47 Allée du lac

J'avoue je reste perplexe..autant j'aime les histoires de Peter James, ms là je n'ai pas tout compris le déroulé de l'histoire 😅 Pourtant tout y était : la maison, l'histoire du lotissement, les personnages, un petit bémol sur Jason Danes qui m'énervait quelques fois, les phénomènes paranormaux....Avec un final qui me laisse sur ma fin...

Le suspense est total, j'ai aimé l'histoire

Pour ceux qu'il s'en souviennent, j'avais relu La maison des oubliés pour pouvoir enchaîner avec la suite, 47 Allée du Lac.

Ce vieux et gigantesque manoir hanté avait un charme et une "présence" presque inoubliables.

En tout cas, j'avais beaucoup aimé.

Je me suis donc jetée avec enthousiasme sur la suite, parce que c'est pas le tout, mais je me demandais où étaient passés tous ces morts... fantômes.

C'est kif-kif.

Après l'incendie qui a réduit le manoir en poussière, tout a éé rasé pour construire un lotissement de maisons modernes et classieuses.

Un couple sympathique visite la plus grande d'entre elles et tombe sous le charme dès le premeir regard.

De plus, ça tombe bien, le second étage fait toute la dimension de la maison, des baies vitrées partout... idéal pour un atelier.

Et justement, Jason est artiste peintre. Il commence à se faire une certaine popularité, les clients se bousculent, les galeries lui organisent des expositions.

Au rez-de-chaussée, une cuisine professionnelle a remplacé le garage, ce qui tombe également très bien, puisque la femme de Jason, Emily, est traiteur.

Commande de tout ce qui est électrique à la voix, etc. aménagement de la maison à la pointe de la technologie.

Bon, le bidule tombe en panne dès les 5 premières minutes, mais qu'à cela ne tienne, ça marche même débranché. Sauf que ça marche comme ça veut.

Parce que les entités, qui ont évolué au même rythme que quand ils étaient vivants, font mumuse avec les gadgets.

Je ne sais pas vous, mais moi je suis certaine que j'en ferais autant.

Ils se montrent, parlent, répondent, font du boucan. La durée de leur absence ne les a pas rendus plus aimables qu'auparavant.

Hormis Jason et Emily, dans la maison d'en face, nous avons un couple un peu extravagant que je vous laisse découvrir.

Ils m'ont bien amusée, ces deux-là.

Et puis il y a l'homme au cigare, j'ai failli l'oublier !

J'ai été déçue par ce roman. Les phénomènes se multiplient mais Jason cherche une explication rationnelle à tout ce qui se passe, et la trouve.

Il voit des choses qui ne se sont jamais produites, même si sa femme les voit aussi, puis le nie.

Rencontre des gens apparemment en chair et en os...

Je n'ai pas trouvé l'histoire crédible, je n'ai pas frissonné du tout. J'ai beaucoup ri par moments, c'est toujours ça de pris.

J'attendais quand même autre chose, d'autant que j'aime beaucoup Peter James.

Il s'est sans doute autant amusé que moi, en fait.

Sa plume est toujours aussi belle, mais aucune émotion n'en est ressortie pour ce qui me concerne. Les personnages ne m'ont pas touchée du tout.

Plus qu'à passer au suivant.

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Ce n'est pas le premier livre de Peter James que je lis, et ne nous mentons pas, ce ne sera pas le dernier. Mais j'avoue avoir été quelque peu déstabilisée, même si j'ai beaucoup aimé ce que j'ai lu. On suit ici l'histoire de Jason et Emily qui emménagent dans leur nouvelle maison, pièce maîtresse d'un lotissement dernier cri à la pointe de la technologie. Petit détail mais qui a son importance, il est construit sur l'ancien emplacement d'une grande maison au passé tragique.

J'ai dévoré le livre, clairement. L'écriture de Peter James m'accroche toujours autant, sa façon de faire monter la tension et de rentrer rapidement dans le vif du sujet m'a accrochée de suite et j'ai eu du mal à me résoudre à poser mon bouquin. Les personnages sont bien construits, on aime les suivre dans leur quotidien, les voir interagir avec leurs excentriques voisins d'en face et surtout les voir se perdre entre ce qui est réel et ce qui ne l'est pas. Et le problème, c'est que j'avoue m'être perdue aussi. Arrivée à la fin, je me suis demandée à quel moment tout avait basculé, et même si la conclusion est claire, le chemin pour y arriver ne l'est pas, du moins pas pour moi. Quelques détails m'ont échappés, mais globalement j'ai adoré, je me suis laissée emporter par le tout. J'aurais juste apprécié une délimitation plus nette entre le quotidien et le moment où tout déraille, un déclic qui me fasse me dire "ah ben oui c'est là", même si on a quand même assez d'indices pour deviner la fin.

En tout cas ce fut une bien bonne lecture, j'avais très envie de découvrir ce livre et je ne regrette pas, il m'a juste donné envie de lire un autre livre de l'auteur qui est dans ma pile à lire !

*47, allée du lac* de Peter James est une œuvre captivante qui plonge les lecteurs dans un tourbillon de suspense, de paranormal et de frissons. Dès les premières pages, l'auteur parvient à instaurer une atmosphère envoûtante, laissant présager une expérience de lecture immersive et intense.

L'histoire se déroule dans un nouveau lotissement niché au cœur de la campagne anglaise, où un jeune couple s'installe dans une maison ultramoderne équipée des dernières technologies. Cependant, l'idylle de cette nouvelle vie se transforme rapidement en cauchemar lorsque des phénomènes étranges et paranormaux commencent à hanter le quotidien des protagonistes. L'auteur maîtrise habilement l'art de distordre la réalité, laissant le lecteur se demander s'il est confronté à la folie ou à des forces surnaturelles.

Ce qui rend ce roman particulièrement saisissant, c'est la manière dont Peter James explore les mystères de la maison, du village et de ses habitants énigmatiques, ainsi que l'histoire intrigante du cimetière local. Chaque page révèle de nouveaux éléments qui alimentent la tension narrative et suscitent un intérêt croissant. L'auteur réussit à tisser une trame complexe, mêlant habilement les éléments du thriller psychologique au paranormal, offrant ainsi une expérience de lecture riche et inoubliable.

L'écriture de Peter James est fluide et immersive, transportant les lecteurs dans un univers où la frontière entre la réalité et le surnaturel devient de plus en plus floue. Les descriptions détaillées du cadre et des personnages contribuent à renforcer l'atmosphère sombre et mystérieuse qui imprègne le récit.

Enfin, *47, allée du lac* possède une qualité cinématographique indéniable. L'histoire est si visuellement évocatrice et puissante qu'on peut aisément l'imaginer sur grand écran. Cependant, la tension et l'angoisse générées par le récit pourraient rendre cette expérience cinématographique presque insoutenable pour les âmes sensibles.

En conclusion, *47, allée du lac* est un roman qui réussit à captiver, effrayer et fasciner en égale mesure. Peter James délivre une histoire palpitante qui laisse une empreinte durable dans l'esprit du lecteur. Les amateurs de thrillers psychologiques et de paranormal trouveront dans cette œuvre une lecture incontournable, les plongeant dans un monde où la frontière entre le réel et l'imaginaire s'efface dans un tourbillon d'émotions.

J'ai trouvé cette suite de la maison des oubliés très réussie, peut-être était-ce même mieux que le premier tome !

Comme pas mal d’entre vous, je connaissais Peter James pour sa série des Roy Grace, que j’aime beaucoup. Le découvrir dans un autre registre était donc très tentant. De plus, c’est un genre que j’affectionne, et l’accroche est tentante !

Une maison, un couple qui emménage, des phénomènes étranges… Rien de très original, mais tout laisse à penser que le moment de lecture sera bon.

Effectivement, il l’est. D’abord avec les personnages réalistes, tout comme le sont les « relations de voisinage ». Puis l’atmosphère, qui change peu à peu, insidieusement. Des évènements qui semblent tout d’abord être des coïncidences, puis le fruit de l’imagination, de la fatigue. L’ambiance devient de plus en plus étrange et la tension monte graduellement…

La lecture est facile, fluide et rythmée. Je ne parlerai pas de gros frissons, sans doute ai-je trop l’habitude de ce genre de livre, mais plutôt de moments captivants.

C’est un roman que j’ai pris plaisir à lire. Parce que sans prise de tête. Parce qu’il m’a embarquée dans l’histoire de ces deux couples, Jason et Emily, Maurice et Claudette. Parce que l’auteur a su me donner l’envie de découvrir le sort réservé à ses personnages.

Donc oui, j’ai apprécié ma lecture. Je ne parlerai pas d’un coup de cœur, parce que pour moi certaines choses sont assez prévisibles (mais bien trouvées et logiques), cependant ce roman m’a fait passer un très bon moment. L’histoire est assez classique en elle-même mais elle est bien menée et divertissante. Les personnages sont bien posés, tout comme le contexte et les décors. Un récit qui permet de s’évader du quotidien et c’est tout ce qu’on demande.

Un peu déçue de ce roman fantastico/horrifique. Premier lecture d’un roman de cet auteur, j’en lirai probablement un second pour confirmer mon avis.

Je suis mitigée sur ce roman traitant du thème de la maison hantée.

Quand je lis ce genre de livre, c'est pour frissonner, avoir les cheveux qui se dressent sur la tête, ressentir de l'angoisse... Je suis assez difficile dans ce genre-là car c'est un genre que j'adore mais j'ai besoin que ce soit un minimum crédible pour arriver à m'immerger dans ce type d'ouvrage (oui je sais c'est paradoxal vu le genre).

Or ici, j'ai eu beaucoup de mal avec le début de ma lecture. Peter James dévoile dès le début les soucis que vont rencontrer Emily et Jason dans leur nouvelle maison. Mais il le fait de manière tellement cliché, que j'ai plus d'une fois levé les yeux au ciel: la télévision qui s'allume toute seule, l'électronique qui n'en fait qu'à sa tête... Bref, c'est quand même du vu et revu.

Pour les personnages, nous avons donc ce couple plus le couple d'en face Claudette et Maurice. Et oui comme leur nom l'indique, ils sont également un cliché à eux deux: la femme qui tyrannise son mari, qui jalouse et dénigre les autres en permanence, et le mari qui dit déteste sa femme mais qui dit amen à tous ses caprices.

Avec tout ça comme points négatifs, je partais très mal dans ma lecture. Mais c'est sans compter le talent d'écriture de l'auteur. Il m'aura quand même fallu arriver aux alentours des cent pages pour que ma curiosité soit enfin piquée.

Même si je n'ai pas sursauté comme une dingue dans mon fauteuil, la plume incisive, courte et fluide de l'auteur aura fini par m'embarquée dans cette histoire.

J'ai bien aimé le concept de la temporalité qui permet au lecteur d'être aussi confus que le couple par moment. Peter James instille le doute: réel, imaginaire ? Et puis je me suis prise au jeu et je voulais vraiment savoir ce qui allait leur arriver au final.

Cette fin m'a d'ailleurs plutôt plu. Elle est en totale adéquation avec l'histoire.

Ce livre est fait pour vous:

- si vous aimez les histoires de maison hantée bien écrite (forcément, hein !).

- si vous ne cherchez pas une réelle profondeur dans l'intrigue ni les personnages.

- si vous ne venez pas de déménager dans une maison neuve d'un tout nouveau lotissement !

Vous allez me trouver très tête en l’air, mais j’ai mis un moment à comprendre que ce roman était une suite directe de La Maison des Oubliés, que j’avais lu et adoré !

Alors, on ne va pas se mentir, Peter James tire un peu trop sur la corde avec cette suite qui n’apporte rien de plus à son univers horrifique. De nouveaux propriétaires emménagent dans une maison toute neuve sans savoir qu’elle a été construite sur un ancien site où se trouvait le fameux manoir diabolique.

Même si, concrètement l’intrigue reste plate et sans véritable forme, j’ai aimé ma lecture. Déjà parce que j’ai adoré la manière dont l’auteur nous présente ses nouveaux protagonistes. Entre le jeune couple d’artistes a qui tout réussi et celui des quinquagénaires dont le seul plaisir dans la vie est de médire et d’espionner leurs nouveaux voisins, sans se douter qu’eux-mêmes le sont aussi, mais par des esprits retords qui ne leur veulent pas que du bien.

Alors, si j’ai apprécié dans son ensemble, la fin par contre, je l’ai trouvée bâclée. On s’en doutait, mais j’aurais aimé que cela soit amené d’une autre manière. Ou tout du moins que cela apporte une vraie pierre à l’édifice de « Cold Hill ». Ce qui n’est malheureusement pas le cas.

La plume de Peter James et fluide, entrainant, il sait dépeindre avec une facilité déconcertante les travers de l’être humain ainsi que ses petites habitudes. C’est très bien fait et je me suis plus à jouer les voyeuses avec nos deux couples qui, on se le doute, vont connaitre des évènements terribles !

En bref. Cette suite n’apporte rien de plus à La Maison des Oubliés, mais en période de pré-Halloween, si vous avez envie de lire quelque chose qui vous fasse frissonner, ça remplira son office. Cependant, n’en attendez pas trop quand même.