Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 704
Membres
1 007 821

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Steph-Anie 2017-06-15T09:54:41+02:00

— Charley et toi vous allez sortir ensemble ?

— Oui. Ce soir. Tu as quelque chose à dire ?

Oui. Primo, je ne peux pas croire que tu sois son genre. Deuxio, je ne peux pas croire que ce soit LUI qui t’ait invitée. Tertio… va te faire foutre.

— Félicitations.

Je lui adresse un sourire faussement sincère.

— Mm… Un conseil ?

Oui. Primo, coupe tes putains de cuticules. Deuxio, arrête de te cambrer inutilement pour ressembler à Kardashian. Tertio… va te faire foutre.

— N’oublie pas les capotes.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Steph-Anie 2017-06-15T09:44:45+02:00

— Quelqu’un a réglé pour vous tôt ce matin, mam'zelle Hanna, chuchote-t-il en se penchant un peu vers moi.

— Pardon ?

— Quelqu’un a…

— Oui j’ai compris, mais, qui ? Pourquoi ? Comment ?

Aza m’aurait devancée?

— Ça… J’vous laisse voir par vous-même. C’est pour vous cette lettre…

Il sort une enveloppe de sous sa caisse et la glisse sur la vitre recouvrant les montres en toc qui décorent le comptoir. Avec une hâte non dissimulée, j’arrache le papier pour en sortir l’objet de ma curiosité.

Je surprends mon épicier en train de zieuter l’écriture et dans un réflexe, je me retourne pour la lire :

Premier round, Miss prétentieuse…

Vous jetez les hommes ? J’attrape les femmes… Dans une semaine vous serez à moi et en fonction de votre coopération, je vais décider si je vous garde ou si je vous jette…

Pour l’heure, je paye votre petit-déj : Lait d’amande et Dragibus (sans les verts, car ils vous font penser à des crottes de nez). Au fait, votre épicier est très bavard…

Ah et… jolie nuisette… Pensez à mettre un soutien-gorge lorsque vous traînez devant la fenêtre de votre cuisine…

Bye bye Hanna.

F.

Nom d’un chien !

Afficher en entier
Extrait ajouté par youyoutte 2021-12-22T08:55:58+01:00

𝙸𝚕 𝚢 𝚊𝚞𝚛𝚊 𝚜𝚞𝚏𝚏𝚒𝚝 𝚍’𝚞𝚗 𝚊𝚙𝚙𝚎𝚕 𝚖𝚊𝚗𝚚𝚞𝚎́ 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚌𝚑𝚊𝚗𝚐𝚎𝚛 𝚕𝚎 𝚌𝚘𝚞𝚛𝚜 𝚍𝚎 𝚙𝚕𝚞𝚜𝚒𝚎𝚞𝚛𝚜 𝚟𝚒𝚎𝚜. 𝙸𝚕 𝚊𝚞𝚛𝚊 𝚊𝚞𝚜𝚜𝚒 𝚜𝚞𝚏𝚏𝚒𝚝 𝚍’𝚞𝚗𝚎 𝚝𝚛𝚊𝚐𝚎́𝚍𝚒𝚎 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚛𝚎𝚗𝚌𝚘𝚗𝚝𝚛𝚎𝚛 𝚖𝚊 𝚖𝚎𝚒𝚕𝚕𝚎𝚞𝚛𝚎 𝚎𝚗𝚗𝚎𝚖𝚒𝚎…

Afficher en entier
Extrait ajouté par Elodie-490 2021-12-07T20:03:32+01:00

Mon sourire n’échappe pas à mon épicier favori, même si je suis déjà loin dans les rayons. Chaque matin, c’est le même manège : j’entre dans le magasin sans m’arrêter au comptoir et malgré cela, j’ai le droit à un petit compliment qui fait pétiller ma matinée. C’est comme une petite vitamine quotidienne. Ce cher Aziz délaisse sa marchandise à déballer pour me concocter un service aux petits oignons. Il pense que j’y suis indifférente, mais en réalité, ce cher monsieur me comble de bonheur le temps de quelques achats.

Afficher en entier
Extrait ajouté par PANDORE88 2018-10-16T18:43:33+02:00

- Et alors, que voyez-vous?

- Un vagin, je lâche avant de soupirer.

- Quoi d'autre?

Je m'efforce de regarder ces deux jambes écartées et ces attributs si bien faits. On dirait qu'il a souvent été penché vers ce genre de paysage.

- J'attends…

- Un trou pour pisser, un autre pour baiser, et un dernier pour se faire enculer, ça vous va?

[…]

- Toutes vos lacunes viennent de s'exprimer en une seule phrase.

- Mes lacunes?

- Oui! Tout ce qui contribue à ce que vos scènes de sexe soient de parfaits pornos livresques! Vous êtes vulgaire!

Afficher en entier
Extrait ajouté par Misslice 2017-03-01T20:32:43+01:00

C’est nouveau pour moi, mais pour passer les quatre mètres qui me séparent de lui, sous le poids de ses yeux brûlants, je ne sais plus où positionner mes mains. Même pour aller aux toilettes les jours de gastro, je défile comme si j’étais sur un podium. Face à Charley, je deviens comme ces filles qui n’osent pas lever la tête en passant devant une terrasse bondée.

— Vous désirez ?

Me voilà devant lui, mise à nu par ces satanées perles transgressives qui me hurlent des choses que je ne parviens pas à comprendre et affaiblie par la ribambelle de palpitations que lui tout entier me force à endurer.

— Vous êtes déjà allée dans un temple japonais ?

Son air sévèrement inquisiteur me fait déglutir et la manière dont ses phalanges blanchissent autour d’un stylo innocent m’oblige à gesticuler bêtement. Je sais qu’il fait allusion à une scène de mon roman.

— Non, jamais.

— Vous avez fait des recherches avant de prétendre qu’il faille se mettre à genoux à l’entrée avant d’y accéder ?

Bon sang… Je savais que je n’aurais pas dû improviser…

— Non.

Il donne un « petit » coup sur la surface du bureau en soupirant avant de s’adosser à sa chaise dotée de roues en se pinçant l’arête du nez. Je déteste ça ! Mon père faisait tout le temps cela quand je l’exaspérais.

— Pour être un bon écrivain, il faut écrire ce qu’on sait déjà, Hanna ! Visiblement, vous ne connaissez pas les coutumes japonaises… Vous voulez vous mettre tout le 13e à dos ?

Exaspérée, je réponds du tac au tac :

— Dans le 13e arrondissement, ce sont des Chinois !

— Arrêtez de jouer les pestes et asseyez-vous !

Je roule des yeux sur le côté avant de sursauter intérieurement. La fameuse chaise sur laquelle je suis censée m’asseoir se trouve à côté de la sienne. Malheur. Je contourne prudemment le bureau et pose mes fesses en priant pour que cette proximité n’enrage pas les symptômes d’usage « Charley ». Attendez ? Le temple japonais… Ça ne fait pas partie d’une de mes scènes érotiques ! Je rive mes yeux sur l’écran sans tenir compte de l’effet de chaleur que me provoque son visage tourné vers le mien.

— Attendez là… Pourquoi vous lisez cette scène ? Ça ne fait pas partie de votre diamètre de correction.

— J’ai décidé de lire le reste et j’ai bien fait. Il y a des incohérences.

Je ne m’étais pas rendu compte que j’avais posé ma main sur la souris avant que ses doigts bousculent les miens pour me faire lâcher prise. Ce contact de rien m’électrise toute entière, comme si nous étions connectés. Il est l’ordinateur, je suis la clé USB…

— Et puis… Je suis là pour vous aider, non ?

L’intonation de sa voix était vraiment plus douce que d’ordinaire. Il va m’aider à revoir mon manuscrit tout entier ? Comme ça ? Gratuitement ? Est-ce un piège ? Je plonge prudemment mes yeux dans les siens. Le coude sur le bureau, il pose un poing contre sa tempe pour me jauger plus confortablement.

— Pourquoi vous faites ça ?

— Parce que je ne fais jamais les choses à moitié. Quand je commence quelque chose, je finis toujours.

Alors là ! Une double pique… Il m’attaque par rapport à cette absurde chose qu’on a soi-disant commencée il y a longtemps, mais aussi sur le fait de l’avoir contraint à arrêter de me toucher avant la fin. Je décide de ne pas rentrer dans son jeu :

— Si vous comptez corriger l’entièreté de mon manuscrit, j’en parlerais à Amanda pour qu’elle vous paye en conséquence.

— Ceci ne regarde qu’Amanda et moi. Ça…

Il désigne l’écran de l’ordinateur.

— C’est entre vous et moi. Il n’y a que peu de changements à faire. Comme je l’ai déjà dit, vous êtes un bon écrivain, Hanna.

Je me mets à ricaner malgré moi.

— Qu’est-ce qui vous fait rire ?

— C’est rien… C’est juste que… Merde alors, Charley ! On peut arrêter de se vouvoyer à la fin ?

— Non, pas au bureau.

Je fixe l’écran d’un air perplexe avant de prendre la chose avec une fausse légèreté :

— Je vois… Bon ! Ok alors… Vous avez terminé ?

— Oui.

— Parfait.

Prête à me lever, je me décale latéralement en faisant rouler les roues de ma chaise, mais soudainement je suis stoppée et ramenée vers lui. C’est ça, il vient de me ramener à lui en m’empoignant par la cuisse. Si mon corps n’avait pas instantanément été dopé d’adrénaline, je sentirais la morsure de ses doigts sur ma chair, bien qu’elle soit aujourd’hui couverte d’un pantalon.

— En fait, je n’ai pas fini, souffle-t-il en fixant mes lèvres.

Son visage est tout près du mien. Son odeur est littéralement un élixir de séduction.

— Vous allez vraiment sortir avec ce crétin ?

Alex… Je n’en reviens pas qu’il ose m’en parler après le coup qu’il vient de me faire !

— Absolument… Au cas où vous ne le saviez pas, Alex et moi sommes déjà sortis ensemble.

Faux… On a juste couché, point. Le visage de Charley se tend sous mes yeux et ses rides de lion apparaissent.

— Il n’est pas fait pour vous, tranche-t-il avec assurance.

Vrai…

— C’est faux. Alex est parfait en tous points.

Il tourne nos chaises de façon à ce que nous nous retrouvions l’un en face de l’autre et avant que je ne puisse reprendre mes esprits à la vue de ses muscles visibles en transparence sous sa chemise, ses genoux se resserrent autour du mien. Dans sa tête, je lui appartiens clairement.

— Hanna… Il ne vous va pas et vous le savez.

Ses genoux qui agrippent ma jambe, sa manière de me dévorer des yeux, ce qu’il me dit… si dans trente secondes, je ne me mets pas à trembloter, je suis une warrior ! Pour l’heure, ma franchise prend le dessus :

— Qu’est-ce que ça peut bien vous foutre ? Vous sortez avec Fanny, une fille qui est pourrie aussi bien intérieurement qu’extérieurement et vous voulez donner des leçons ?

— Ce n’est pas parce que je mange déjà que je ne dois rien dire en voyant quelqu’un sur le point de dévorer un aliment fade et avarié.

Ça y est… Je tremblote de rage. Heureusement, pas assez pour qu’il le remarque. Je trouve même la force de me lever d’un bond, de rester bien face à lui, les yeux dans les yeux et de me mettre à gronder :

— J’en ai assez entendu ! À partir d’aujourd’hui, vous ne vous mêlez plus de ma vie, vous arrêtez de me provoquer, de me faire tourner en bourrique, d’être sarcastique et de me traiter comme de la merde pour ensuite insinuer que vous me voulez ! C’est compris ?

Il reste là, muet, tête légèrement relevée vers moi, si insolent et secret. Je ne crie pas assez fort… Je lui en redonne une couche :

— Désormais nos rapports seront strictement profe…

Aussi rapide que l’éclair, sans que je ne sache comment, il me tire vers lui et je me retrouve une seconde fois à califourchon sur ses genoux. La sensation qui s’en suit est indescriptible… C’est comme si un piano vivait en moi et que quelqu’un avait violemment appuyé sur toutes les notes graves en même temps. J’en ai le souffle coupé.

— Embrasse-moi Hanna, me susurre-t-il en me tenant le cou d’une main.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode