Commentaires

Très bonne BD, hâte de connaître la suite. Je me demande si cette histoire ne romantise pas une situation extrêmement creepy : je rappelle que ça n'a vraiment rien de romantique ou de beau de se faire suivre par quelqu'un qui flashe sur vous...

Je crois que je commence à tomber sous le charme des différents univers que nous propose Timothé Le Boucher. Toujours un peu glauque, tout en étant onirique et captivant, les histoires nous happent et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, on a fini notre lecture.

Je ne sais pas pourquoi, mais je m’attendais à une histoire de sirène. J’ai donc été surprise quand on part sur l’histoire d’une métamorphe qui devient obsédé par un jeune harpiste. Évidemment, c’est donc assez glauque et perturbant, mais aussi très addictif, intriguant et envoutant. Pour ça, Timothé Le Boucher est vraiment doué.

Vraiment un roman graphique magnifique.

Les dessins sont incroyables, ils nous embarquent directement dans l'univers de l'auteur.

Le scénario m'a emporté immédiatement, et la fin est remplie de suspens, ça ne vous laissera pas indemne !

J'ai hâte de lire la suite et de connaître la fin de l'histoire.

Ce gros morceau de Timothé Le Boucher n'est que la première partie d'une histoire, encore une fois passionnante. Comme d'habitude avec cet auteur, les illustrations sont colorées, avec des personnages avec des morphologies variées (de même que leurs origines et orientations).

Cette histoire aborde la passion, autant de la musique que de l'amour, mais il parle aussi d'obsession, de compétition, de trahison et manipulation. Cette femme mystérieuse, bien que reine de la manipulation, facile quand on peut prendre l'apparence que l'on veut, nous charme et nous entraîne dans ce récit à suivre.

Le plus intrigant et sensuel des ouvrages de l'auteur.

Un roman graphique assez surprenant pour ma part. Le résumé nous laisse imaginer certaines chose et finalement c'est beaucoup plus complexe que ça en à l'air. On ne sais pas réellement quelles sont les intentions de la créature ni ce qu'elle ressent vraiment et c'est assez intriguant je dois dire. En ce qui concerne le dessin, je suis pas hyper emballé. C'est assez réaliste mais sans détails, combiné à une palette de couleurs terne, je trouve l'ensemble un peu fade (ce n'est que mon avis personnel ;) ). Dans la globalité cela reste quand même une bonne découverte et j'attends la suite avec plaisir.

47 cordes. Pourquoi ce titre ? C'est le nombre de cordes d'une harpe. Et c'est aussi le nombre de défits donnés par une cantatrice à Ambroise, jeune harpiste pour avoir la harpe de ses rêves. Les dessins de Timothé Le Boucher sont, comme d'habitude, très beaux, expressifs, en mouvement, un régal pour les yeux. Par contre, j'ai eu du mal avec cette histoire de personne qui se métamorphose en autant d'êtres qu'elle veut, me posant sans cesse la question est-ce la même ou une autre ? Je l'ai lu jusqu'à la fin, mais en me traînant dessus.

Beau graphisme mais je ne comprends pas cette histoire!

J'ai lu cette BD dans le cadre d'un concours......

Moi qui ait souvent souhaiter pouvoir me métamorphosé à volonté, cette lecture m'a plutôt refroidi. Avoir cette femme (?) collée aux baskets à longueur de temps doit être un véritable enfer.

Habituellement, je déteste les BD, et je déteste le surplus de sexualité dans une oeuvre où il n'y en a pas besoin et ne lis donc jamais de fictions avec ce thème. Etonnament, j'ai pourtant adoré 47 cordes, le dessin est à la fois simple et réaliste, et c'est très intéressant d'aborder le thème de l'identité et le thème de l'obsession. Au final, ça change tellement de mon style habituel de lecture que ça a éveillé ma curiosité et m'a fait me remettre en question. Ce n'est pas une BD que je recommanderai à n'importe qui, si vous avez des lectures habituelles plutôt vanilla comme moi, vous risquez d'être un peu choqué.e par cette BD. Mais on s'y fait vite, et au final je me suis surprise à apprécier le suspens, on se demande quand et comment Ambroise va capter qu'une polymorphe abuse de sa confiance.