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Extrait ajouté par ilovelire 2017-06-22T10:51:55+02:00

Frankie versa la préparation dans la coupe bleu et rouge qu’elle tenait à la main. Elle parvenait à doser avec précision la quantité de crème glacée, de coulis à la fraise et de bananes tout en parlant distraitement de ses enfants et de son week-end.

— Quand je me suis réveillée, j’ai retrouvé non seulement du chewing-gum dans mes cheveux, mais aussi deux crottes de nez et un bâton de sucette. Il n’y a qu’à moi que ça arrive, non ?

J’écarquillai les yeux, et elle plongea un cornet gaufré dans une sauce au chocolat. Elle le tint un moment en l’air pour s’assurer que le chocolat était sec, puis versa la préparation à l’intérieur sans en verser une goutte sur le cône.

— Me diras-tu un jour ton secret pour la préparation de la Tempête en cornet ? lui demandai-je.

— À quoi bon ? Tu vas bientôt me quitter.

Je fronçai les sourcils.

— Il me reste encore quatre mois, je te remercie.

Frankie tendit le cornet à travers la vitre coulissante, qu’elle referma ensuite.

— Tu n’as plus besoin de cet argent, Erin. Redeviens donc une vraie jeune fille. Profite de la fin de ton lycée.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-06-22T10:51:20+02:00

Je jetai un regard à M. Morris, qui s’efforçait de ne pas nous observer. Après un rapide balayage de ma vision périphérique, je constatai que M. Morris n’était pas le seul à avoir remarqué l’échange entre Weston et moi.

Je ressentis un pincement au cœur. Cela faisait des semaines que je m’efforçais de retenir mes larmes, et je préférai concentrer mes pensées sur les doses de noix de coco dans une Tempête Hawaïenne, sur le nombre de boîtes de gobelets, cuillères et serviettes en papier que nous allions devoir stocker une fois la livraison effectuée. Je m’imaginais en train de plier et de compter de vieux chiffons. Le Dairy Queen m’avait toujours rassurée. Non seulement mon travail m’occupait l’esprit, mais c’était aussi là-bas que je passais du temps avec ma plus proche amie, Frankie. Et malgré le nombre de personnes auxquelles je devais faire face, il y avait toujours une vitre entre nous.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-06-22T10:51:42+02:00

Nous descendîmes du pick-up armés de nos pinceaux et peintures et nous nous approchâmes du mur sous des regards appuyés. N’importe quel autre élève aurait récolté une retenue ou au moins de sévères remontrances. Il y avait un avantage à être un Alderman, ou un Gates, ou un Masterson, ou un Beck. Les règles ne semblaient pas s’appliquer à ceux qui portaient ces noms. Pas à Blackwell.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-06-22T10:51:34+02:00

Mon indifférence, combinée à la politique zéro tolérance de Mlle Alcorn concernant le harcèlement furent vraisemblablement deux facteurs qui incitèrent Micah à renoncer rapidement. J’éprouvai une vague de soulagement familière, pourtant suivie d’un malaise. Je me sentais en manque d’entraînement, même après quelques semaines à peine à ne plus devoir me tenir autant sur mes gardes. Heureusement, Micah me laissa en paix pour le restant du cours.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-06-22T10:51:27+02:00

Je ne réagis toujours pas. Micah n’avait pas ses amis avec lui pour l’encourager à me harceler, et si je l’ignorais, généralement, il laissait tomber. Il existait trois types de petits tyrans : ceux comme Sara, passifs-agressifs plus qu’autre chose, et souvent uniquement lorsqu’ils passaient une sale journée. D’autres, comme Micah et Andrew, ne me tourmentaient que lorsqu’ils étaient entourés, puis il y avait ceux du genre de Brady et Brendan, qui se fichaient de ce qui se passait autour. Quand ils décidaient de s’en prendre à quelqu’un, leur harcèlement ne cessait pas avant d’avoir réussi à briser leur victime.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-06-22T10:51:09+02:00

Je jetai un coup d’œil à mes cheveux, dont la couleur était presque identique à celle de Julianne, sans les mèches. Je les avais tressés car ils étaient encore un peu humides de la douche que j’avais prise la veille au soir. La plupart du temps, je les relevais en chignon ou en queue de cheval pour dégager mon visage. Gina me les avait coupés à deux ou trois reprises quand j’étais à la grade school2. La seule fois où je les avais coupés moi-même, c’était au début du lycée, et ce fut un fiasco retentissant. Depuis lors, je les avais laissés pousser. À présent, les pointes m’arrivaient au milieu du dos.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-06-22T10:50:14+02:00

Je n’aimais pas la décevoir, mais je n’avais pas le souvenir d’avoir déjà pris de petit déjeuner, et il me paraissait bizarre de manger le matin. Gina avait cessé de faire la cuisine dès que j’avais été en âge de me préparer des sandwichs. Mon temps de sommeil et le trajet à pied jusqu’à l’école auraient toujours eu la priorité sur la préparation d’un petit déjeuner, même si Gina s’était

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-06-22T10:50:06+02:00

Il me prit la main et nous longeâmes un couloir peint aux couleurs claires, puis nous passâmes une porte voûtée sur la droite. Julianne affectionnait particulièrement les couleurs pâles et la lumière naturelle, ce qui était logique compte tenu qu’elle incarnait le soleil et la joie. La maison tout entière était décorée dans des tons blancs, ou des nuances de blanc, de bleus pâles et de voiles et rideaux beiges.

Sur la cuisinière était posée une casserole de sauce au poivre blanc et, comme promis, à l’autre bout de l’îlot en granit se trouvait un plat débordant de bacon croustillant.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-06-22T10:50:00+02:00

La sonnette de l’entrée retentit et je descendis les escaliers en bois sans faire trop de bruit, même si je savais que Sam et Julianne étaient levés et déjà dans la cuisine.

Je me frayai un passage entre les boîtes pour ouvrir la porte, et je souris en voyant Weston chasser ses cheveux de son visage d’un mouvement de la tête. Ils étaient encore humides, et ses yeux légèrement gonflés. Nous étions restés tard au téléphone la veille au soir.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-06-22T10:49:53+02:00

La lumière était éteinte, mais j’étais irrémédiablement attirée vers la chambre d’Alder. Je vivais à présent avec mes véritables parents depuis trois semaines, et je n’avais jamais vu la porte d’Alder ouverte. Mais chaque fois que je passais devant le montant peint en blanc, orné du prénom ERIN écrit en lettres pastel, quelque chose au fond de moi m’intimait l’ordre de l’ouvrir.

Non, je ne le ferai pas, me promis-je.

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