Réponses au commentaire de Alex16DS
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Chacun voit ce qu’il cherche dans les étoiles… étincelle, espoir, lumière ou trou noir… Chacun lit ce qu’il veut trouver dans les mots… illusion, réalité, rêve, art…
313… pourrait être ce nombre d’étoiles et de mots… mais il est surtout la somme d’un tout, dont le total intense en obscurité luminescente se fait rageante de douleur… de celle qui se souffle, se murmure, se plaint… se chante, se crie, se hurle… se pleure, s’étouffe, se meurt… se frappe, se défend, se noie… mais surtout s’aime dans l’immensément sombre et misérable, ainsi qu’ambitieuse et phénoménale hargne!
Qu’il est important de se rappeler que la noirceur n’est pas seulement la couleur d’une peau, du goudron collant, du deuil ou de cette obscurité de misère… mais aussi de celle de l’encre… celle qui gratte du papier pour une histoire de flow, de cash-flow, de boulot, de diabolo, de mayo, de fléaux, de ghetto, de stéréo… une histoire d’envie, d’amis, de survie, de rêvasseries, de frénésie, de furie, de perte de vie, de poésie… Bizarre? Preuve à l’appui, ce n’est pas qu’une histoire de lutins, de truc ou de machins… Porter en soi toute la noirceur de la rage, la filtrer par des mots, pour irradier de lumière les étoiles dont toutes les promesses ne peuvent être tenues, illusion d’un monde ténue, mais qui sont sans équivoque extrêmement bien rapées, grâce à la taille méticuleuse d’un maître d’expressions tout en émotions criantes.
Inutile parfois de chercher la lumière, quand on accepte combien l’obscurité peut être belle!
Alors si vos yeux aiment autant l’opacité que la lumière des étoiles, n’oubliez pas, faites le 313! Evil dans la place… Die sur place… Ewa Rau aura les mots face à cette comète qui transpercera votre coeur avec audace et classe!
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