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J'ai toujours pensé qu'il n'existe pas de magie noire ou de magie blanche; seulement des sorciers animés de bonnes ou de mauvaises intentions...
Afficher en entier" 'Quelle heureuse surprise !'
On s'en doute, ce n'est pas moi qui parle.
'Tout le bonheur est pour toi', je réponds donc à Gueule de Charbon."
Afficher en entier-Tu parles, euh, le corbeau ? (Jasper, récemment devenu Jasp'r)
-Pas vous maître ? (Ralk')
-Euh, non, enfin, pas vraiment. Je parle le fafnir, c'est déjà pas mal. (Jasp'r)
Afficher en entier"Tu n'es plus rien. Tu ferais fuir une goule avec ta gueule ! Pire, tu te prendrais un vent avec un vampire !"
Afficher en entierDepuis les Abattoirs jusqu'à la Rue du Horla, il faut presque un heure en marchant et pas loin de quarante minutes en métro.
C'est pourquoi, une fois quitté la frontière semi-brumeuse pour un monde plus stable, je décide de courir.
Ma besace battant contre ma hanche, mon manteau flottant derière moi dans le vent de la course, je m'abandonne au plaisir des foulées que je déroule sur le trottoir.
J'aspire goulûment l'air froid de la nuit.
Mon coeur s'est mis en mode métronome et ma respiration reste régulière.
Afficher en entierEt dire que je me croyais cinglé en dialoguant dans ma tête avec Ombe ! Voilà que je cause à un démon prisonnier d'un miroir qui taille une bavette avec un sortilège piégé dans un cadavre de corbeau...
Afficher en entierNous sommes des voyageurs guettant sur l'ultime rivage le navire des derniers jours, qui flottera sur les ongles des morts...
p16
Afficher en entierPartir, c'est mourir un peu ; mourir, c'est partir beaucoup...
Afficher en entierPost-It
Bout de papier retrouvé sous le fauteuil où je jette mes vêtements avant de me coucher. Comment est-il arrivé là? Depuis combien de temps traîne-t-il dans la poussière? D'autant qu'il s'agit de l'écriture d'Ombe...
Spoiler(cliquez pour révéler)"La vie mérite d'être vécue.
Toujours."
Afficher en entier"le chevaucheur, le voleur de nuage, qui danse sur la lande comme le faucon en voyage [...]
"coureurs infatigables, martelant de leur pas les chemins innombrables" [...]
"- je suis le marcheur aveugle, les yeux figés contemplant une lune qui tarde à se montrer.
- tu arpentes l'horizon orange qui fabrique d'étranges orages... E- clair d'ivoire, gouttelettes d'eau pâle, châle de pluie sur l'herbe endormie... La feuille se détache et tombe sur la peau de la mare, dans laquelle se reflète un morceau de ciel noir" [...]
"Nous sommes les titans échoués sur des rivages glacés , aux galets froids le choc des vagues et puis l'effroi, les vastes flots bruissants de rage"[...]
"Tu es la terre qui se tord , la sirène déchainée qui appelle le pâles désirs au festin de la mort !"[...]
"Tu es le voyageur sur le port..."
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