Commentaires de livres faits par aayla_xiaan
Extraits de livres par aayla_xiaan
Commentaires de livres appréciés par aayla_xiaan
Extraits de livres appréciés par aayla_xiaan
date : 16-06-2021
https://www.goodreads.com/review/show/3934647545
>SERVICE PRESSE<
⭐️⭐️⭐️,75/5
Avant toute chose, je tiens une nouvelle fois à remercier chaudement Reina Leif pour l’envoi, non pas de un, de deux mais des trois tomes de Witchcraft (parfumé, marque-pagés, dédicacés s’il vous plaît !)
J’ai été très touchée par la délicatesse de l’emballage, qui a du lui prendra beaucoup de temps.
C’est aussi une personne très sympathique et j’ai eu beaucoup de plaisir à échanger avec elle sur instagram.
Ce n’est pas mon premier service presse mais c’est de loin celui que j’ai préféré ! Ça se lit à une vitesse folle et c’est assez addictif en fait !
J’aime beaucoup cette idée d’heroine indépendante mais fragile, ça la rend humaine.
Les personnages sont attachants, et l’histoire entraînante. J’ai beaucoup apprécié le fait que l’héroïne soit d’origine coréenne et que sa culture soit bien décrite. Lazare est beau gosse joue à merveille le rôle du mec mystérieux.
Les quelques bémols, pas méchants du tout, sont certainement un nombre un peu trop important de scène de sexe (même s’il faut l’avouer, bien écrites 🥵), mais surtout un point noir sur Sage !
SPOIL : sage revient, lui dit qu’il l’a surveillé, elle panique une soirée et ne repense quasiment plus jamais à lui ? C’est très étrange et pas crédible.
Je pensais vraiment que ce roman allait se terminer sur un gros cliffhanger avec un kidnapping par exemple, mais il se termine en douceur…
J’aurai peut-être davantage aimé avoir un côté encore plus « dark » pendant tout le long du roman et pas seulement dans le passé de Yu-Hannah.
J’ai vraiment adoré cette histoire néanmoins et je vais certainement me mettre à lire le tome 2 très très prochainement ! J’ai vraiment envie d’en savoir plus sur Lazare mais j’ai surtout envie de revoir Sage réapparaître (oui je suis une psychopathe)… 😏
(Compte bookstgram : @thestoryjustbegins, photo à paraître prochainement)
>SERVICE PRESSE<
⭐️⭐️⭐️,75/5
Avant toute chose, je tiens une nouvelle fois à remercier chaudement Reina Leif pour l’envoi, non pas de un, de deux mais des trois tomes de Witchcraft (parfumé, marque-pagés, dédicacés s’il vous plaît !)
J’ai été très touchée par la délicatesse de l’emballage, qui a du lui prendra beaucoup de temps.
C’est aussi une personne très sympathique et j’ai eu beaucoup de plaisir à échanger avec elle sur instagram.
Ce n’est pas mon premier service presse mais c’est de loin celui que j’ai préféré ! Ça se lit à une vitesse folle et c’est assez addictif en fait !
J’aime beaucoup cette idée d’heroine indépendante mais fragile, ça la rend humaine.
Les personnages sont attachants, et l’histoire entraînante. J’ai beaucoup apprécié le fait que l’héroïne soit d’origine coréenne et que sa culture soit bien décrite. Lazare est beau gosse joue à merveille le rôle du mec mystérieux.
Les quelques bémols, pas méchants du tout, sont certainement un nombre un peu trop important de scène de sexe (même s’il faut l’avouer, bien écrites 🥵), mais surtout un point noir sur Sage !
SPOIL : sage revient, lui dit qu’il l’a surveillé, elle panique une soirée et ne repense quasiment plus jamais à lui ? C’est très étrange et pas crédible.
Je pensais vraiment que ce roman allait se terminer sur un gros cliffhanger avec un kidnapping par exemple, mais il se termine en douceur…
J’aurai peut-être davantage aimé avoir un côté encore plus « dark » pendant tout le long du roman et pas seulement dans le passé de Yu-Hannah.
J’ai vraiment adoré cette histoire néanmoins et je vais certainement me mettre à lire le tome 2 très très prochainement ! J’ai vraiment envie d’en savoir plus sur Lazare mais j’ai surtout envie de revoir Sage réapparaître (oui je suis une psychopathe)… 😏
(Compte bookstgram : @thestoryjustbegins, photo à paraître prochainement)
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date : 15-04-2021
⭐️⭐️⭐️⭐️/5
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date : 15-04-2021
⚠️TW : viol, agression sexuelle, violence, kidnapping
SPOILERS DANS CETTE CHRONIQUE -
Il m’est impossible de noter ce livre. Dans un sens il est génial dans l’autre je le déteste.
C’est la première fois qu’un roman me procure une telle sensation et c’est peut-être pour ça que Angela Arekin a réussi son pari.
J’ai abandonné ce roman à la 70e page la première fois. Puis hier, je l’ai pris et je l’ai lu d’une traite. C’est ce que je peux vous conseiller : ne vous arrêtez surtout pas, vous risquez d’avoir trop peur de continuer ou d’être trop dégouté.
Je savais qu’il existait un plot twist et même si j’ai eu des suspicions je n’ai pas osé faire des théories. Pourquoi ?
Parce que malgré le plot twist je refusais de me dire qu’il y ait quoi que ce soit qui puisse justifier les actes de Seth.
Je suis hyper mitigée car dans un sens ce livre prône le viol conjugal, et considère que les thérapies, les médicaments et les asiles psychiatriques sont horribles et ne servent à rien. En tant que future psychologue je peux dire que ce message me chagrine beaucoup.
Dans un autre, le viol peut pour certains ne pas l’être SPOILER : si la Faustine saine a autorisé Rowan à devenir Seth et à la toucher sans son consentement est-ce que c’est du viol quand la Faustine malade se débat ?
Je n’en sais foutrement rien.
Je comprends l’importance de Seth et du reste. Je le conçois. Ce qui me choque c’est la minimalisation des actes forcés : ce n’est pas parce qu’il ne la pénètre pas que ce n’est pas une agression sexuelle. Ce n’est pas parce qu’elle a donné son accord avant que maintenant si elle dit non c’est ok de la pénétrer.
Certaines scènes sont horribles à lire donc âmes sensibles s’abstenir.
Je peux dire que j’ai beaucoup aimé la fin du livre et détesté le début : et pas à cause du kidnapping ou du côté sombre et glauque de l’intrigue -ça jadore.- c’est vraiment le côté non consenti du sexe sous toutes ses formes qui me dégoûte.
J’ai lu ce livre pour mes copines bookstagrameuses et sans elles je ne saurai jamais allee au bout. Sans la hype du roman et sans savoir qu’il y avait un twist qui allait tout changer j’aurai brûlé ce bouquin.
—-> je vais le relire sans hésitation mais dans très longtemps quand je me serai remise de tout ça pour me faire un vrai avis.
{update à 1h du matin : ce livre me trotte dans la été je n’arrête pas d’y penser. + j’y pense plus je le surprends à l’aimer. J’ai vraiment envie de le relire pour avoir un avis j’espère qu’il me permettra de noter ce bouquin qui est un très bon roman que l’on aime ou pas... et je commence à l’aimer. J’ai l’impression d’être tordue de pouvoir l’apprécier malgré tout ce qui se passe dans cette geôle. Le truc c’est qu’il m’est impossible de distinguer le vrai du faux quand la plupart de l’histoire est racontée par une personne délirante}
SPOILERS DANS CETTE CHRONIQUE -
Il m’est impossible de noter ce livre. Dans un sens il est génial dans l’autre je le déteste.
C’est la première fois qu’un roman me procure une telle sensation et c’est peut-être pour ça que Angela Arekin a réussi son pari.
J’ai abandonné ce roman à la 70e page la première fois. Puis hier, je l’ai pris et je l’ai lu d’une traite. C’est ce que je peux vous conseiller : ne vous arrêtez surtout pas, vous risquez d’avoir trop peur de continuer ou d’être trop dégouté.
Je savais qu’il existait un plot twist et même si j’ai eu des suspicions je n’ai pas osé faire des théories. Pourquoi ?
Parce que malgré le plot twist je refusais de me dire qu’il y ait quoi que ce soit qui puisse justifier les actes de Seth.
Je suis hyper mitigée car dans un sens ce livre prône le viol conjugal, et considère que les thérapies, les médicaments et les asiles psychiatriques sont horribles et ne servent à rien. En tant que future psychologue je peux dire que ce message me chagrine beaucoup.
Dans un autre, le viol peut pour certains ne pas l’être SPOILER : si la Faustine saine a autorisé Rowan à devenir Seth et à la toucher sans son consentement est-ce que c’est du viol quand la Faustine malade se débat ?
Je n’en sais foutrement rien.
Je comprends l’importance de Seth et du reste. Je le conçois. Ce qui me choque c’est la minimalisation des actes forcés : ce n’est pas parce qu’il ne la pénètre pas que ce n’est pas une agression sexuelle. Ce n’est pas parce qu’elle a donné son accord avant que maintenant si elle dit non c’est ok de la pénétrer.
Certaines scènes sont horribles à lire donc âmes sensibles s’abstenir.
Je peux dire que j’ai beaucoup aimé la fin du livre et détesté le début : et pas à cause du kidnapping ou du côté sombre et glauque de l’intrigue -ça jadore.- c’est vraiment le côté non consenti du sexe sous toutes ses formes qui me dégoûte.
J’ai lu ce livre pour mes copines bookstagrameuses et sans elles je ne saurai jamais allee au bout. Sans la hype du roman et sans savoir qu’il y avait un twist qui allait tout changer j’aurai brûlé ce bouquin.
—-> je vais le relire sans hésitation mais dans très longtemps quand je me serai remise de tout ça pour me faire un vrai avis.
{update à 1h du matin : ce livre me trotte dans la été je n’arrête pas d’y penser. + j’y pense plus je le surprends à l’aimer. J’ai vraiment envie de le relire pour avoir un avis j’espère qu’il me permettra de noter ce bouquin qui est un très bon roman que l’on aime ou pas... et je commence à l’aimer. J’ai l’impression d’être tordue de pouvoir l’apprécier malgré tout ce qui se passe dans cette geôle. Le truc c’est qu’il m’est impossible de distinguer le vrai du faux quand la plupart de l’histoire est racontée par une personne délirante}
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date : 31-03-2021
2,5/5
Je remercie l’auteure d’avoir accepté ce service presse avec moi ! C’était un plaisir d’échanger avec elle.
Elle a été d’une très grande gentillesse.
Je vous jure que j’ai pris des notes sur tout le roman pour faire une revue bien complète mais j’ai perdu la feuille quel boulet !
J’ai beaucoup de mal à noter ce roman. Je me lance sur les points positifs d’abord :
Le monde est très décrit (et pour un roman de quasiment 700 pages à 90% dans un vaisseau c’est très fort). Et des petites détails sont appréciables sur des vêtements, des légendes...
Le personnage principal est construit et assez attachante. J’ai bien aimé le scénario « ennemis to lovers » dans l’espace ! Je trouve que tout ça est bien fait, et j’étais prise en haleine par certains passages.
Jai particulièrement apprécié que la romance début très rapidement parce qu’il y a coup de foudre et pas que les personnages mettent trois plomb à se décider s’ils étaient attirés par l’autre ou non.
Ainsi ça a mis de l’action rapidement.
J’ai envie de lire la suite.
Alors pourquoi est-ce que je ne mets pas plus que 2,5/5 sur Goodreads me diriez vous ? En vérité je mettrais plutôt un 12/20 à ce roman.
Parce que la plume de l’auteure est très lourde par moment et parfois trop légère. La fluctuante de la narration est très perturbante et enlève de la crédibilité au roman. On pourrait enlever des moitié des phrases entières pour dire la même chose et alléger le récit.
Ex : « poussant un soupir résigné, je m’emparai du goblet d’eau, le remplis du liquide transparent dont les humains ne pouvaient en aucun cas se passer et en but une gorgée comme pour le donner un semblant de contenance. »
Pour certaines parties entières les descriptions étaient belles, poussées mais pas lourdes à la lecture. Puis, soudainement, le personnage va parler comme une narration : « de surcroît je t’interdis de faire cela ! ». Deux pages plus loin, le personnage enchaîne les mots plus parlés comme « ben, je sais pas ». C’est très perturbant et pas très réaliste : personne ne parle en disant de plus dans une dispute, ou « de surcroît »... c’est bien pour de la description pas des dialogues, ou alors il faut que chacun parle comme ça tout le récit,
J’aurai aimé que chaque personnage ait sa façon de parler bien à lui, et j’ai vraiment eu l’impression que c’était une seule et même personne qui rapportait les dires de tout le monde puisqu’ils s’expriment tous de la même manière.
De plus, j’ai trouvé que le scénario tournait un peu en rond à la fin (j’aurai enlevé deux ou trois chapitres entiers).
Enfin, j’ai eu du mal avec Arone mais pour le coup ce n’est qu’une question de préférence de mec. Je le trouve toxique, imbu de lui-même. Un Hardin bis dans la manipulation de la pauvre héroïne.
Je sais que c’est le premier roman de cette auteure c’est pourquoi j’ai vraiment envie de donner sa chance au tome 2 -en plus ça se termine sur un beau cliffhanger chapeau !-.
Je remercie l’auteure d’avoir accepté ce service presse avec moi ! C’était un plaisir d’échanger avec elle.
Elle a été d’une très grande gentillesse.
Je vous jure que j’ai pris des notes sur tout le roman pour faire une revue bien complète mais j’ai perdu la feuille quel boulet !
J’ai beaucoup de mal à noter ce roman. Je me lance sur les points positifs d’abord :
Le monde est très décrit (et pour un roman de quasiment 700 pages à 90% dans un vaisseau c’est très fort). Et des petites détails sont appréciables sur des vêtements, des légendes...
Le personnage principal est construit et assez attachante. J’ai bien aimé le scénario « ennemis to lovers » dans l’espace ! Je trouve que tout ça est bien fait, et j’étais prise en haleine par certains passages.
Jai particulièrement apprécié que la romance début très rapidement parce qu’il y a coup de foudre et pas que les personnages mettent trois plomb à se décider s’ils étaient attirés par l’autre ou non.
Ainsi ça a mis de l’action rapidement.
J’ai envie de lire la suite.
Alors pourquoi est-ce que je ne mets pas plus que 2,5/5 sur Goodreads me diriez vous ? En vérité je mettrais plutôt un 12/20 à ce roman.
Parce que la plume de l’auteure est très lourde par moment et parfois trop légère. La fluctuante de la narration est très perturbante et enlève de la crédibilité au roman. On pourrait enlever des moitié des phrases entières pour dire la même chose et alléger le récit.
Ex : « poussant un soupir résigné, je m’emparai du goblet d’eau, le remplis du liquide transparent dont les humains ne pouvaient en aucun cas se passer et en but une gorgée comme pour le donner un semblant de contenance. »
Pour certaines parties entières les descriptions étaient belles, poussées mais pas lourdes à la lecture. Puis, soudainement, le personnage va parler comme une narration : « de surcroît je t’interdis de faire cela ! ». Deux pages plus loin, le personnage enchaîne les mots plus parlés comme « ben, je sais pas ». C’est très perturbant et pas très réaliste : personne ne parle en disant de plus dans une dispute, ou « de surcroît »... c’est bien pour de la description pas des dialogues, ou alors il faut que chacun parle comme ça tout le récit,
J’aurai aimé que chaque personnage ait sa façon de parler bien à lui, et j’ai vraiment eu l’impression que c’était une seule et même personne qui rapportait les dires de tout le monde puisqu’ils s’expriment tous de la même manière.
De plus, j’ai trouvé que le scénario tournait un peu en rond à la fin (j’aurai enlevé deux ou trois chapitres entiers).
Enfin, j’ai eu du mal avec Arone mais pour le coup ce n’est qu’une question de préférence de mec. Je le trouve toxique, imbu de lui-même. Un Hardin bis dans la manipulation de la pauvre héroïne.
Je sais que c’est le premier roman de cette auteure c’est pourquoi j’ai vraiment envie de donner sa chance au tome 2 -en plus ça se termine sur un beau cliffhanger chapeau !-.
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date : 31-03-2021
3,25,5
Eh bien eh bien.
J’ai cru devoir abandonner ce roman au début. Le scénario me plaisait mais j’avais beaucoup de mal avec le style d’écriture too much. Répéter « it’s too » toutes les pages c’est fatiguant à lire. Je trouve que l’héroïne s’améliore et devient de moins en moins immature avec le récit, très bon point.
Je suis un peu déçue de m’être faite spoilée sur la relation goal de Juliet mais ça me permet de voir le personnage de Warner différemment.
Je l’adore comme méchant. Pour le coup, c’est un vrai malade et c’est ça qui me fait rêver (alerte daddy issues...).
Si j’ai vu venir quelques surprises du scénario, j’ai tout de même été étonnée et prise au dépourvu quand à la tournure que prennent les événements.
Je suis contente d’avoir donné sa chance à cette série puisque je vais sans aucun doute continuer la saga !
Eh bien eh bien.
J’ai cru devoir abandonner ce roman au début. Le scénario me plaisait mais j’avais beaucoup de mal avec le style d’écriture too much. Répéter « it’s too » toutes les pages c’est fatiguant à lire. Je trouve que l’héroïne s’améliore et devient de moins en moins immature avec le récit, très bon point.
Je suis un peu déçue de m’être faite spoilée sur la relation goal de Juliet mais ça me permet de voir le personnage de Warner différemment.
Je l’adore comme méchant. Pour le coup, c’est un vrai malade et c’est ça qui me fait rêver (alerte daddy issues...).
Si j’ai vu venir quelques surprises du scénario, j’ai tout de même été étonnée et prise au dépourvu quand à la tournure que prennent les événements.
Je suis contente d’avoir donné sa chance à cette série puisque je vais sans aucun doute continuer la saga !
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date : 30-03-2021
ɴoтe : ⭐️⭐️⭐️,✨/5
ᴘᴀɢᴇs : 385
ɢᴇɴʀᴇ : fantasy
⚠️ : attention ce roman contient des violences et des agressions sexuelles.
Le
ᴘᴀɢᴇs : 385
ɢᴇɴʀᴇ : fantasy
⚠️ : attention ce roman contient des violences et des agressions sexuelles.
Le
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date : 02-03-2021
This book is good for a first one.
I liked it, and I’m glad I gave it another shot thanks to audible.
I tried to read it by myself almost a year ago in french and I stopped because it wasn’t my cup of tea.
I dont know if I’ll read the others volume of the series but I will for sure buy six of crows.
I consider the darkling as the good guy of the story. So, I was kinda confused during my read: i wanted him to won, and Alina to fail, but she was the main character.
I found few things very predictable but the wold was great, and it didn’t matter.
It’s maybe a little bit too “young” for me, I shall have start this series years ago guess.
I liked it, and I’m glad I gave it another shot thanks to audible.
I tried to read it by myself almost a year ago in french and I stopped because it wasn’t my cup of tea.
I dont know if I’ll read the others volume of the series but I will for sure buy six of crows.
I consider the darkling as the good guy of the story. So, I was kinda confused during my read: i wanted him to won, and Alina to fail, but she was the main character.
I found few things very predictable but the wold was great, and it didn’t matter.
It’s maybe a little bit too “young” for me, I shall have start this series years ago guess.
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date : 28-02-2021
SARAH IS MY QUEEN
Thank you so much for bringing Pythrian to life. I started ACOTAR at a very difficult period of my life. Your story and it’s characters helped me. I’ll be forever a fan of yours. You’re definitely my favourite author of all times.
PS : I’m sorry I hate you a bit at page 666. I promise I don’t anymore, enough to read crescent city and start TOG which are in my TBR.
I hope I’ll have the change to finally meet you and let you sign my edition (covered by the amazing work of @thebookishshop...)
HUGE kisses from France
Anaïs
An amazing final for this first part of the ACOTAR series.
I loved it, just less than the second book which what marvellous every pages.
Here, I found a little more low periods, with less entertainment. However, I suppose it is normal and more credible to not have moments with less action, considering Sarah had to lay the foundation of the war.
I particularly enjoyed the first 100 pages of the books and the very last 100.
Everything was perfectly calculated and well organised, bringing surprise for the reader, and sense pour the scenario.
I’m sad to let go of Feysand but I will continue my journey on Pythrian with Nesta and Cassian...
It was always a pleasure to meet again my favourite characters in Velaris, as the creatures of the Fae world that particularly like -the Carver Bone, the Weaver, and most of all the Suriel-.
I really enjoyed reading this series in English : the french translation has ripped off most of the adults scenes (vulgarity, sex, few sentences every chapter) which brought a different vibe to the original story.
Thank you so much for bringing Pythrian to life. I started ACOTAR at a very difficult period of my life. Your story and it’s characters helped me. I’ll be forever a fan of yours. You’re definitely my favourite author of all times.
PS : I’m sorry I hate you a bit at page 666. I promise I don’t anymore, enough to read crescent city and start TOG which are in my TBR.
I hope I’ll have the change to finally meet you and let you sign my edition (covered by the amazing work of @thebookishshop...)
HUGE kisses from France
Anaïs
An amazing final for this first part of the ACOTAR series.
I loved it, just less than the second book which what marvellous every pages.
Here, I found a little more low periods, with less entertainment. However, I suppose it is normal and more credible to not have moments with less action, considering Sarah had to lay the foundation of the war.
I particularly enjoyed the first 100 pages of the books and the very last 100.
Everything was perfectly calculated and well organised, bringing surprise for the reader, and sense pour the scenario.
I’m sad to let go of Feysand but I will continue my journey on Pythrian with Nesta and Cassian...
It was always a pleasure to meet again my favourite characters in Velaris, as the creatures of the Fae world that particularly like -the Carver Bone, the Weaver, and most of all the Suriel-.
I really enjoyed reading this series in English : the french translation has ripped off most of the adults scenes (vulgarity, sex, few sentences every chapter) which brought a different vibe to the original story.
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date : 25-02-2021
⭐️⭐️/ 5
This book has a taste of déjà-vu.
It seems like nothing is new : the end, the balance black-and-white between good and evil which becomes grey...
It makes me think about FALLEN a lot (a book that I really didn’t enjoy...)
Trinity is irritating, immature, and seems to not see the evidence. Zayne is a little bit better, but he is not as a 22 yo guy shall be.
I’m disappointed, because even if it’s a YA, I didn’t expect the plot to be that banal, and obvious. Plus, I really thought that having a 18 first character as Trin shall be a little bit more adult and clever.
I knew the sentences before I read them. I guessed the supposed-to-be great revelation at the end.
I wasn’t bad. It just doesn’t bring a lot of interest.
This book has a taste of déjà-vu.
It seems like nothing is new : the end, the balance black-and-white between good and evil which becomes grey...
It makes me think about FALLEN a lot (a book that I really didn’t enjoy...)
Trinity is irritating, immature, and seems to not see the evidence. Zayne is a little bit better, but he is not as a 22 yo guy shall be.
I’m disappointed, because even if it’s a YA, I didn’t expect the plot to be that banal, and obvious. Plus, I really thought that having a 18 first character as Trin shall be a little bit more adult and clever.
I knew the sentences before I read them. I guessed the supposed-to-be great revelation at the end.
I wasn’t bad. It just doesn’t bring a lot of interest.
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date : 18-02-2021
Le donjon de Naheulbeuk est une aventure aussi loufoque qu'addictive. Les dialogues sont hilarants et les personnages ont tous une personnalité détonante. Les aventures sont débiles, les réflexions aussi, et c'est très drôle, on s'en délecte. Cela rappellera aux joueurs de jeu de rôle (surtout donjon et dragon) leur propre quête avec les disputes pour savoir dans quelle direction aller ou se troquer des objets.
Le narrateur est excellent.
Bref, à lire ou à écouter sans modération, seul, entre amis ou même en famille.
Le narrateur est excellent.
Bref, à lire ou à écouter sans modération, seul, entre amis ou même en famille.
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date : 12-02-2021
Un bon final.
Petite déception après le coup de cœur que j’avais eu pour le deuxième tome.
Le scénario est ici moins riche, plus facilement déchiffrable à l’avance, et l’histoire est donc plus lente. Si Jude reste authentique, Cardan s’adoucît trop et je ne retrouve pas le personnage que j’adorais, vil, cruel, des deux premiers tomes.
La partie qui m’a vraiment donné espoir en une fin coup de cœur a été la prophétie de Cardan qui se réalise. J’étais aux anges !
Et pourtant... je n’aurai pas imaginé une fin comme celle ci. J’aurai, en effet, aimé davantage une toute autre fin, plus « monstrueuse »...
Si cela avait été une saga moins dramatique, comme ACOTAR, j’aurai pu apprécier la fin à sa juste valeur, mais elle était trop téléguidée et pas à la hauteur de mes attentes face aux jeux de pouvoir et de stratégie qu’Holly Black nous a servi avec brio dans les deux premiers tomes.
Bref, un bon tome, sans plus, qui ne m’a pas franchement transporté.
Toutefois, je classe mes romans par saga et j’apprécie tellement Jude, Cardan, les complots de la saga de manière générale, le monde sanguinaire imaginé avec brio et le couple JUDAN que je ne peux pas me permettre de mettre moins qu’un classement « or ».
De plus, the wicked king été un gros coup de cœur (il mériterait ma liste de diamants pour le coup).
Je lirais tout de même « how the king of elfhame learned to hate stories », pudique je pense retrouver le Cardan que j’aime dedans.
Petite déception après le coup de cœur que j’avais eu pour le deuxième tome.
Le scénario est ici moins riche, plus facilement déchiffrable à l’avance, et l’histoire est donc plus lente. Si Jude reste authentique, Cardan s’adoucît trop et je ne retrouve pas le personnage que j’adorais, vil, cruel, des deux premiers tomes.
La partie qui m’a vraiment donné espoir en une fin coup de cœur a été la prophétie de Cardan qui se réalise. J’étais aux anges !
Et pourtant... je n’aurai pas imaginé une fin comme celle ci. J’aurai, en effet, aimé davantage une toute autre fin, plus « monstrueuse »...
Si cela avait été une saga moins dramatique, comme ACOTAR, j’aurai pu apprécier la fin à sa juste valeur, mais elle était trop téléguidée et pas à la hauteur de mes attentes face aux jeux de pouvoir et de stratégie qu’Holly Black nous a servi avec brio dans les deux premiers tomes.
Spoiler(cliquez pour révéler)
J’aurai vraiment adoré que Jude devienne une reine cruelle après avoir achevé le serpent. Que sa prophétie de réalise vraiment et qu’elle reste seule mais mortellement mauvaise.Bref, un bon tome, sans plus, qui ne m’a pas franchement transporté.
Toutefois, je classe mes romans par saga et j’apprécie tellement Jude, Cardan, les complots de la saga de manière générale, le monde sanguinaire imaginé avec brio et le couple JUDAN que je ne peux pas me permettre de mettre moins qu’un classement « or ».
De plus, the wicked king été un gros coup de cœur (il mériterait ma liste de diamants pour le coup).
Je lirais tout de même « how the king of elfhame learned to hate stories », pudique je pense retrouver le Cardan que j’aime dedans.
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+2
date : 21-06-2020
Ce roman est très très étrange.
L’univers est perturbant et le style d’écriture plus encore.
Cette nouvelle a été écrite je pense pour dénoncer la misogynie, l’ingratitude, l’égocentrisme. Tout ce que notre personnage principal est.
Clairement, ses propos, sa façon de penser m’a vraiment choquée. Et c’est pour cela qu’on ne peut pas s’attacher à notre hero, mais c’est écrit pour qu’on l’abhorre.
J’ai trouvé que l’idée de base du roman était génial mais pas forcément entièrement exploitée, ou clairement de manière assez maladroite. J’aurais aimé que tout se passe moins vite. Que les personnages créent des liens plus forts. Que l’on connaisse plus Allegra.
J’avoue qu’il me reste des parts d’ombre. Je n’ai pas compris certains points de l’histoire.
Enfin, j’ai trouvé que si cela parait d’une bonne intention, la misogynie n’était pas dénoncée. Je pense à plusieurs passages où notamment le personnage insulte une fille de salope, puisqu’elle lui avoue qu’elle a eu plusieurs amants. Mais ensuite, personne ne reprend ce personnage.
Après avoir discuté avec l’auteure, je sais que dénoncer ce genre de comportement était son attention. Toutefois, j’ai le sentiment qu’on dénonce tout au long de l’histoire l’incendie plutôt que la personne qu’est Édouard. Détestable. J’aurais apprécié qu’il soit plus repris et qu’Allegra essaie de l’éduquer voire de le mettre en garde.
J’ai trouvé l’univers très intéressant et j’ai été très intriguée par le mal qui rongeait Édouard. Je voulais toujours en savoir plus sur Allegra.
Le gros point positif est cette fin que j’attendais et que j’ai adoré. Toutefois, là encore j’aurais aimé qu’on dénonce bien plus.
Pour conclure je dirais qu’Allegra Triticum a été écrit pour dénoncer certains aspects très importants de notre société notamment les personnes qui dénigrent le genre féminin; mais que cela n’a pas été assez explicitement montrés comme un comportement intolérable. De ce fait, je pense que j’aurais vraiment été choquée du je n’avais pas discuté avec l’autrice du comportement d’Edouard répugnant.
Cette histoire est très très courte et je comprends l’aspect « accéléré » du scénario, donc je ne tiens pas vraiment rigueur aux points où je parle de relation entre personnages trop rapide.
Une nouvelle hors du commun !
L’univers est perturbant et le style d’écriture plus encore.
Cette nouvelle a été écrite je pense pour dénoncer la misogynie, l’ingratitude, l’égocentrisme. Tout ce que notre personnage principal est.
Clairement, ses propos, sa façon de penser m’a vraiment choquée. Et c’est pour cela qu’on ne peut pas s’attacher à notre hero, mais c’est écrit pour qu’on l’abhorre.
J’ai trouvé que l’idée de base du roman était génial mais pas forcément entièrement exploitée, ou clairement de manière assez maladroite. J’aurais aimé que tout se passe moins vite. Que les personnages créent des liens plus forts. Que l’on connaisse plus Allegra.
J’avoue qu’il me reste des parts d’ombre. Je n’ai pas compris certains points de l’histoire.
Enfin, j’ai trouvé que si cela parait d’une bonne intention, la misogynie n’était pas dénoncée. Je pense à plusieurs passages où notamment le personnage insulte une fille de salope, puisqu’elle lui avoue qu’elle a eu plusieurs amants. Mais ensuite, personne ne reprend ce personnage.
Après avoir discuté avec l’auteure, je sais que dénoncer ce genre de comportement était son attention. Toutefois, j’ai le sentiment qu’on dénonce tout au long de l’histoire l’incendie plutôt que la personne qu’est Édouard. Détestable. J’aurais apprécié qu’il soit plus repris et qu’Allegra essaie de l’éduquer voire de le mettre en garde.
J’ai trouvé l’univers très intéressant et j’ai été très intriguée par le mal qui rongeait Édouard. Je voulais toujours en savoir plus sur Allegra.
Le gros point positif est cette fin que j’attendais et que j’ai adoré. Toutefois, là encore j’aurais aimé qu’on dénonce bien plus.
Pour conclure je dirais qu’Allegra Triticum a été écrit pour dénoncer certains aspects très importants de notre société notamment les personnes qui dénigrent le genre féminin; mais que cela n’a pas été assez explicitement montrés comme un comportement intolérable. De ce fait, je pense que j’aurais vraiment été choquée du je n’avais pas discuté avec l’autrice du comportement d’Edouard répugnant.
Cette histoire est très très courte et je comprends l’aspect « accéléré » du scénario, donc je ne tiens pas vraiment rigueur aux points où je parle de relation entre personnages trop rapide.
Une nouvelle hors du commun !
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date : 20-06-2020
Chronique ILLUMINAE 01 - Alexander
J’ai acheté ce roman dans le cadre du #monthlymechallenge.
Si le scénario de base n’est pas inédit (HAL 2.0), le format de cette saga est ex-tra-or-di-naire ! De plus, certains rebondissements inédits changent vraiment la donne. Je n’ai pas eu l’impression de lire un énieme roman de science-fiction mais bien LE roman dans son genre et univers.
On épluche un dossier confidentiel durant notre lecture, passant de mails à des enregistrements vidéos retranscris. J’avais peur de ne pas m’attacher aux personnages à cause de ce récit particulier mais finalement j’ai été très touchée par cette histoire.
Les rebondissements et découvertes (on va vraiment de catastrophe en catastrophe avec Illuminae...) sont dingues et recherchés. J’ai été émue, en colère, et aussi désespérée que les personnages. C’était une lecture très riche en émotions !
Kady, jeune femme aux cheveux rose est une héroïne comme on les aime. Déterminée, à l’humour noir, qui se cache derrière un masque mais qui a tout de même cette fragilité très touchante. Dotée d’un QI de 147, elle peut hacker tout ce qui lui passe sous la main. C’est ainsi qu’elle découvre qu’on leur cache beaucoup, et que cela peut avoir des conséquences désastreuses.
Ezra est adorable et a touché mon cœur !
Je vous le conseille évidemment, puisque c’est un petit coup de cœur pour moi. La fin aurait pu être différente et peu commune, mais je trouve cette version sympa.
⚠️ ce roman contient des sciences pouvant choquer un public trop jeune. Certains passages sont gores et peuvent horrifier un public non averti.
J’ai acheté ce roman dans le cadre du #monthlymechallenge.
Si le scénario de base n’est pas inédit (HAL 2.0), le format de cette saga est ex-tra-or-di-naire ! De plus, certains rebondissements inédits changent vraiment la donne. Je n’ai pas eu l’impression de lire un énieme roman de science-fiction mais bien LE roman dans son genre et univers.
On épluche un dossier confidentiel durant notre lecture, passant de mails à des enregistrements vidéos retranscris. J’avais peur de ne pas m’attacher aux personnages à cause de ce récit particulier mais finalement j’ai été très touchée par cette histoire.
Les rebondissements et découvertes (on va vraiment de catastrophe en catastrophe avec Illuminae...) sont dingues et recherchés. J’ai été émue, en colère, et aussi désespérée que les personnages. C’était une lecture très riche en émotions !
Kady, jeune femme aux cheveux rose est une héroïne comme on les aime. Déterminée, à l’humour noir, qui se cache derrière un masque mais qui a tout de même cette fragilité très touchante. Dotée d’un QI de 147, elle peut hacker tout ce qui lui passe sous la main. C’est ainsi qu’elle découvre qu’on leur cache beaucoup, et que cela peut avoir des conséquences désastreuses.
Ezra est adorable et a touché mon cœur !
Je vous le conseille évidemment, puisque c’est un petit coup de cœur pour moi. La fin aurait pu être différente et peu commune, mais je trouve cette version sympa.
⚠️ ce roman contient des sciences pouvant choquer un public trop jeune. Certains passages sont gores et peuvent horrifier un public non averti.
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date : 12-06-2020
Un final sublime ! Clairement le meilleur tome de la saga de Holly Black !
J’ai été ravie de retrouver Jude, puisque j’attendais de voir avec impatience comment elle réussirait à gouverner Cardan et de ce fait à gouverner The Folk of the Air. J’ai nettement préféré ce tome-ci, que j’ai trouvé moins lent.
On retrouve dès les premières pages, le rythme des derniers chapitre de « the cruel prince ».
Clairement ce roman est une pépite. Les stratégies sont de mise, là encore, les trahisons sont de la partie. De nouvelles alliances se forment, d’autres se brisent et la menace se fait plus pesante sur le Royaume des Faeries.
La plume est toujours aussi sublime. Je me suis retenue de ne pas couvrir de post it mon roman, tellement il y avait de passages que je trouvais inspirants, beaux, lyriques.
Avec cette fin ABSOLUMENT DÉMENTE, je pense que ce livre est un coup de cœur. Toutefois, je vais tacher de lire rapidement le dernier volet de cette trilogie afin d’avoir un avis global sur la saga et de pouvoir la classer correctement dans ma bibliothèque.
La romance se fait un peu plus présente que dans le tome précédent et j’ai apprécié cet aspect, bien que ce ne soit pas du tout l’intrigue principale. Je dirai qu’elle est présente à 10 à 15% du roman.
Pour ce qui est de Cardan, puisque jai déjà décrit mon amour pour Jude, je suis extrêmement d’heureuse de pouvoir enfin apprendre à le connaître un peu mieux.
Bien que le premier tome s’appelle « The Cruel Prince », on voit assez rarement ce personnage vil et manipulateur à souhait : Cardan je t’aime.
En apprendre plus sur son passé m’a permis de l’aimer davantage, puisque je le voyais uniquement comme un prince capricieux et hautain -bien que de savoir que son frère le battait m’a vraiment touché-.
J’ai particulièrement aimé le passage sous la mer, bien qu’il ne fut pas plaisant pour tout le monde...
En bref, The Wicked King a tout pour plaire, et rehausse le niveau de cette saga qui était déjà élevé.
J’ai été ravie de retrouver Jude, puisque j’attendais de voir avec impatience comment elle réussirait à gouverner Cardan et de ce fait à gouverner The Folk of the Air. J’ai nettement préféré ce tome-ci, que j’ai trouvé moins lent.
On retrouve dès les premières pages, le rythme des derniers chapitre de « the cruel prince ».
Clairement ce roman est une pépite. Les stratégies sont de mise, là encore, les trahisons sont de la partie. De nouvelles alliances se forment, d’autres se brisent et la menace se fait plus pesante sur le Royaume des Faeries.
La plume est toujours aussi sublime. Je me suis retenue de ne pas couvrir de post it mon roman, tellement il y avait de passages que je trouvais inspirants, beaux, lyriques.
Avec cette fin ABSOLUMENT DÉMENTE, je pense que ce livre est un coup de cœur. Toutefois, je vais tacher de lire rapidement le dernier volet de cette trilogie afin d’avoir un avis global sur la saga et de pouvoir la classer correctement dans ma bibliothèque.
La romance se fait un peu plus présente que dans le tome précédent et j’ai apprécié cet aspect, bien que ce ne soit pas du tout l’intrigue principale. Je dirai qu’elle est présente à 10 à 15% du roman.
Pour ce qui est de Cardan, puisque jai déjà décrit mon amour pour Jude, je suis extrêmement d’heureuse de pouvoir enfin apprendre à le connaître un peu mieux.
Bien que le premier tome s’appelle « The Cruel Prince », on voit assez rarement ce personnage vil et manipulateur à souhait : Cardan je t’aime.
En apprendre plus sur son passé m’a permis de l’aimer davantage, puisque je le voyais uniquement comme un prince capricieux et hautain -bien que de savoir que son frère le battait m’a vraiment touché-.
J’ai particulièrement aimé le passage sous la mer, bien qu’il ne fut pas plaisant pour tout le monde...
En bref, The Wicked King a tout pour plaire, et rehausse le niveau de cette saga qui était déjà élevé.
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date : 05-06-2020
Prince captif a un goût de Game of Thrones, la meilleure partie, celle qui nous fait haleter et en redemande; aux mêmes teintes de sexe, de manipulation, de mort et de quête de pouvoir.
Cette trilogie aux accents orientaux et fantasy, est imbibée de stratégie, trahison et de séduction.
A la fois une intrigue époustouflante et un jeu qui nous tient en haleine pour savoir qui-tiendra-l’autre, ce roman nous entraîne dans une péripétie des plus palpitantes, grâce à ses nombreux personnages qui apportent des détails et du réalisme, et à son héros qui découvre bon-gré mal-gré son ennemi de terre et de sang dans la plus profonde intimité.
C.S. PACAT se surpasse avec ce second volet.
L’atmosphère est certainement moins tendue, et pourtant les enjeux sont de taille.
Si dans ce deuxième tome, on voit défiler des rebondissement à flot, des personnages encore plus poussés et des méthodes stratégiques de plus en plus complexes, j’ai tout de même eu l’impression qu’il se déroulait tout autant que le premier, en douceur.
C’est une chose peu évidente que de créer un roman dark fantasy aussi complexe, qui ne nous ennui pas. A vrai dire, bien que l’univers soit 100x moins vaste que la célèbre série de George R. R Martin, j’y n’ai pas trouvé de longueur et plus d’action.
A LIRE D’URGENCE
Cette trilogie aux accents orientaux et fantasy, est imbibée de stratégie, trahison et de séduction.
A la fois une intrigue époustouflante et un jeu qui nous tient en haleine pour savoir qui-tiendra-l’autre, ce roman nous entraîne dans une péripétie des plus palpitantes, grâce à ses nombreux personnages qui apportent des détails et du réalisme, et à son héros qui découvre bon-gré mal-gré son ennemi de terre et de sang dans la plus profonde intimité.
C.S. PACAT se surpasse avec ce second volet.
L’atmosphère est certainement moins tendue, et pourtant les enjeux sont de taille.
Si dans ce deuxième tome, on voit défiler des rebondissement à flot, des personnages encore plus poussés et des méthodes stratégiques de plus en plus complexes, j’ai tout de même eu l’impression qu’il se déroulait tout autant que le premier, en douceur.
C’est une chose peu évidente que de créer un roman dark fantasy aussi complexe, qui ne nous ennui pas. A vrai dire, bien que l’univers soit 100x moins vaste que la célèbre série de George R. R Martin, j’y n’ai pas trouvé de longueur et plus d’action.
A LIRE D’URGENCE
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date : 30-05-2020
Un roman qui nous fait saigner le cœur.
Un final éblouissant, du suspense jusqu’à la fin, le destin s’acharne sur nos héros encore une fois dans ce roman.
Il est à la fois si addictif qu’on ne veut pas le lâcher, et si bouleversant qu’on essaie de se raccrocher à notre réalité comme on le peut.
Que dire ? Je les aime. Ils sont si forts et brisés, épuisés par ces années à essayer de se retrouver. Leur vie ont été parcourue d’obstacles infranchissables, à croire qu’ils n’ont pas le droit au bonheur à deux !
Ce jeu de lumière entre les couvertures et les voix de paroles est parfait. Dans le tome 1, nous sommes concentrés sur le ressenti d’Esme et Abain est mis en avant sur la couverture. Dans le roman suivant c’est l’inverse. Ils sont âmes sœurs, encrés l’un à l’autre.
A la vie, à la mort.
Un final éblouissant, du suspense jusqu’à la fin, le destin s’acharne sur nos héros encore une fois dans ce roman.
Il est à la fois si addictif qu’on ne veut pas le lâcher, et si bouleversant qu’on essaie de se raccrocher à notre réalité comme on le peut.
Que dire ? Je les aime. Ils sont si forts et brisés, épuisés par ces années à essayer de se retrouver. Leur vie ont été parcourue d’obstacles infranchissables, à croire qu’ils n’ont pas le droit au bonheur à deux !
Ce jeu de lumière entre les couvertures et les voix de paroles est parfait. Dans le tome 1, nous sommes concentrés sur le ressenti d’Esme et Abain est mis en avant sur la couverture. Dans le roman suivant c’est l’inverse. Ils sont âmes sœurs, encrés l’un à l’autre.
A la vie, à la mort.
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date : 25-05-2020
Serpent & Dove est un régal du début à la fin.
On y trouve du sarcasme à profusion, de la magie, de la trahison, des passages glauques et horrifiants, le tout saupoudré d’une romance impossible et de personnages parfois insupportables, mais si attachants !
Ce roman ouvre la porte à une nouvelle saga fantasy, très prometteuse. On y retrouve Reid, parfait sous toutes les coutures; un Chasseur formé pour traquer et envoyer au bûcher les sorcières qu’il croise.
De l’autre, on suit Louise, une voleuse provocatrice très attachante à l’humour noir.
Ils se retrouvent mariés contre leur gré. Le problème ? Lou est une sorcière. Elle doit faire face à ses ennemis déjà très nombreux et cacher sa vraie nature à son nouvel époux, qui n’hésiterait pas une seconde à la brûler vive s’il apprenait qu’elle savait manipuler la magie.
Coco, la meilleure amie de Lou, est un personnage secondaire très sympathique, et j’avoue avec également un faible pour Ansel.
J’ai beaucoup ri grâce aux répliques très mordantes de Lou, et à la naïveté de Reid. Louise est une femme indépendante et vulgaire, qui s’habille comme un homme et qui avait pour objectif de ne jamais se marier. Féministe dans un monde où l’Eglise et les Chasseurs considèrent les femmes comme inférieures aux hommes, elle a du fil à retordre.
Les personnages évoluent tout le long du récit. J’ai adoré voir leurs défauts apparaître, leurs faiblesses et leurs fautes. On aborde des questions morales, d’âme damnées, de choix de vie. Les personnages ne sont pas parfaits et font -ou ont fait- des actions horrifiantes.
Je n’avais jamais lu de fantasy à deux voix. J’ai beaucoup aimé cette attention de l’auteure.
Ce n’est pas un coup de cœur pour une raison particulière. Reid est parfois un peu trop naïf - pas qu’il soit immature, mais il ne comprend pas vite certains plot twist et un personnage secondaire doit lui expliquer... de plus certains indices un peu trop gros pour ma part auraient du alerter Reid de la condition de sorcière de sa femme, mais il ne se doute de rien.
Je pense qu’il y a une part de déni, mais elle n’est pas expliquée dans le roman...
Enfin, une scène m’a gêné. Pas de spoil promis : les personnages se retrouvent à devoir agir dans l’urgence. Toutefois, au lieu de courir et de se dépêcher, pendant tout un chapitre ils se mettent à discuter autour d’une table. C’est ainsi que l’auteure a choisi de placer le dénouement de l’intrigue, a savoir pour la suite de l’histoire. C’était utile mais pas très crédible comme réaction de la part des personnages.
Tout se passe en France, et l’autrice s’est renseignée afin de placer des insultes et des mots français de temps à autre dans le roman. Au départ ça m’a un peu perturbé, mais très vite j’ai apprécié cette attention.
Je me dois d’avertir tout de même ceux qui souhaiteraient se plonger dans l’univers de Shelby Mahurin : ceci n’est PAS un YA ! C’est une romance adulte, et pas uniquement pour ses scènes de sexe graphiques ou les allusions sexuelles répétées, mais aussi pour les passages gores, glauques, un peu horreur qui peuvent parfois choquer !
J’ai hâte que la suite sorte !
On y trouve du sarcasme à profusion, de la magie, de la trahison, des passages glauques et horrifiants, le tout saupoudré d’une romance impossible et de personnages parfois insupportables, mais si attachants !
Ce roman ouvre la porte à une nouvelle saga fantasy, très prometteuse. On y retrouve Reid, parfait sous toutes les coutures; un Chasseur formé pour traquer et envoyer au bûcher les sorcières qu’il croise.
De l’autre, on suit Louise, une voleuse provocatrice très attachante à l’humour noir.
Ils se retrouvent mariés contre leur gré. Le problème ? Lou est une sorcière. Elle doit faire face à ses ennemis déjà très nombreux et cacher sa vraie nature à son nouvel époux, qui n’hésiterait pas une seconde à la brûler vive s’il apprenait qu’elle savait manipuler la magie.
Coco, la meilleure amie de Lou, est un personnage secondaire très sympathique, et j’avoue avec également un faible pour Ansel.
J’ai beaucoup ri grâce aux répliques très mordantes de Lou, et à la naïveté de Reid. Louise est une femme indépendante et vulgaire, qui s’habille comme un homme et qui avait pour objectif de ne jamais se marier. Féministe dans un monde où l’Eglise et les Chasseurs considèrent les femmes comme inférieures aux hommes, elle a du fil à retordre.
Les personnages évoluent tout le long du récit. J’ai adoré voir leurs défauts apparaître, leurs faiblesses et leurs fautes. On aborde des questions morales, d’âme damnées, de choix de vie. Les personnages ne sont pas parfaits et font -ou ont fait- des actions horrifiantes.
Je n’avais jamais lu de fantasy à deux voix. J’ai beaucoup aimé cette attention de l’auteure.
Ce n’est pas un coup de cœur pour une raison particulière. Reid est parfois un peu trop naïf - pas qu’il soit immature, mais il ne comprend pas vite certains plot twist et un personnage secondaire doit lui expliquer... de plus certains indices un peu trop gros pour ma part auraient du alerter Reid de la condition de sorcière de sa femme, mais il ne se doute de rien.
Je pense qu’il y a une part de déni, mais elle n’est pas expliquée dans le roman...
Enfin, une scène m’a gêné. Pas de spoil promis : les personnages se retrouvent à devoir agir dans l’urgence. Toutefois, au lieu de courir et de se dépêcher, pendant tout un chapitre ils se mettent à discuter autour d’une table. C’est ainsi que l’auteure a choisi de placer le dénouement de l’intrigue, a savoir pour la suite de l’histoire. C’était utile mais pas très crédible comme réaction de la part des personnages.
Tout se passe en France, et l’autrice s’est renseignée afin de placer des insultes et des mots français de temps à autre dans le roman. Au départ ça m’a un peu perturbé, mais très vite j’ai apprécié cette attention.
Je me dois d’avertir tout de même ceux qui souhaiteraient se plonger dans l’univers de Shelby Mahurin : ceci n’est PAS un YA ! C’est une romance adulte, et pas uniquement pour ses scènes de sexe graphiques ou les allusions sexuelles répétées, mais aussi pour les passages gores, glauques, un peu horreur qui peuvent parfois choquer !
J’ai hâte que la suite sorte !
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date : 15-05-2020
J’ai lu ce roman étant enfant une petite dizaine de fois !
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date : 12-05-2020
Une belle déception.
J’ai acheté ce roman parce qu’il était très apprécié par plusieurs bookstagrameuses. Je l’ai lu en LC avec @joyce_evreth. Avant de commencer, je dois dire que j’aime beaucoup l’auteure de ce roman. Désolée Jenn, j’aurais sincèrement aimé l’apprécier davantage.
Je ne m’attarderais pas sur la plume de l’auteure longtemps. On ressent que c’est son premier roman et il y a un début à tout et je ne lui en tiendrais pas rigueur ! L'écriture est fluide et décrit bien. Pourtant, j’ai eu du mal à ressentir les émotions qu’elle romans essayait de faire passer.
Malheureusement, je n’ai pas trouvé l’histoire crédible. Elle est basée sur des actions de personnages pas vraiment réalistes.
Parfois, ces incohérences sont les piliers du roman, parfois, elles sont minimes : Evann est un criminel dangereux qui a de l’expérience dans le monde des tueurs. Et pourtant, comme un débutant, il s’approche de sa victime jusqu’à la toucher avec son flingue ! Impossible...
Ce genre d’incohérences ne sont pas essentielles au roman mais elles m’ont coupées dans mon élan.
A mon avis, j’aurais davantage aimé la lecture si l’auteure avait fait plus de recherche (un taser ça se recharge : on ne peut pas taser plusieurs personnes à quelques secondes d’intervalles...)
Ensuite, je dois dire que je n’ai pas accroché avec Evann. Si c’est lui qui traite Maya d’idiote et de gamine, c’est bien l’hôpital qui se fout de la charité. J’ai eu le sentiment qu’il avait 16 ans à tout casser. Il n’a aucun sang froid et fait des crises de violence sans aucune explication. En somme, (et c’est Maya qui le dit ;)) c’est un sombre connard. Pour moi il n’a rien de plus. Il traite sa prisonnière comme une chien.
Parlons de Maya. Son passé ne m’a pas touché plus que ça : j’ai trouvé que Kylian avait été un peu nouille fasse à un mec avec un flingue... tout ça pour de l’argent qui ne lui appartenait pas !
Au départ, elle me tapait sur le système mais ensuite, ses réactions deviennent plus crédibles. Ça n’empêche que c’est un personnel un peu effacé et qui ne se démarque pas vraiment. De plus, je ne comprends pas comment elle peut se laisser marcher sur les pieds à ce point : Evann la violente et l’insulte en permanence mais entre deux injures il l’embrasse.
Dans ce cas, il faut choisir : soit tu le laisses faire mais tu ne tolères pas le reste. Soit tu restes la prisonnière qui est là contre son grès qui souhaite rentrer chez elle. Cet entre-deux est assez étrange.
Les personnages secondaires sont également clichés, que ce soit la meilleure amie que l’on a rencontré hier ou Safia -qui est finalement celle que j’ai préféré dans l’histoire-. J’ai le sentiment que Jenn classait ses persos soit dans la case « gentil » soit « méchant ». Aucun des personnages, même les principaux, ne sont nuancés. Là encore j’ai eu 1) du mal à m’attacher à eux 2) du mal à rester concentrée dans l’histoire.
Enfin, je n’ai pas pu m’empêcher de comparer ma lecture aux Somber Jann qui possède le même schéma de début, et qui avait été un réel coup de cœur.
Ça, c’était le négatif. Voilà le positif de cette histoire : la fragilité de Maya est tout de même touchante et on a envie de l’aider. Par certains aspects, Evann réussit à nous donner chaud -quand il se décide à ne plus être un connard.-
J’ai passé un bon moment avec ce livre parce que néanmoins, j’avais envie de savoir ce qui allait se passer ensuite pour Maya. Ce roman est facile à lire, les pages se tournent toutes seules !
J’ai vraiment apprécié la fin, et bien que je ne prévois pas acheter la suite j’espère avoir l’occasion de lire les autres romans : j’ai appris qu’ils relevaient énormément le niveau !
Encore une fois, c’est un premier roman, donc ça ne peut pas être parfait. Je félicite l’auteure qui s’est faite connaître sur Wattpad et qui s’est faite un nom dans le domaine de la dark romance.
Je pense sincèrement que ce roman pourrait plaire à plus d’un, si vous souhaitez une lecture sans prise de tête et que le cliché ne vous gêne pas :)
J’ai acheté ce roman parce qu’il était très apprécié par plusieurs bookstagrameuses. Je l’ai lu en LC avec @joyce_evreth. Avant de commencer, je dois dire que j’aime beaucoup l’auteure de ce roman. Désolée Jenn, j’aurais sincèrement aimé l’apprécier davantage.
Je ne m’attarderais pas sur la plume de l’auteure longtemps. On ressent que c’est son premier roman et il y a un début à tout et je ne lui en tiendrais pas rigueur ! L'écriture est fluide et décrit bien. Pourtant, j’ai eu du mal à ressentir les émotions qu’elle romans essayait de faire passer.
Malheureusement, je n’ai pas trouvé l’histoire crédible. Elle est basée sur des actions de personnages pas vraiment réalistes.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Un tueur prendrait-il la peine de laisser partir un témoin volontairement à condition que celui-ci ne dise rien ? Pas vraiment Parfois, ces incohérences sont les piliers du roman, parfois, elles sont minimes : Evann est un criminel dangereux qui a de l’expérience dans le monde des tueurs. Et pourtant, comme un débutant, il s’approche de sa victime jusqu’à la toucher avec son flingue ! Impossible...
Ce genre d’incohérences ne sont pas essentielles au roman mais elles m’ont coupées dans mon élan.
A mon avis, j’aurais davantage aimé la lecture si l’auteure avait fait plus de recherche (un taser ça se recharge : on ne peut pas taser plusieurs personnes à quelques secondes d’intervalles...)
Ensuite, je dois dire que je n’ai pas accroché avec Evann. Si c’est lui qui traite Maya d’idiote et de gamine, c’est bien l’hôpital qui se fout de la charité. J’ai eu le sentiment qu’il avait 16 ans à tout casser. Il n’a aucun sang froid et fait des crises de violence sans aucune explication. En somme, (et c’est Maya qui le dit ;)) c’est un sombre connard. Pour moi il n’a rien de plus. Il traite sa prisonnière comme une chien.
Parlons de Maya. Son passé ne m’a pas touché plus que ça : j’ai trouvé que Kylian avait été un peu nouille fasse à un mec avec un flingue... tout ça pour de l’argent qui ne lui appartenait pas !
Au départ, elle me tapait sur le système mais ensuite, ses réactions deviennent plus crédibles. Ça n’empêche que c’est un personnel un peu effacé et qui ne se démarque pas vraiment. De plus, je ne comprends pas comment elle peut se laisser marcher sur les pieds à ce point : Evann la violente et l’insulte en permanence mais entre deux injures il l’embrasse.
Dans ce cas, il faut choisir : soit tu le laisses faire mais tu ne tolères pas le reste. Soit tu restes la prisonnière qui est là contre son grès qui souhaite rentrer chez elle. Cet entre-deux est assez étrange.
Les personnages secondaires sont également clichés, que ce soit la meilleure amie que l’on a rencontré hier ou Safia -qui est finalement celle que j’ai préféré dans l’histoire-. J’ai le sentiment que Jenn classait ses persos soit dans la case « gentil » soit « méchant ». Aucun des personnages, même les principaux, ne sont nuancés. Là encore j’ai eu 1) du mal à m’attacher à eux 2) du mal à rester concentrée dans l’histoire.
Enfin, je n’ai pas pu m’empêcher de comparer ma lecture aux Somber Jann qui possède le même schéma de début, et qui avait été un réel coup de cœur.
Ça, c’était le négatif. Voilà le positif de cette histoire : la fragilité de Maya est tout de même touchante et on a envie de l’aider. Par certains aspects, Evann réussit à nous donner chaud -quand il se décide à ne plus être un connard.-
J’ai passé un bon moment avec ce livre parce que néanmoins, j’avais envie de savoir ce qui allait se passer ensuite pour Maya. Ce roman est facile à lire, les pages se tournent toutes seules !
J’ai vraiment apprécié la fin, et bien que je ne prévois pas acheter la suite j’espère avoir l’occasion de lire les autres romans : j’ai appris qu’ils relevaient énormément le niveau !
Encore une fois, c’est un premier roman, donc ça ne peut pas être parfait. Je félicite l’auteure qui s’est faite connaître sur Wattpad et qui s’est faite un nom dans le domaine de la dark romance.
Je pense sincèrement que ce roman pourrait plaire à plus d’un, si vous souhaitez une lecture sans prise de tête et que le cliché ne vous gêne pas :)
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date : 10-05-2020
Une lecture déchirante coup de cœur.
Ce roman est à la fois ce qu'il y a de plus beau et de plus tragique. Ici, on retrouve Ash et Sky, toujours aussi maladroits et incapables de communiquer. On découvre également le passé de Ashley par bribes : les flashbacks sont très bien enchainés et parfaitement dosés. On s'attache au petit garçon un peu rond et très seul qu'était Ash, ainsi qu'à Zach, le fameux meilleur ami.
Sibylle est tout autant touchante que dans le tome 1, bien que j'ai une préférence pour Véronica - à l'humour ravageur, qui m'a permis de rire aux éclats entre deux torrents de larmes-.
On enchaine les pleurs et les rires, la nostalgie et l'espoir d'un futur meilleur. Ce roman permet vraiment de connaitre le fin mot de l'histoire. Tout s'éclaire au fur et à mesure et on comprend plus aisément les choix de Ash.
Parfois, certains enchainements de chapitres sont cruels : comprendra qui pourra.
J'ai pleuré 4 fois durant ma lecture et j'avais entrainé ma cousine dans la lecture de cette duologie avec moi : conclusion nous avons sangloté à deux -au téléphone je précise, puisque nous sommes toujours cloitrés chez nous ;)
Si je suis quelqu'uun de sensible, ma cousine est rarement autant touchée par les romans qu'elle lit et je peux vous assurer que ses larmes n'étaient pas feintes.
Tout comme ma copine Chloé (@douceurdelire), j'ai choisi de garder uniquement le positif de cette lecture, à savoir l’addictivité du roman, les deux plumes incroyables, qui communiquent en quelques mots si bien les sentiments des personnages que l'on souffre avec eux.
Ash, pauvre amour, je ressens ta douleur.Je l'ai d'autant plus ressenti dans le dernier flashback. Comme je l'ai dit plus haut, tout s’éclaire d'avantage au fur et à mesure.
Je croyais sincèrement que ce dernier flashback allait littéralement m’achever
Le dernier coup de grâcea été à la fois cette peur que j'ai eu à la fin du roman [spoiler]j'ai bien cru que Ash allait y rester...[/spoiler] et ce dénouement final.
Pour ma part, j'aurai préféré une fin un peu différente. [spoiler]Qui à tuer l'un des deux, j'aurais plutôt aimé que ce soit Ash qui y reste; non pas parce que je l'aimais moins : ce qui n'est pas le cas; mais parce que j'aurai trouvé ça tout aussi tragique mais plus beau. J'aurais aimé que ce soit Sky à son tour qui réussisse à se relever de la perte de son amour. J'aurais trouvé ça plus crédible : l'accident de voiture tombait à pique.
Il n’empêche, que comme je l'ai dit, je choisis de prendre tout ce que ce roman m'a apporté de bien. Ce que Ash, Miss Parks et Sky m'ont appris de la vie.
Merci pour cette duologie magnifique. Je ne comprends pas pourquoi ces romans sont controversés et parfois dits "surcotés"... Pour moi, ils sont sublimes et à lire ! Accrochez vous, c'est terrible, mais ç'a en vaut la peine.
Ce roman est à la fois ce qu'il y a de plus beau et de plus tragique. Ici, on retrouve Ash et Sky, toujours aussi maladroits et incapables de communiquer. On découvre également le passé de Ashley par bribes : les flashbacks sont très bien enchainés et parfaitement dosés. On s'attache au petit garçon un peu rond et très seul qu'était Ash, ainsi qu'à Zach, le fameux meilleur ami.
Sibylle est tout autant touchante que dans le tome 1, bien que j'ai une préférence pour Véronica - à l'humour ravageur, qui m'a permis de rire aux éclats entre deux torrents de larmes-.
On enchaine les pleurs et les rires, la nostalgie et l'espoir d'un futur meilleur. Ce roman permet vraiment de connaitre le fin mot de l'histoire. Tout s'éclaire au fur et à mesure et on comprend plus aisément les choix de Ash.
Parfois, certains enchainements de chapitres sont cruels : comprendra qui pourra.
J'ai pleuré 4 fois durant ma lecture et j'avais entrainé ma cousine dans la lecture de cette duologie avec moi : conclusion nous avons sangloté à deux -au téléphone je précise, puisque nous sommes toujours cloitrés chez nous ;)
Si je suis quelqu'uun de sensible, ma cousine est rarement autant touchée par les romans qu'elle lit et je peux vous assurer que ses larmes n'étaient pas feintes.
Tout comme ma copine Chloé (@douceurdelire), j'ai choisi de garder uniquement le positif de cette lecture, à savoir l’addictivité du roman, les deux plumes incroyables, qui communiquent en quelques mots si bien les sentiments des personnages que l'on souffre avec eux.
Ash, pauvre amour, je ressens ta douleur.Je l'ai d'autant plus ressenti dans le dernier flashback. Comme je l'ai dit plus haut, tout s’éclaire d'avantage au fur et à mesure.
Je croyais sincèrement que ce dernier flashback allait littéralement m’achever
Spoiler(cliquez pour révéler)
alors que la lettre et la mort successive en flashback et au présent des deux grands-mères m'avait déjà mise à terre[/spoiler].Le dernier coup de grâcea été à la fois cette peur que j'ai eu à la fin du roman [spoiler]j'ai bien cru que Ash allait y rester...[/spoiler] et ce dénouement final.
Pour ma part, j'aurai préféré une fin un peu différente. [spoiler]Qui à tuer l'un des deux, j'aurais plutôt aimé que ce soit Ash qui y reste; non pas parce que je l'aimais moins : ce qui n'est pas le cas; mais parce que j'aurai trouvé ça tout aussi tragique mais plus beau. J'aurais aimé que ce soit Sky à son tour qui réussisse à se relever de la perte de son amour. J'aurais trouvé ça plus crédible : l'accident de voiture tombait à pique.
Il n’empêche, que comme je l'ai dit, je choisis de prendre tout ce que ce roman m'a apporté de bien. Ce que Ash, Miss Parks et Sky m'ont appris de la vie.
Merci pour cette duologie magnifique. Je ne comprends pas pourquoi ces romans sont controversés et parfois dits "surcotés"... Pour moi, ils sont sublimes et à lire ! Accrochez vous, c'est terrible, mais ç'a en vaut la peine.
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date : 08-05-2020
Oh Mon Dieu.
Ce roman est bouleversant. Il vous brise à petit feu, exactement comme Esme meurt à petit feu depuis le départ d’Abain.
Ce dernier est un homme qu’on ne peut s’empêcher d’aimer. C’est un poison qu’on aime goûter. C’est un manipulateur qu’on adore suivre, malgré les conséquences.
Je t’aime et je te hais. Je comprends sa signification à présent.
Esme est une femme que j’admire plus que tout. Brisez-la elle se relèvera. Arrachez lui le cœur, elle aura toujours le courage d’espérer.
Je l’aime tellement ! Esme est une femme forte qui n’a pas été épargné par la vie. Elle a vécu dès le plus jeune âge dans la drogue, le sexe sale (celui que l’on fait pour un rail de coke), les insultes, les coups de poings.
Abain est à la fois sa rédemption et sa damnation. Il va la briser plus qu’elle ne l’était déjà. Il m’arrive de me dire que ç’aurait peut-être été mieux qu’elle ne le rencontre jamais.
On sent qu’Abain est une personne toxique, qui ment comme elle respire. Et on se met avec Esme à espérer que ce n’est pas le vrai Abain. J’ai apprécié ne pas avoir été dans l’esprit d’Abain : ça m’a permis d’être autant brisée qu’Esme pendant ma lecture.
Ce mec est ce qu’il y a de pire, et pourtant je suis quand même tombée sous son charme. Il est du genre à briser des cœurs, à faire nos faire les pires coups et on se peut pas s’empêcher de l’aimer.
Le tragique ici n’a rien à voir avec un malheureux accident : c’est la vie tout court. C’est aussi ce qui fait la beauté de leur amour.
Voilà. Maintenant que j’ai posé mon ressenti sur ce roman incroyable, sublime, bouleversant, je vais vous parler de la différence d’âge au début du roman.
Au départ, le fait qu’Esme soit si jeune m’a gêné dans ma lecture. Et pourtant, je n’avais pas le droit. J’ai été gêné parce que je me suis identifiée à sa situation. Fort heureusement, je n’ai pas été élevée de la même manière et bien que j’ai du grandir trop vite à cause de ce raisons évènements de ma vie que je tairais, elle, est devenue une femme à douze ans. Le fait qu’elle soit prête suffit. Je rappelle également qu’elle était déjà sexualisée « solo ».
Nous sommes tous différents par conséquent, notre sexualité n’est pas la même.
Je n’ai jamais visualisé Esme comme une petite fille, il faut simplement mettre de côté son propre ressenti personnel.
La plume de Farah Anah m’a conquise ! Elle est poétique sans effort : c’est fluide et magnifique. On ne ressent pas la recherche des tournures de phrases, comme si elles étaient venues très naturellement à l’auteure : c’est ce qui fait la beauté de ce roman.
Vous l’avez compris je vous le recommande à 100% !
Attention : âmes sensibles s’abstenir :) ce n’est pas une dark romance, mais le côté psychologique est très fort et brutal.
BON SANG COMMENT VAIS-JE FAIRE POUF TENIR EN ATTENDANT QUE LA SUITE ARRIVE ?
Ce roman est bouleversant. Il vous brise à petit feu, exactement comme Esme meurt à petit feu depuis le départ d’Abain.
Ce dernier est un homme qu’on ne peut s’empêcher d’aimer. C’est un poison qu’on aime goûter. C’est un manipulateur qu’on adore suivre, malgré les conséquences.
Je t’aime et je te hais. Je comprends sa signification à présent.
Esme est une femme que j’admire plus que tout. Brisez-la elle se relèvera. Arrachez lui le cœur, elle aura toujours le courage d’espérer.
Je l’aime tellement ! Esme est une femme forte qui n’a pas été épargné par la vie. Elle a vécu dès le plus jeune âge dans la drogue, le sexe sale (celui que l’on fait pour un rail de coke), les insultes, les coups de poings.
Abain est à la fois sa rédemption et sa damnation. Il va la briser plus qu’elle ne l’était déjà. Il m’arrive de me dire que ç’aurait peut-être été mieux qu’elle ne le rencontre jamais.
On sent qu’Abain est une personne toxique, qui ment comme elle respire. Et on se met avec Esme à espérer que ce n’est pas le vrai Abain. J’ai apprécié ne pas avoir été dans l’esprit d’Abain : ça m’a permis d’être autant brisée qu’Esme pendant ma lecture.
Ce mec est ce qu’il y a de pire, et pourtant je suis quand même tombée sous son charme. Il est du genre à briser des cœurs, à faire nos faire les pires coups et on se peut pas s’empêcher de l’aimer.
Le tragique ici n’a rien à voir avec un malheureux accident : c’est la vie tout court. C’est aussi ce qui fait la beauté de leur amour.
Voilà. Maintenant que j’ai posé mon ressenti sur ce roman incroyable, sublime, bouleversant, je vais vous parler de la différence d’âge au début du roman.
Au départ, le fait qu’Esme soit si jeune m’a gêné dans ma lecture. Et pourtant, je n’avais pas le droit. J’ai été gêné parce que je me suis identifiée à sa situation. Fort heureusement, je n’ai pas été élevée de la même manière et bien que j’ai du grandir trop vite à cause de ce raisons évènements de ma vie que je tairais, elle, est devenue une femme à douze ans. Le fait qu’elle soit prête suffit. Je rappelle également qu’elle était déjà sexualisée « solo ».
Nous sommes tous différents par conséquent, notre sexualité n’est pas la même.
Je n’ai jamais visualisé Esme comme une petite fille, il faut simplement mettre de côté son propre ressenti personnel.
La plume de Farah Anah m’a conquise ! Elle est poétique sans effort : c’est fluide et magnifique. On ne ressent pas la recherche des tournures de phrases, comme si elles étaient venues très naturellement à l’auteure : c’est ce qui fait la beauté de ce roman.
Vous l’avez compris je vous le recommande à 100% !
Attention : âmes sensibles s’abstenir :) ce n’est pas une dark romance, mais le côté psychologique est très fort et brutal.
BON SANG COMMENT VAIS-JE FAIRE POUF TENIR EN ATTENDANT QUE LA SUITE ARRIVE ?
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date : 05-05-2020
Une très bonne lecture mais un petite déception.
On m’a dit tellement de bien de ce roman que je m’attendais à un coup de cœur.
J’ai adoré les personnages. Ils ne sont pas parfaits et c’est ce qui fait qu’ils sont vrais.
Quant au décor wow ! L’univers est vraiment magique. La description des coutumes est vraiment bien. J’ai adoré les petits détails comme les actes rituels et la magie en général. Sur ce point là c’est un coup de cœur.
J’ai beaucoup aimé l’idée de réécriture du conte des mille et une nuit.
Le gros point négatif est que parfois les chutes et revelations sont parfois très prévisibles voire attendues par le lecteur.
Néanmoins, j’ai été surprise vers la fin du roman par certains rebondissements.
La plume est magnifique. J’ai trouvé un passage un peu lourds, mais rien de grave.
Compte tenu du scénario, j’aurai eu un coup de cœur si la fin avait été moins attendue : oui je voulais du tragique!
Je tiens encore une fois saluer le travail éditorial de la maison d’édition @blackinkedition qui a fait un travail remarquable! Les débuts de chapitres sont sublimes et la couverture également.
Si vous ne saviez pas sachez que tous leurs romans sont fabriqués maison ! Une vidéo est dispo sur leur compte Instagram pour vous montrer la fabrication en direct d’un ouvrage.
J’ai entendu du bien des autres romans de cette auteure chick lit et ils me tentent pas mal.
Et vous ?
On m’a dit tellement de bien de ce roman que je m’attendais à un coup de cœur.
J’ai adoré les personnages. Ils ne sont pas parfaits et c’est ce qui fait qu’ils sont vrais.
Quant au décor wow ! L’univers est vraiment magique. La description des coutumes est vraiment bien. J’ai adoré les petits détails comme les actes rituels et la magie en général. Sur ce point là c’est un coup de cœur.
J’ai beaucoup aimé l’idée de réécriture du conte des mille et une nuit.
Le gros point négatif est que parfois les chutes et revelations sont parfois très prévisibles voire attendues par le lecteur.
Néanmoins, j’ai été surprise vers la fin du roman par certains rebondissements.
La plume est magnifique. J’ai trouvé un passage un peu lourds, mais rien de grave.
Compte tenu du scénario, j’aurai eu un coup de cœur si la fin avait été moins attendue : oui je voulais du tragique!
Je tiens encore une fois saluer le travail éditorial de la maison d’édition @blackinkedition qui a fait un travail remarquable! Les débuts de chapitres sont sublimes et la couverture également.
Si vous ne saviez pas sachez que tous leurs romans sont fabriqués maison ! Une vidéo est dispo sur leur compte Instagram pour vous montrer la fabrication en direct d’un ouvrage.
J’ai entendu du bien des autres romans de cette auteure chick lit et ils me tentent pas mal.
Et vous ?
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date : 26-04-2020
Un roman entre l’argent et l’or.
Commençons par les points négatifs : j’ai trouvé l’héroïne horripilante. Pour une jeune fille qui s’est faite maltraitée toute son enfance, elle est bien naïve et persuadée qu’elle évolue dans un monde de bisounours où chacun aide sans attendre en retour, par bonté. Or, le jeu de Caraval est mesquin et trompeur. J’ai régulièrement levé les yeux au ciel face à sa naïveté et son immaturité qui durent jusqu’au 70% du roman. Heureusement, Scarlett évolue. J’aurais tout de même préféré que Tella soit au centre de ce premier tome.
Passons au reste :
L’univers de Caraval est plus que surprenant : il est à la fois féerique et destructeur. Sombre et enchanteur. Les apparences sont trompeuses, et les retournements de situation inattendus. Le décor est incroyable ! Chaque détail est travaillé et magique. J’ai vraiment adoré cette partie du roman.
On se pose la question suivante jusqu’au dernier chapitre : Est-ce vraiment uniquement un jeu ? Est-ce que Caraval n’est vraiment qu’une illusion ?
Ensuite, j’ai adoré les personnages de Julian et de Tella. Julian est loin d’avoir la candeur de Scarlett et l’aiguille beaucoup. Je me suis vraiment attachée à lui.
Je m’attendais à un YA un peu jeunesse, donc j’étais réticente et malgré ce que j’ai dit plus haut par rapport à Scarlett : il n’en ai rien. La plume et l’histoire ne racontent pas une histoire pour enfant. Je pensais lire un roman dans la tranche des 13/14 ans, et je me retrouve avec une impression d’une tranche âge de 16 ans
Pour le reste j’ai peur de vous en dire trop. Je suis mitigée : j’ai adoré le décor et j’aurais apprécié davantage si je n’avais pas autant soupirer devant les actions de Scarlett.
On m’a dit beaucoup de bien du second tome mais je ne me le procurerai pas tout de suite, je n’en ai tout simplement pas envie pour le moment. Je pense néanmoins que je continuerai la saga, bien que je ne sais pas du tout à quoi m’attendre.
Commençons par les points négatifs : j’ai trouvé l’héroïne horripilante. Pour une jeune fille qui s’est faite maltraitée toute son enfance, elle est bien naïve et persuadée qu’elle évolue dans un monde de bisounours où chacun aide sans attendre en retour, par bonté. Or, le jeu de Caraval est mesquin et trompeur. J’ai régulièrement levé les yeux au ciel face à sa naïveté et son immaturité qui durent jusqu’au 70% du roman. Heureusement, Scarlett évolue. J’aurais tout de même préféré que Tella soit au centre de ce premier tome.
Passons au reste :
L’univers de Caraval est plus que surprenant : il est à la fois féerique et destructeur. Sombre et enchanteur. Les apparences sont trompeuses, et les retournements de situation inattendus. Le décor est incroyable ! Chaque détail est travaillé et magique. J’ai vraiment adoré cette partie du roman.
On se pose la question suivante jusqu’au dernier chapitre : Est-ce vraiment uniquement un jeu ? Est-ce que Caraval n’est vraiment qu’une illusion ?
Ensuite, j’ai adoré les personnages de Julian et de Tella. Julian est loin d’avoir la candeur de Scarlett et l’aiguille beaucoup. Je me suis vraiment attachée à lui.
Je m’attendais à un YA un peu jeunesse, donc j’étais réticente et malgré ce que j’ai dit plus haut par rapport à Scarlett : il n’en ai rien. La plume et l’histoire ne racontent pas une histoire pour enfant. Je pensais lire un roman dans la tranche des 13/14 ans, et je me retrouve avec une impression d’une tranche âge de 16 ans
Pour le reste j’ai peur de vous en dire trop. Je suis mitigée : j’ai adoré le décor et j’aurais apprécié davantage si je n’avais pas autant soupirer devant les actions de Scarlett.
On m’a dit beaucoup de bien du second tome mais je ne me le procurerai pas tout de suite, je n’en ai tout simplement pas envie pour le moment. Je pense néanmoins que je continuerai la saga, bien que je ne sais pas du tout à quoi m’attendre.
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date : 26-04-2020
Une saga extraordinaire !
L’univers de ce roman est à la fois un peu mystérieux (comme l’année qu’on ne connaît pas, ou encore ce qui nous a mené à ce monde dystopique), et très bien développé ! Le jeu est vraiment une excellente idée. Cette télé-réalité dystopique explosive nous expose à la fois des candidates que l’on adore et d’autres que l’on rêve de voir perdre.
Je me suis beaucoup attachée à America. D'ordinaire je ne suis pas fan des triangles amoureux, mais celui-là est vraiment sympa !
J’ai eu un coup de cœur pour ces trois premiers romans, il y a quelques années. Je n’ai pas contre pas aimé la suite, je trouve la nouvelle héroïne insupportable.
Cette saga va être adaptée pour Netflix. Je suis réticente à cette idée pour plusieurs raisons : d’abord, un roman dystopique est difficile à reproduire. J’ai peur de ne pas retrouver ce que j’imaginais. Ensuite, jai peur que ça manque de profondeur : après tout, dans les romans, nous sommes dans la tête d’America.
Enfin : je n’ai pas envie de perdre les personnages que je m’étais imaginée en regardant des acteurs prendre leurs places. Qu’en pensez vous ?
L’univers de ce roman est à la fois un peu mystérieux (comme l’année qu’on ne connaît pas, ou encore ce qui nous a mené à ce monde dystopique), et très bien développé ! Le jeu est vraiment une excellente idée. Cette télé-réalité dystopique explosive nous expose à la fois des candidates que l’on adore et d’autres que l’on rêve de voir perdre.
Je me suis beaucoup attachée à America. D'ordinaire je ne suis pas fan des triangles amoureux, mais celui-là est vraiment sympa !
J’ai eu un coup de cœur pour ces trois premiers romans, il y a quelques années. Je n’ai pas contre pas aimé la suite, je trouve la nouvelle héroïne insupportable.
Cette saga va être adaptée pour Netflix. Je suis réticente à cette idée pour plusieurs raisons : d’abord, un roman dystopique est difficile à reproduire. J’ai peur de ne pas retrouver ce que j’imaginais. Ensuite, jai peur que ça manque de profondeur : après tout, dans les romans, nous sommes dans la tête d’America.
Enfin : je n’ai pas envie de perdre les personnages que je m’étais imaginée en regardant des acteurs prendre leurs places. Qu’en pensez vous ?
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date : 25-04-2020
Une très belle histoire.
J’ai adoré l’univers qui reflète un peu notre société : il y a les riches et puissants et leurs esclaves.
Le thème de mère porteuse est très bien abordé, et n’est pas choquant (bien sûr qu’il l’est puisque ce n’est pas consenti : mais il n’y a pas de scènes qui pourraient choquer les plus jeunes).
Je me suis attachée à l’héroïne qui est assez courageuse et déterminée. La relation qu’elle entretient avec sa meilleure amie est très forte. Elles s’accrochent toutes les deux à l’espoir fou qu’elles pourront se retrouver : c’est une belle histoire d’amour platonique.
Même les personnages « mauvais », les ennemis des héros, ont quelque chose : soit de profondément maléfique soit quelque chose de touchant.
Le décor est splendide et les détails bien décris. La traduction est bien faite et le travail éditorial bien réalisé : cette couverture est magnifique !
Cette dystopie a quelque chose de plus sombre et dérangeant que La Sélection à mon goût, et j’ai bien aimé cet aspect du scénario. Un YA à ne pas manquer !
J’ai adoré l’univers qui reflète un peu notre société : il y a les riches et puissants et leurs esclaves.
Le thème de mère porteuse est très bien abordé, et n’est pas choquant (bien sûr qu’il l’est puisque ce n’est pas consenti : mais il n’y a pas de scènes qui pourraient choquer les plus jeunes).
Je me suis attachée à l’héroïne qui est assez courageuse et déterminée. La relation qu’elle entretient avec sa meilleure amie est très forte. Elles s’accrochent toutes les deux à l’espoir fou qu’elles pourront se retrouver : c’est une belle histoire d’amour platonique.
Même les personnages « mauvais », les ennemis des héros, ont quelque chose : soit de profondément maléfique soit quelque chose de touchant.
Le décor est splendide et les détails bien décris. La traduction est bien faite et le travail éditorial bien réalisé : cette couverture est magnifique !
Cette dystopie a quelque chose de plus sombre et dérangeant que La Sélection à mon goût, et j’ai bien aimé cet aspect du scénario. Un YA à ne pas manquer !
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Une remarque? Un conseil? Une question? info@booknode.com
service presse, @thestoryjustbegins en partenariat avec l’auteure.
Trigger warnings de la saga - pour le moment - :
- torture explicite
- décor malsain
- nécrophilie
- relation toxique
- viols explicites
- pédophilie
- kidnapping
- séquestration d'enfants
- esclaves sexuels
- meurtres
- suicide, suicide idéalisé et suicide collectif idéalisé
- maltraitance sur animaux
- apathie face à la violence, à la torture...
- domination malsaine
- dissection fréquente et explicite (animaux et humains)
- tueurs en série
- prostitution
- cannibalisme
- fantasmes sexuels lié à la mort, aux cadavres, au meurtre
Vous êtes toujours là ? Pour tous les amoureux du gore, du glauque, de l'horreur et de la romance cette saga répondra à toutes vos attentes. Ce second tome coche toutes les cases qui fait d'un livre un excellent roman.
D'abord, parlons du décor. Toujours aussi sombre et crue, l'ambiance qui permet de visualiser de manière très prenante la folie de Dorian à travers ses visions et ses pulsions. Je suis toujours aussi bouche-bée face au travail colossal de mise en profondeur d'Elodie Faiderbe qui se ressent sur un panel de thématiques très diversifiées (anatomie, sciences, philosophie, littérature, poésie, poisons, célèbres tueurs en série de l'époque, costumes, coutumes...).
L'intrigue de la leçon d'Emilia est moins centrale mais c'est précisément ce qui m'a plu, laissant ainsi plus de place aux détails croustillants et horrifiques du monde de Vila Emilia, tant grâce aux histoires de vie des personnages secondaires que dans les petits éléments qui permettent un vrai approfondissement de l'atmosphère sombre.
Les métaphores dans la plume sont très présentes, tout comme dans le premier tome donc pas de surprise de ce point de vue-là. Je me surprends à vraiment apprécier cette partie très originale de ma lecture, qui m’a semblé un peu lourde dans la deuxième moitié du premier volet, mais je n’ai pas retrouvé cette lourdeur dans ce tome 2.
Les descriptions de torture et de meurtre sont tellement bien détaillées et justes qu’elles permettent une réelle immersion dans le récit. Il est évident que l’auteure s’est penchée pendant de longues heures sur l’anatomie humaine dans ses moindres détails.
Un autre point très agréable de ma lecture est certainement les références, à la fois littéraires, philosophiques ou scientifiques des grands génies de l’époque -pour rappel, Vila Emilia se passe au 19ème siècle-.
Future psychologue criminologue, je ne peux qu'approuver les nombreuses références dans ce livre des tueurs en série de l'époque, parfois en une phrase, parfois de manière détaillées, qui reflètent d'une très grande rigueur dans le travail de recherche de l'auteure.
Si vous êtes familiers avec certains d'entre eux, vous les retrouverez certainement dans Vila Emilia.
Les origines danoises de Dorian ne m’avaient pas plus emballées que ça dans « Observation », mais là, alliées à une admiration et de l’affection envers Emilia, je suis tombée amoureuse.
Les « mi koeure » et « imagine mon cœur » sur le bistouri qu’il lui a offert c’est pour me tuer ?!
*cause mama I’m in love with a criminal*
Dorian, Dorian, Dorian, le personnage est si complexe est bien ficelé qu’il en devient quasiment palpable. Les hobbies de manières générales des personnages sont dans Vila Emilia globalement décrit ce qui les rend réalistes, mais d’entre tous, Dorian est le plus fascinant.
Inspiré du Protrait de Dorian Gray, lord Jackobson est clairement l'incarnation de vos pires cauchemars... pour notre plus grand plaisir. On devine très clairement l'adaptation du personnage d'Oscar Wilde, sans que cela Dorian ne devienne réellement l'incarnation de celui-ci. La personnalité du tueur en série complètement fou et charismatique d'Elodie Faiderbe est terrifant, tant par son répertoire de connaissance si diversifié et agréable à découvrir, que par sa beauté destructrice. Son sang-froid, tout comme son cynisme, glace le sang. Sa cruauté va vous sembler insoutenable, mais je commence à m'attacher à ce personnage principal atypique. Quand on apprend à raisonner comme lui, ses côtés cruels peuvent parfois être vus comme de la tolérence ou bien à de la sympatie (poke : Sweetney Todd).
Son histoire est enfin révélée dans la seconde moitié du roman et cet aspect de sa vie nous permet de mieux appréhender sa personnalité dans sa globalité. Si auparavant, on le voyait comme un monstre qui aurait vendu son âme, il est rendu beaucoup plus humain. Elodie Faiderbe nous montre un autre visage de ce beau criminel schizophrène et cela me permet enfin de pouvoir comprendre en quoi Emilia l’aime tant.
N'oublions pas que ce deuxième tome signe un vrai tournant dans la relation d’Emilia et Dorian jusqu’ici tendancieuse, à la limite du flirt mais trop subtile et à double sens pour qu’elle soit réellement présente. Je le dis, j’ai fangirler, poussé des petits cris par-ci par-là à la lecture de « Initiation ». Leur relation, aussi malsaine que puissante, tout aussi sombre que le cadre du livre est extrêmement bien écrit. Leurs dialogues sont toujours aussi de qualité, dans la subtilité mais très explicites à la fois sur la nature de leurs échanges et de leur désir l’un pour l’autre.
Vus trouverez dans ce roman le vrai début d’un enemis to lovers complètement fou, à base de *dague trope*, de menace de meurtre.
Leur relation malsaine est le dernier de vos soucis dans ce livre horrifique, puisque les triggers warnings parlent pour eux même et ce qui pourrait déranger dans leur relation est atténué par tous les autres sujets répugnants que l’on retrouve tout au long du récit… gare aux âmes sensibles !
Néanmoins, j’ai été comblée par l’aptitude de l’auteure à transformer l’horreur et le macabre en humour noir. Les touches d’humour de Dorian et d’Emilia sont vraiment les bienvenues pour atténuer les côtés très dark de ce que nous sommes réellement en train de lire.
Je me suis surprise à réellement éclater de rire en pleine scène de torture ou pendant une tentative de meutre. (pitié faites que cela ne noircisse pas trop mon âme).
OU EST LA SUITE ELODIE ??
Je tiens à remercier l’auteure de cette saga unique en son genre, qui me fait confiance déjà pour les deux premiers tomes, et pour ce partenariat. Cela qui me fait extrêmement plaisir de collaborer avec elle ! *Cette chronique n’est nullement influencée par le service presse, mon avis est complètement objectif*