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Bien sûr, la retraite a ses charmes... Cependant, Hercule Poirot ne peut s'empêcher, de temps à autre, de reprendre du service. Oh! pas pour n'importe quelle affaire, bien entendu. Un détective aussi célèbre que lui ne se dérangerait pas pour un meurtre ordinaire. Non, Hercule Poirot ne s'intéresse qu'aux crimes les plus déroutants, les plus passionnants, les plus... Bref, à la crème des crimes. Et quelque chose lui dit que cette curieuse lettre signée A.B.C. va l'entraîner dans un mystère suffisamment épineux pour qu'il daigne faire fonctionner ses petites cellules grises. Oui, de toute évidence, A.B.C. fait partie de la crème des assassins... De quoi réjouir la crème des détectives !
« Il y'a entre le dit et l'écrit un abîme sans fond. Tout l'art de tourner les phrases semble consister à leur faire dire exactement le contraire de ce qu'elle signifie. »
Ce livre est ... fantastique. J'admire la façon dont agatha nous montre que l'assassin cette fois ne cherche pas à camoufler ses actes mais au contraire va jusqu'à déier Poirot et le prévenir du lieu où il va tuer quelqu'un.
De nouveaux meurtres, une nouvelles enquête pour Hercule Poirot, notre détective belge préféré. Encore une fois, Agatha Christie ne cesse de nous étonner :)
Mon troisième Christie, et au niveau appréciation il est au milieu - ni détesté ni adoré comme les deux autres. Non, ce fut une lecture sympathique mais pas tres marquante. Les 80 premières pages était plutôt barbante, mais tout s'accélère au moment du deuxième tome et j'ai enfin commencé à apprécier le livre.
Spoiler(cliquez pour révéler)On a le droit à un petit plot twist, un peu prévisible vu que sinon ça paraissait beaucoup trop facile.
Quoi de mieux pour commencer la semaine sur les chapeaux de roues que de parler de tueur en série ? C’est en tout cas le sujet du cinquième roman d’Agatha Christie que j’ai découvert en mai et qui a, comme d’habitude, réussi à m’embarquer !
—ABC contre Poirot : au pied de la lettre—
*ABC contre Poirot* a l’avantage non négligeable de sortir du schéma classique créé par la reine du crime, notamment parce que c’est l’une des premières fois que l’on retrouve la présence d’un tueur en série dans une œuvre de fiction - alors que le terme n’a techniquement pas encore été inventé. Mais ce n’est pas là la seule originalité puisque l’autrice va aussi choisir d’exploiter sa thématique au maximum en multipliant les points de vue : on retrouve donc la voix habituelle de notre cher Capitaine Hastings qui s’exprime à la première personne, mais on y ajoute aussi quelques courts chapitres à la troisième personne où l’on suit les actions de Monsieur Alexander Bonaparte Cust.
J’ai trouvé ce procédé intéressant dans la mesure où il permet de dynamiser le rythme et de faire monter la tension au fur et à mesure de l’avancée de l’intrigue, alors que l’étau se resserre de plus en plus.
Je ne me suis donc pas du tout ennuyée dans ma lecture, que j’ai parfois eu du mal à lâcher. Cette histoire de lettres anonymes rend le tout addictif, tandis que l’on voyage aux quatre coins de l’Angleterre aux côtés de notre cher duo Poirot/Hastings qui vivent une véritable course-poursuite avec ce fameux ABC. L’éventail de personnages mis en place est varié et incarné, et présente l’avantage certain de ne pas être trop étendu (alors que je peux parfois reprocher à l’autrice de créer trop de protagonistes, ce qui peut facilement me perdre). Sans oublier la fin qui, si je la pensais écrite d’avance, est parvenue à totalement me surprendre : je n’avais vraiment rien vu venir et suis restée plantée au milieu du jardin, les yeux écarquillés, alors que toute la vérité était révélée !
Et je profite encore une fois de cette chronique christiesque pour saluer le formidable travail d’interprète que produit Samuel Labarthe dans la version audio du roman et qui, à l’image de toutes les précédentes, fut un véritable régal pour les oreilles - que ce soit pour retranscrire l’humour anglais, les petites mimiques propres à chaque personnage ou les moments plus dramatiques… Tout est incarné à la perfection et ajoute une véritable valeur ajoutée au texte original.
—En bref—
En bref, *ABC contre Poirot* d’Agatha Christie fut une bonne lecture dans laquelle l’autrice sort de son schéma habituel en mettant en scène la figure d’un tueur en série et en multipliant les points de vue. Ces procédés rendent le rythme particulièrement dynamique et permettent de faire monter la tension, créant ainsi une lecture addictive aux personnages variés et incarnés et à la fin on ne peut plus surprenante et inattendue. Tout cela étant magnifié par le formidable travail d’interprète que Samuel Labarthe fournit dans la version audio de ce roman que je te recommande chaudement !
C'est une relecture mais dont je ne me souvenais plus le dénouement (et heureusement !). Je l'avais lu pour la première fois au collège, c'était il me semble mon premier livre d'Agatha Christie et j'avais pour souvenir avoir adoré. Ca n'a pas changé ! Je ne sais pas si le côté nostalgique a aidé aussi, mais clairement j'ai adoré redécouvrir ce livre.
L'écriture est agréable, le suspens reste présent... Le personnage d'Hercule Poirot est plutôt captivant, surtout du point de vue d'Hastings qui ne comprend pas tout le raisonnement de son ami.
J'ai adoré l'évolution de l'enquête, avec les personnages secondaires qui commencent à être impliqués dans l'enquête, les indices à droit et à gauche qu'on découvre en même temps qu les enquêteurs.
En tout cas, je suis très heureuse de l'avoir relu, et contrairement à beaucoup de lectures "anciennes", je n'ai eu aucune difficulté à me plonger dans l'époque et je n'ai pas eu l'impression que ça a mal vieilli.
Encore un changement de décor pour notre cher Poirot, nous enquêtons sur une série de meurtre. Bien loin de perturber notre cher détective c'est avec brio et nombres rebondissement qu'il résout cette enquête !
C'est avec l'adaptation en bande dessinée que j'avais au préalable découvert cette histoire il y a quelques années et malgré cette lecture, j'ai tout de même été captivé et surprise par le dénouement dans le roman, puisque j'avais oublié les tenants et aboutissants. La seule chose dont je me rappelais avec précision ne fait finalement pas partie des enjeux majeurs puisque c'est un élément que Hercule Poirot révèle assez rapidement. Dans cette histoire, il va être question d'un tueur en série puisque nous assistons à trois crimes commis. Et face à cet obstacle, Poirot ne va pas perdre ses moyens mais il est intéressant de voir que cette répétition inquiété tout de même le célèbre détective et qu'il se met lui-même une certaine pression pour pouvoir arrêter le meurtrier. On prend plaisir à retrouver Hastings aux côtés de Poirot, avec sa nonchalance et sa simplicité d'esprit. A ce propos, Poirot se joue facilement de lui et j'ai eu peur que Hastings soit finalement pris pour le dindon de la farce dans le dénouement, piégé malgré lui par Poirot. Heureusement, Hastings n'est pas ridiculisé et le dénouement reste classique dans sa réalisation. Celui-ci reste en plus une nouvelle fois surprenant, car le tueur ne se révèle pas celui que l'on pense et il montre encore que chaque détail est important et que la logique est de mise! Mais Agatha Christie tisse tellement bien sa toile, que pris dans le récit et l'intrigue, le lecteur se retrouve inévitablement piégé.
Résumé
Bien sûr, la retraite a ses charmes... Cependant, Hercule Poirot ne peut s'empêcher, de temps à autre, de reprendre du service. Oh! pas pour n'importe quelle affaire, bien entendu. Un détective aussi célèbre que lui ne se dérangerait pas pour un meurtre ordinaire. Non, Hercule Poirot ne s'intéresse qu'aux crimes les plus déroutants, les plus passionnants, les plus... Bref, à la crème des crimes. Et quelque chose lui dit que cette curieuse lettre signée A.B.C. va l'entraîner dans un mystère suffisamment épineux pour qu'il daigne faire fonctionner ses petites cellules grises. Oui, de toute évidence, A.B.C. fait partie de la crème des assassins... De quoi réjouir la crème des détectives !
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