture, un roman de l'imaginaire sur les univers parallèles et les réalités déformées, sur une secte religieuse très fermée et le peuple invisible des Little People.

Cela fait un drôle de mélange, me direz-vous. Et bien oui, mais ça fonctionne ! C'est un livre insolite, inattendu qui m'a totalement envoûtée ! J'ai adoré cet entrelacs de fantaisie et de rêve éveillé, de mystère et d'irréalité, de sexe et de meurtres.

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Attendue pour un rendez-vous professionnel important, Aomame a pris un taxi mais la voie express est affreusement encombrée ce jour-là et la jeune femme ne peut se permettre d'être en retard.

Le chauffeur du taxi lui propose alors d'arrêter la voiture sur l'espace de stationnement d'urgence un peu plus loin sur le bas-côté et de la laisser emprunter un escalier de secours pour rejoindre la nationale en dessous et la gare toute proche.

Avant de quitter l'homme, celui-ci lui parle de manière énigmatique :

« Les choses et l'apparence, c'est différent…. Il n'y a toujours qu'une réalité. »

Elle va très vite remarquer que, depuis qu'elle est montée dans le taxi, le monde ne tourne plus rond, il se passe des choses étranges autour d'elle. Elle finit pas se persuader qu'elle est entrée dans une réalité alternative qu'elle va appeler 1Q84.

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Tengo, professeur de mathématiques et jeune écrivain en herbe, accepte, à la demande de son éditeur, de réécrire le roman d'une jeune lycéenne - La Chrysalide de l'air - en vue de lui faire gagner un concours d'écriture et pourquoi pas un grand prix littéraire.

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La vie d'Aomame et de Tengo semble suivre des trajectoires parallèles. Leurs destins semblent de ne jamais pouvoir se retrouver. Pourtant, peu à peu, l'alternance des points de vue laisse entrevoir des points de contact qui relient leurs deux vies : une adolescente dyslexique, une mystérieuse secte religieuse et les Little people, la présence de deux lunes dans le ciel … Alors peut-être que dans le monde de 1Q84, leur rencontre est possible.

A y regarder de plus près, le monde de Haruki Murakami ressemble à un tableau surréaliste. Réalité et imaginaire se chevauchent, se rejoignent, s'entremêlent, se confondent et faussent notre perception du réel.

L'auteur entraîne le lecteur dans un univers troublant, un peu flou, un peu bizarre où les repères temporels et spatiaux s'estompent, s'effacent. Je me suis déplacée en équilibre sur ce fil ténu entre réel et irréalité, me laissant emporter dans cet univers qui m'attire tant.

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Haruki Murakami est un extraordinaire conteur d'histoires. Dès que j'ouvre un de ses livres, la réalité de mon monde s'efface et je m'immerge dans un univers décalé, onirique et évanescent, qui oscille à la frontière du rêve et de la réalité, de la conscience et de l'inconscient.

L'incroyable force des récits de Haruki Murakami est de les inscrire dans la platitude du quotidien. le personnage de Tengo est discret, banal. Sa vie est insipide, ennuyeuse, emplie de solitude. Celle d'Aomamé n'est guère mieux, tout en étant très différente.

Avec subtilité, l'auteur va faire entrer l'étrangeté par des éléments décalés et désynchronisés. le réel se paillette alors d'onirisme et de magie, de fantastique et d'irrationnel, de malaise et d'obsession, ce qui lui confère une poésie indéniable.

« L'atmosphère de la serre procurait une sensation de chaleur et d'humidité, lourdement saturée par le parfum des plantes. Et ici ou là apparaissaient ou disparaissaient les multiples papillons, tels des signes fugitifs ponctuant le flot d'une conscience sans début et sans fin. Chaque fois qu'Aomamé pénétrait en ce lieu, elle avait l'impression de perdre la sensation du temps. »

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Les livres de Haruki Murakami sont uniques, ils ne ressemblent à aucun autre. Je reste subjuguée et émerveillée par son univers onirique, complexe, teinté de réalisme magique. J'ai hâte de poursuivre avec le deuxième tome.

Mais j'ai aussi conscience que 1Q84 est atypique et ne plaira pas à tous. En regardant les notes, j'ai bien vu combien ce livre divisait. C'est un risque à prendre.

Un coup de coeur !

J'ai beaucoup aimé ce livre, l'histoire est captivante et de plus en plus intrigante. J'ai aussi beaucoup apprécié les personnages qui sont assez originaux. Il y a quelques passages de l'histoire qui sont assez "durs" à lire avec certains sujets difficiles qui y sont traités. J'avoue avoir été mal à l'aise par moments, que se soit à cause des pensées des personnages ou tout simplement par l'histoire en elle-même, qui, en se déroulant devient de plus en plus étrange, pas dans un mauvais sens, au contraire, Spoiler(cliquez pour révéler)j'étais tellement dans le livre, que je m'attendais presque à voir débarquer les Little People dans ma maison. J'ai hâte de lire la suite pour en savoir plus.

J'ai découvert ce roman un peu par hasard.

J'ai eu un peu de mal à accrocher et j'avoue qu'il me laisse un sentiment perplexe. On part parfois dans des digressions qui semblent flous.