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Absynthe, Tome 1 : C’était nuit en le solitaire Octobre



Description ajoutée par Gkone 2017-03-31T20:32:51+02:00

Résumé

Les cieux, ils étaient de cendre et graves ; les feuilles, elles étaient crispées et mornes – les feuilles, elles étaient périssables et mornes. C’était nuit en le solitaire Octobre de ma plus immémoriale année. [Edgar Allan Poe, traduction de Stéphane Mallarmé]

Il était une fois l’humanité gorgée de rage, désormais incapable de la contrôler, et le monde sombra dans les flammes.

Un siècle plus tard, sur ces terres dévastées qui avaient autrefois été l’Amérique, un homme brisé connu seulement sous le nom de Cavalo tente de survivre. Se tenant volontairement à l’écart de tout ce qui reste de la civilisation, Cavalo se terre dans les ruines décrépites de l’Institut Correctionnel Nord de l’Idaho, avec un cabot appelé Sale Clebs et un robot aux limites de la folie pour seuls compagnons. Cavalo lui-même se désagrège lentement, ses souvenirs s’élevant comme autant de fantômes hantant les cellules de détention.

Lorsqu’il fait le choix périlleux de traverser les terres radioactives des Deadlands, Cavalo fait la rencontre d’un psychopathe muet appartenant à un groupe de meurtriers qui se fait appeler les Dead Rabbits. Prenant l’homme en otage, Cavalo est non seulement obligé de faire face aux horreurs de son passé, mais aussi aux multiples ramifications de ses choix qui impactent sur son présent. Et ce sera grâce à son prisonnier qu’il trouvera un possible futur, où la rédemption n’est pour l’heure qu’une simple lueur vacillant au loin.

Le monde est mort.

Voici l’histoire de ses restes…

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Classement en biblio - 121 lecteurs

extrait

L’homme du nom de Cavalo ouvrit les yeux. Un maigre homme de métal avait les yeux baissés sur lui.

— Aïe, lâcha Cavalo, même s’il ne souffrait pas autant qu’il s’y était attendu.

Il espérait s’attirer un tant soit peu de compassion afin d’éviter les remontrances, qui n’allaient pas manquer de s’ensuivre.

— Aïe, répéta le robot. Aïe, qu’il gémit. Aïe, qu’il pleurniche. Oui, aïe, tas de chair stupide. Aïe, c’est ce qui arrive quand tu te laisses tirer dessus.

Le robot se redressa, ses rouages et ressorts vibrèrent et grincèrent. Il était grand, atteignant les deux mètres dix, d’un gris métallisé terne et tacheté de rouille. Ses yeux composés de deux ampoules orange vif étaient recouverts d’un revêtement de plastique qui ressemblait à des lunettes. Son Unité Centrale battait doucement dans sa poitrine, comme un cœur. Une légende usée était poinçonnée près de son épaule droite.

Système Intelligent à Réponse Sensitive.

SIRS. Le robot en charge de la prison et de la sécurité au Temps d’Avant. Le robot qui avait perdu son esprit robotique à un moment donné, Après. Il était déjà fou quand Cavalo était tombé sur le N.I.C.I un printemps, lors d’un orage d’une violence inouïe, quelques années auparavant. Cavalo ne comprenait toujours pas comment les robots pouvaient perdre l’esprit, mais SIRS lui avait assuré avec désinvolture (après avoir, bien sûr, tenté de le tuer de la façon la plus sanglante qui soit) que non content d’être possible, c’était même probable, fondamentalement.

— Tout comme l’humanité, avait-il dit, la robotique n’est pas éternelle.

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Commentaires récents

Or

Comme l'ont dit plusieurs commentaires, sûrement un des livres les plus sombre de TJ Klune. Il y a toujours une part de folies dans ces romans, mais là, c'est réellement le sujet. Ce roman post-apocalyptique raconte la rencontre entre Cavalo, un homme complètement brisé et sérieusement fou, dont la seule famille est un chien qui lui parle dans sa tête et un robot dont la programmation par aussi dans la folie, et c'est surtout l'histoire de sa rencontre avec un cannibale. Comme contexte de départ, on se pose là 😂, c'est vraiment un voyage dans leur folie à tous et dans leur lutte pour sauver une petite ville de l'Idaho des ambitions gargantuesque d'un homme encore plus dérangé. C'est l'histoire de la folie des hommes. Et c'était vraiment quelque chose, j'ai du mal à définir mes sentiments vis-à-vis de cette lecture si ce n'est que j'ai dû enchaîner les 2 tomes pour pouvoir rester saine d'esprit 🥺 toutes œuvres de TJ Klune sont pour moi des pépites et Absynthe l'est tout autant.

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Or

Le plus sombre des livres que j'ai pu lire à ce jour de TJ Klune. Nous sommes loin des contes des Contes de Vérania, ou de La Maison sur une mer céruléenne, pourtant on retrouve cette fragilité sous-jacente chez Cavalo et Lucas qui nous touche en dépit de la noirceur de leur histoire. On s'attache à Bad Dog ou à Sirs qui apportent une touche d'humour et de légèreté dans ce monde cannibale et impitoyable.

Sombre, mais touchant et tendre dans sa brutalité, j'ai aimé ce tome surprenant.

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Or

En ce mois d'Octobres j'ai décidé de commencer cette lecture, on retrouve très bien l'écriture de T.J Klune que j'ai encore une nouvelles fois adoré !

Les personnage son attachant à leurs façon, la folie des personnage et bien détaillé, l'univers est bien sombre et légèrement gore, je ne peux rien dire de plus oh risque de spoiler, mais c'est sûr que je lirai le tome 2 des que je l'aurais ! Pour retrouver notre petit groupe bien original ! (Cavalo, le Dead Rabbit, Bad Dog et le robot)

Seul hic pas assez d'action ! J'espère que le tome 2 ce rattrapera sur celà.

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Diamant

On suit l'histoire de Cavalo un homme à la santé mentale quelque peut altérée, accompagné de Bad Dog et de SIRS. Ce monde post-apocalyptique ne donne pas très envie d'y aller mais en même temps ce n'est pas la pire version qui existe. Et bien sûr il y a des méchants qui veulent reprendre le contrôle plutôt que de laisser les gens vivre en paix.

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Or

Je viens de finir le tome 1 d’Absynthe comment dire il est atypique, déroutant. je dois dire que j'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans le livre mais c'est le dernier tiers qui me l'a fait aimé avant j'étais aussi perdu que le personnage vivement que je commence le tome 2

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Je me suis lancé en me disant j’aime l’auteur mes un robot j’ai dû mal on teste !!!

Et je regrette absolument pas j’adore ça ma surpris mes j’ai aimé tout se livre

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Argent

Un roman complètement déroutant et inhabituel. L'histoire suit les pensées du héros, personnage complexe et torturé, naviguant entre folie et réalité. Et on ne finit par ne plus trop savoir ce qui est réel ou pas. L'atmosphère est poisseuse et pesante, la présence de Bad dog et du robot déjanté allège un peu l'atmosphère oppressante, et un final qui pose plus de questions qu'il n'en résout, et laisse possiblement envisager un changement dans la relation entre Cavalo et "Psycho"....

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Or

Alors là, c’est la bonne surprise de l’année : j’ai vraiment beaucoup aimé ! Le style du prologue est un peu déroutant (il fonctionne sûrement mieux en VO qu’en VF), mais une fois dedans, je me suis totalement laissé emporter !

« Le monde est mort. Voici l’histoire de ses restes... » Sur une terre irradiée qui tente de panser ses blessures, un homme du nom de Cavalo y survit, flanqué de son indéfectible compagnon, le chien Bad Dod, l’une des seules créatures avec qui il se sent encore capable de converser. Cavalo a tout perdu. Hanté par ses souvenirs, son esprit brisé lutte contre la folie, personnifiée par le bourdonnement incessant d’une nuée d’abeilles prête à l’engloutir au moindre faux pas. En s’aventurant trop loin dans les Deadlands lors d’une chasse, il croise la route d’un de ces psychopathes appartenant au groupe des Dead Rabbits, de dangereux cannibales que les quelques humains qui tentent de reconstruire la civilisation craignent plus que la fin inéluctable du monde. Conscient qu’il faudrait le tuer, l’empêcher de nuire à tout jamais, Cavalo prend néanmoins la décision de l’emmener à Cottonwood, où il pense que la population sera prête à le juger pour ses crimes. Sauf qu’une fois là-bas, rien ne se passe comme prévu. Le voilà obligé de fuir avec Bad Dog et Psycho (qu’il a baptisé ainsi vu que le jeune homme est muet et ne peut lui dire son nom) pour rejoindre son antre : une prison gardée par le robot SIRS qui attend son retour depuis plusieurs mois.

Je m’arrête là pour le résumé, mais autant dire que tous les persos de ce bouquin sont complètement fêlés. J’ai aimé Cavalo et le voir batailler contre la démence, j’ai adoré Bad Dog et leurs conversations, j’ai adoré SIRS, totalement allumé lui aussi. L’ambiance un peu psychotique est très bien rendue. J’avais un peu peur pour la romance du coup mais ça marche bien, rien de mièvre ou de cucul, au contraire, c’est un combat psychologique qui oppose Cavalo et Psycho jusqu’à la fin de ce tome 1. Je suis dégoûtée de ne pas avoir pris le 2e tome tout de suite – par prudence, hein, cela va sans dire – mais si j’avais su, je me serais jetée dessus tout de suite ! Autre bonne surprise : les illustrations ! En général je n’aime pas trop qu’on détourne mon attention du texte mais il y n’y en a pas trop et elles s’intègrent bien au récit. Bref, un petit coup de cœur, même si l’histoire n’est pas forcément originale, c’est bien fichu, rythmé, un peu cracra comme j’aime, bref, tout ce que j’attendais !

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Diamant

Moi qui adore les dystopies, j'ai été happée par l'univers sombre et violent de ce premier tome.

Nous plongeons dans la folie et les tourments de Cavalo, un homme torturé et complexe hanté par les fantômes de son passé. Il est accompagné de Bad Dog son chien avec qui il a des conversations surréalistes ( courageux et loyal il est prêt à tout pour son SeigneurMaîtrePatron ), et d'un robot SIRS qui tombe peu à peu dans la démence ( oui c'est possible ) mais qui a des réactions tellement humaines. Ils forment un trio improbable et attachant.

Les Dead Rabbits font vraiment flipper, au point d'avoir très peur que la fiction devienne réalité. Ils sèment le chaos et la terreur. Parmi eux se trouve Psycho qui est d'une noirceur impressionnante, il n'a peur de rien car il a déjà vécu l'horreur, son comportement est assez perturbant, il donne la chair de poule.

C'est un roman addictif, intense, dur, oppressant, avec des personnages atypiques et captivants.

J'ai beaucoup aimé les illustrations et la note de l'auteur à la fin est géniale.

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Diamant

Difficile de laisser un commentaire après la lecture de ce premier tome. C'est comme si je m'étais arrêter en plein milieu du livre, comme s'il manquait encore tellement d'infos ! Du coup, seule l'envie de continuer avec le tome 2 me remplit l'esprit...

Ou alors, c'est parce qu'on sombre dans une certaine folie aussi, après s'être imprégné de celle du héros ; anti-héros ? On ne sait pas trop où le placer...

Je tire mon chapeau à l'auteur de rendre aussi préhensible la notion de folie. Tout du long, on vogue dans l'esprit de Cavalo, essayant de piocher les éléments importants, les éléments réels. Comment survivrions-nous à la fin du monde ? Est-ce que nous aussi on sombrerait dans la folie ?

J'ai hâte de voir ce que TJ Klune a fait de la suite !

Peut-être je réviserai mon classement, car j'avoue avoir hésité entre argent et or...

Edit en fin de lecture tome 2 : Donc, je confirme, surtout ne vous arrêter pas au premier tome, lisez le deuxième !! Je passe la duologie en diamant...

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Dates de sortie

Absynthe, Tome 1 : C’était nuit en le solitaire Octobre

  • France : 2017-04-12 (Français)
  • USA : 2016-04-19 (English)

Activité récente

Nas-3 l'ajoute dans sa biblio or
2023-11-06T20:38:21+01:00

Titres alternatifs

  • Withered + Sere (Immemorial Year, #1) - Anglais

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 121
Commentaires 21
extraits 14
Evaluations 47
Note globale 8.6 / 10