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« Très bien, Stamp, je hurle, en me levant et en me donnant en spectacle. Tu veux savoir pourquoi je ne peux pas aller à ce bal débile avec toi ? Eh bien, c'est parce que j'y vais déjà avec... avec... Dane Fields. »

Waouh, d'où est-ce que c'est sorti, ça ? Il a l'air un peu perplexe pendant un bref instant, puis il reprend ses esprits et il se fend d'un petit sourire cruel avant de lâcher : « Quoi, ce tocard qui traîne tout le temps avec l'autre gothique ? Celui qui ne retire jamais sa capuche, même en cours ? Celui qui fume derrière les bennes à ordures tous les jours ? C'est ce raté que tu préfères à moi ? »

Je veux lui dire que Dane n'est pas un tocard, que c'est moi la ratée, mais c'est mieux ainsi. Je me persuade que c'est mieux ainsi. Alors je le laisse faire, je le laisse m'incendier et à chaque mot de colère, à chaque postillon qui s'échappe de ses belles lèvres pulpeuses, je le remercie de faire ce qu'il fallait faire, ce que j'étais trop faible pour faire moi-même. Car peu importe ce qu'il pense de moi, peu importent les mensonges que j'ai eus à dire, peu importe ce qui arrivera par la suite, au moins il ne connaîtra jamais la vérité.

« Très bien, Maddy, il en a fini et il se tient désormais debout, en me toisant tandis que sa mèche oscille de gauche à droite comme le pendule de l'horloge de Grand-Père. Je m'en fous. Amène ton petit tocard de punk au bal. Je n'ai pas besoin de toi, Maddy. Je peux proposer à vingt ou trente filles qui accepteront immédiatement de m'accompagner.

— Eh bien dans ce cas, je crie par-dessus mon épaule en dévalant les gradins, j'imagine que tu devrais commencer à acheter des bouquets. »

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« Je suis désolée, Maddy. »

Je la regarde à mon tour et souris. « Désolée de quoi ? De m'avoir accusée de te mentir ? » Et tandis que je termine ma phrase, je me sens un peu coupable de lui mettre le nez dedans alors que je suis en train de lui mentir en ce moment même.

« Oui. » Elle marmonne.

« Ou bien tu es désolée de m'avoir fait la gueule pendant le cours de cuisine ?

— Aussi, oui, marmonne-t-elle à nouveau.

— Attends, attends, je n'ai pas encore fini. Est-ce que tu es aussi désolée d'avoir ignoré mes textos durant ces dernières vingt-quatre heures ?

— Oui, oui, et oui d'avance à ce que tu vas encore me sortir. Je suis désolée, Maddy, c'est juste que...

— Oups, encore une. Et le coup d'interrompre Stamp quand il était sur le point, je pense, de m'inviter au bal de fin d'année ?

— Quoi ? Tu ne m'as pas parlé de ça. Pourquoi tu ne m'as rien dit ?

— Euh, je l'ai fait... avec mes yeux. Je crois qu'en substance le message était, "si tu ne dégages pas d'ici immédiatement, je vais empoisonner ton chien, si jamais un jour tu en as un", quelque chose dans cet esprit-là. »

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Spoiler(cliquez pour révéler) Attention

Vos réponses portent à croire que vous POURRIEZ être un zombie. Les nouveaux zombies DOIVENT ingérer de la cervelle fraîche dans les 48 heures suivant leur réanimation ou encourent le risque de retourner parmi les morts...à jamais. Si vous ne souhaitez pas rester un zombie, ignorez cette étape. Si vous souhaitez continuer à vivre, désoler mais VOUS DEVEZ MANGER DE LA CERVELLE.

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En m'éloignant peu à peu, j'agite mon spray anti mycose bien en l'air, pour qu'ils le voient quand tout à coup une voix résonne derrière moi.

- Voilà vos dix livres de cervelle mademoiselle."

Et sans reprendre son souffle, Harvey le boucher s'exclame : " Chloe, Dane ! De retour ?"

Je me tourne vers Harvey et demande : "vous la connaissez ?" au même moment où Chloe se tourne vers Harvey pour dire : "Tu la connais ?"

I me passe négligemment trois paquets enveloppés dans du papier de boucher qui pèsent leur poids... eh bien, qui pèsent le poids de cinq kilos de cervelle d'agneau fraîche : " Bien sur que je la connais, Harvey me répond en premier. C'est la seule personne en ville capable de me commander autant de cervelle en pleine nuit."

Chloe et moi nous dévisageons et, étonnamment, elle n'affiche pas d'air hautain, odieux, insupportable, sarcastique, malpoli, narquois, méchant, désagréable ni même supérieur. "Hmmmm." Elle finit par donner un petit coup de coude à Dane tandis qu'elle regarde avec suspicion mes trois paquets de cervelle. " Mycose aux pieds, c'est ça ?"

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« La vérité. C’est simple : dis que tu es un zombie, que Dane et moi sommes des zombies, que Squelette et Dahlia sont, hum… Des méchants zombies, qu’ils sont bouffé le cerveau de trois filles dans votre classe et que, si nous n’étions pas intervenus, ils en auraient fait de même avec vous. »

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Vous serez surpris d'apprendre qu'on ne trouve pas des masses de cervelles à vendre dans la supérette ouverte vingt-quatre heures sur vingt-quatre au coin de ma rue. Et bizarrement, les vendeurs n'apprécient pas beaucoup lorsque vous venez leur en réclamer. En tout cas, pas l'étudiant à moitié endormi qui se trouve derrière la seule caisse ouverte, la nuit où je me transforme en zombie.

Debout devant le comptoir avec ma queue-de-cheval, mon pantalon de jogging qui sort de la machine, mon sweat à capuche et mes tongs, j'essaie de le regarder dans les yeux. « Euh, salut, dites... Tad ? Je cherche, euh... c'est-à-dire que mon... grand-père... vient chez nous ce week-end et il adore vraiment, ben... je sais que c'est dingue mais il adore la cervelle. Ne me regardez pas comme ça. Je pense que c'est parce qu'il en mangeait à la ferme où il a grandi... vous sauriez où je pourrais en trouver ? »

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Question : Avez-vous été récemment l'objet d'une anomalie électrique, comme entrer en contact avec une ligne à haute tension, subir une attaque au Taser de la part de la police (en ayant les pieds dans une flaque d'eau), passer la nuit dans une centrale électrique, être frappé par la foudre, etc. ?

Réponse : Oui. (Et merci d'avoir utilisé le mot « anomalie » en contexte.)

Question : Avez-vous récemment perdu connaissance durant une période prolongée pour ensuite vous sentir... étrange à votre réveil ?

Réponse : (Je sais que je ne devrais pas répondre ci une question par une autre question mais... est-ce qu'être au sol avec le visage dans une flaque de bouc pendant deux bonnes heures et se réveiller sans pouls ça compte ?) Oui.

Question : Est-ce que votre cœur est actuellement en train de battre ?

Réponse : Non. (Sérieux, pas le moindre petit battement.)

Question : Souffrez-vous de difficultés respiratoires ces derniers temps ?

Réponse : (L'absence de respiration, c'est considéré comme une difficulté? Si c'est le cas, alors...) Oui. (Et c'est encore le cas à l'heure actuelle.)

Question : Subissez-vous des épisodes de chute de température corporelle ?

Réponse : Oui. (Et la température n'arrête pas de chuter.)

Question : Avez-vous pu dormir depuis l'anomalie électrique ?

Réponse : Non. (Et on est au beau milieu de la nuit et je ne suis même pas fatiguée. Pas du tout, même.)

Question : Ressentez-vous un soudain besoin inexplicable et irrépressible de manger de la... cervelle ?

Réponse : (Hum, pas jusqu'à cet instant précis, mais... maintenant que vous en parlez... il se trouve que... )OUI. (Oh. Que. Oui.)

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Mais quelle créature mort vivante n'a pas de pouls ?

Et peut rester la tête dans l'eau pendant deux heures ?

Sans avoir besoin de respirer ?

Je sais que les vampires ont forcément un pouls puisque, soyons logiques, tout tourne autour du sang chez eux.

Et les loups-garous, eh bien, on les voit tout le temps respirer bruyamment après avoir pourchassé un pauvre mortel et renâcler et baver lorsqu'ils attaquent, donc ils ont obligatoirement une bonne capacité pulmonaire pour des morts vivants.

Les fantômes ? On en a déjà parlé. Ce n'est pas ça.

Les momies ? Je n'ai pas les jambes entourées de papier toilette ou de malédictions égyptiennes.

Frankenstein ? J'ai beau regarder, je ne vois pas de savant fou dans le coin.

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Mais que dire à la personne au bout du fil dans un cas pareil ?

« Oui, bonjour, euuh, écoutez, je sais que vous allez croire à un canular et que ça a l'air un peu bilingue, mais je suis morte depuis quelques heures et j'aimerais vraiment en parler avec quelqu'un. Voir, n auriez pas un spécialiste du deuil sous la main ? Ou alors un expert en éclair à disposition ? Ou le numéro d'une prêtresse vaudou ou d'un marabout ? A la rigueur, quelqu'un qui s'y connaît en spiritisme? Comment ? Non, à vrai dire, je n'ai pas besoin de contacter le service psychiatrie, merci beaucoup, il faut juste que quelqu'un vienne me voir et... Allô ? »

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Je n'ai pas vraiment fait attention à cette absence de respiration sur le chemin du retour, parce que, pour être honnête, j'étais surtout préoccupée par le fait que mon cœur ne battait plus du tout. Maintenant, en revanche, je commence à pas mal m'en soucier. Mes poumons fonctionnent uniquement quand j'y pense et que je fais exprès d'inspirer.

J'essaie. Grosse inspiration, grosse expiration, comme chez le docteur pour l'examen de routine à la fin de l'été. Parfait. Les poumons fonctionnent très bien. J'essaie même de murmurer: «Test, test... un deux trois. » Bon, très bien. J'ai peut-être l'air stupide, debout dans ma chambre à deux heures du matin, toutes lumières allumées, encore dégoulinante, à compter jusqu'à trois, mais au moins je sais que je peux encore parler.

Je me livre ensuite à une petite expérience : face au réveil, j'attends qu'il affiche 1 h 52 et je retiens ma respiration. Tout à fait : je bouche mon nez boueux, je gonfle mes joues comme un hamster, je ferme ma bouche et... j'attends.

1 h 53.

Rien.

1 h 54.

Que dalle.

1 h 56. Nada.

2 h 00.

Toujours rien. Après huit minutes bien tassées (j'aurais pu aller jusqu'à dix mais je commençais à m'ennuyer un peu), je finis par ouvrir ma bouche et... rien ne se produit.

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