Commentaires de livres faits par Acherontia
Extraits de livres par Acherontia
Commentaires de livres appréciés par Acherontia
Extraits de livres appréciés par Acherontia
Que voici une très très bonne novella de George R. R. Martin, père spirituel de la mère des dragons. Ici, point de fantasy, mais un fantastique à cadre urbain avec un dépoussiérage efficace du mythe du loup-garou, mêlé à l’enquête type « détective privé » des années 80. La pièce est jouée par des personnages plus vrais que nature, avec une vraie profondeur, une vraie authenticité comme on en voit rarement dans les récits de type court (et comme on aimerait en voir plus !). L’intrigue complexe et bien ficelée est admirablement servie par une plume qui sait se faire nerveuse à souhait dans les passages les plus tendus. Rajoutez à cela ce qu’il faut de gore pour corser joliment la sauce, et l’on obtient tout ce qu’il faut pour plaire à l’amatrice de frissons et de suspens que je suis !
J’étais très enthousiaste à l’entame de ce roman, j’en suis ressortie détendue, mais avec encore un creux à mon estomac littéraire. En définitive, je dirais que ce roman est parfait pour se relaxer au sortir d’une lecture plus ardue, pour se changer les idées ou prendre une bonne bouffée d’air londonien (attention quand même aux vapeurs toxiques et aux coups de chaud !). Si vous aimez les héroïnes qui en ont dans le jupon, vous en aurez à coup sûr pour votre argent ! Si vous trouvez les héros ronchons et aigris agaçants, accrochez-vous à votre culotte ! Si vous aimez les dialogues bien fournis, vous serez servis, mais si, comme moi, vous préférez les belles descriptions et quelques scènes d’action, la seconde partie pourrait bien vous laisser un goût de trop peu.
Ceci étant, je sens avec cette auteure un talent certain, et je compte donc bien revenir à sa plume un de ces jours…
On est ici en présence d’un thriller horrifique/fantastique de très bonne qualité, avec des personnages bien campés, une intrigue bien ficelée et relativement complexe, des clins d’yeux à la littérature américaine (Lovecraft, Hawthorne), des meurtres sanglants à souhait, une enquête menée tambours battants par un excellent trio inspecteur du BOI/détective privée/homme de main afro américain, le tout dans une ville de Providence à l’époque de la Prohibition et des speakeasies…
Mais ce roman, c’est surtout une vertigineuse descente vers une partie bien sombre de l’histoire des États-Unis, celle des sorcières de Salem et du culte de l' »homme noir »…
Efficace et pas cher, c’est le guide Lovecraft qu’on préfère !
Suite de la chronique : https://chroniquesdacherontia.com/2020/07/13/chronique-young-adult-thunder-tome-1-de-david-s-khara/
Chronique complète : https://chroniquesdacherontia.com/2018/02/23/chronique-fantasy-cavalier-vert-t1-de-kristen-britain/
Sans doute ai-je été trop déroutée par cet OLNI... J'ai eu le sentiment de me perdre au creux de ces pages comme dans un labyrinthe sinueux et cauchemardesque, une sorte de labyrinthe de Pan complètement capillotracté. Certes, le voyage fut captivant, je me suis rapidement retrouvée happée par l'histoire, par les personnages et par l'univers décrits. Lire "La bibliothèque de Mount Char", c'est un peu comme voyager au-delà du cauchemar, dans des décors dignes de Tim Burton ; c'est aller jusqu'au grand fleuve Achéron pour y contempler les âmes damnées, en revenir, et constater que le monde, entre-temps, a changé ; c'est constater aussi que, sur le temps du trajet, on a soi-même changé. Peut-être ai-je eu subitement peur de trop perdre de moi-même et de mon humanité entre ces pages
Pourtant, l'écriture de Scott Hawkins est excellente. Pour un premier roman, c'est une grande réussite. Je pense que les éditions Denoël ont déniché là une petite perle de littérature fantastique américaine. Au fil des pages de ce roman, je me suis sentie un peu comme dans un bon vieux Clive Barker, à cela près que Hawkins se montre moins "crade", si je puis dire. Disons que, chez Hawkins, l'horreur se distille tout en finesse, par le biais de métaphores métaphysiques.
Ce roman est donc très bon... mais déconcertant! Mais très bon... mais déconcertant! Bref, vous m'avez comprise!
http://chroniquesdacherontia.com/2017/11/23/chronique-fantastique-bibliotheque-mount-char-scott-hawkins
Mais voilà, j’ai eu le sentiment que le thème majeur a finalement dérivé du fantastique vers la relation Sacha/Djinn (non, je ne vous ai pas encore parlé de lui, mais c’est parce que je voulais ménager la surprise de ceux qui liront ce roman). Je ne peux pas dire que cela soit une mauvaise chose, car je les ai trouvé bien mignons, mais ce n’était pas ce que j’attendais de ce roman. Je pensais y trouver beaucoup plus d’action et d’intrigues fantastiques, et je me sens un peu frustrée par rapport à ça.
Ceci étant, le roman se laisse lire tout seul. Il ne me laissera peut-être pas un souvenir impérissable, mais il m’a permis de beaux moments de détente. À la période où je l’ai lu, tandis que je me remettais péniblement de ma mononucléose, c’était à peu près tout ce que je demandais à mes lectures…
https://chroniquesdacherontia.com/2018/01/07/chronique-fantastique-enfer-est-complet-en-cette-saison-solade/
Si je vais continuer à suivre cette série? Je crois que la question ne se pose même pas!
https://chroniquesdacherontia.wordpress.com/2018/01/24/chronique-manga-alderamin-on-the-sky-t1-kawakami/
Donc oui, j'ai apprécié ma lecture dans l'ensemble, mais j'ai été cruellement déçue par la fin, et par l'explication de ce lien qui unit le meurtrier à Damian, l'artiste. Beaucoup trop téléphoné à mon goût... Je m'en suis doutée dès les premiers chapitres, et j'attendais de l'auteur qu'il me surprenne en proposant un lien tout autre. Voilà pour le bémol...
Mais d'une façon générale, c'était tout de même un bon roman, qui procurera les frissons nécessaires aux amateurs du genre.
Suite vers le lien : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2017/09/chronique-thriller-sublimation-bastien-pantale.html
Dans ce très (trop) court recueil de nouvelles, il y a du bon et du moins bon. Je ne vous dirai pas qu'il y a à boire et à manger, car ce sont là des mets auxquels l'on n'a guère envie de goûter, à moins d'être nécrophile, ou scatophile, ou cannibale, ou...
Bref, ceci n'est clairement pas un recueil à mettre à la portée de tous. Mais les amateurs du genre horrifique y prendront un certain plaisir, surtout s'ils sont en plus portés sur l'humour noir.
Suite de la chronique : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2017/07/chronique-poetique-du-morcellement-de-romano-vlad-janulewicz.html
L'intrigue est super bien ficelée, l'auteur déploie d'excellentes idées et parvient à maintenir l'histoire sur les rails grâce à un fil conducteur, celui de la recherche de la pierre perdue. Le style d'écriture n'est pas spécialement fouillé. Mr Anonymous emprunte même beaucoup de vocabulaire au parler populaire, voire vulgaire. Mais cela cadre si bien avec l'histoire et les personnages que ce n'est absolument pas dérangeant. Donc, pour ceux qui ne sont pas puritains à l'extrême, je vous conseille de foncer sur cette lecture.
Lien vers la chronique complète : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2017/02/bourbon-kid-livre-sans-nom-anonyme.html
L'univers développé par Marie Brennan est très complexe (d'ailleurs, j'ai été ravie de retrouver un glossaire en fin de roman, ce fut très utile) et très riche. Les concepts déployés dans le roman sont vraiment intéressant, surtout en ce qui concerne ce culte de la Déesse et de ses cinq facettes, que j'ai trouvé original.
Évidemment, mes poils se sont hérissés de colère face à la bêtise crasse du conservatisme religieux pur et dur. C'est voulu par l'auteur, bien entendu, et cela prouve qu'elle a du talent. C'est une belle thématique résolument moderne qu'elle nous présente magistralement sous la forme d'une allégorie fantasy très réussie.
La seule chose sur laquelle je me dois de mettre un bémol, c'est la finale. Je ne peux évidemment pas tout raconter, mais j'ai trouvé que l'auteur faisait une ellipse plus que hasardeuse sur l'issue d'une bataille, et... enfin, je vous en dit plus dans mon article de blog ^^
Lien vers la chronique complète : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2017/02/les-deux-soeurs-2-sorciere-marie-brennan.html
L'intrigue proposée est tout bonnement géniale, et bien malin sera celui qui pourra deviner la chute avant la dernière page. L'auteur maîtrise l'art d'étonner ses lecteurs en le mettant sur de fausses pistes. Et puis j'ai adoré ce village qui semble tout droit sorti d'une vieille carte postale victorienne, avec ses superstitions, ses rites, ses traditions. Tout cela sent tellement la poussière, la boue et la magie païenne!
Ce que je retiens de ce roman, surtout, c'est, au final, cette analyse très pointue de ce qui peut se passer au sein de certaines communautés vivant en autarcie complète, avec toutes les dérives que peuvent engendrer l'étroitesse d'esprit et la volonté de respecter à tout prix les traditions.
Je n'ai pas souvent dit cela au sujet de romans qui commencent à dater, mais je pense que ce roman précis mériterait une édition plus récente et plus coquette. Les quelques éditions faites par le passé (je crois que la dernière date de 1991) ont vraiment un look douteux qui ne donnent pas vraiment envie de découvrir l'histoire. Je crois que cela vaudrait la peine d'y penser. Après tout, la quatrième de couverture de mon édition en parle comme "l'un des livres clé de la terreur moderne", et je ne suis pas loin de partager cet avis...
La suite de la chronique par ici : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2017/02/fete-du-mais-thomas-tryon.html
Lire la suite de la chronique : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2017/02/saga-fantasy-cycle-de-chalion-lois-mcmaster-bujold.htm
Mis à part Will, je n'ai pas accroché avec les personnages, et surtout pas avec les deux protagonistes principaux, à savoir Jacob et Rosa. Je n'ai juste pas compris ce qu'ils étaient, et même si je l'avais compris, je crois qu'ils m'auraient tapé sur les nerfs malgré tout. Ce mysticisme propre à Jacob, et ce côté "petite fille trop gâtée" de Rosa, ce sont là des points de caractères qui tendent à m'agacer au plus haut point. Dommage, car l'histoire repose principalement sur leur deux personnages...
Une dernière chose, et non des moindres, je n'ai en fait pas compris le but de l'histoire. Où l'auteur a-t-il voulu en venir? Qu'est-ce que c'est que cette histoire de fou? J'ai trouvé que la fin partait un peu en vrille (pour ne pas dire en couille...), et je n'ai pas eu les réponses aux questions que je me posais. Ou alors, si l'auteur les a données, je ne les ai pas comprises. La faute aux propos trop sibyllins de ses personnages...!
Lien vers la chronique complète : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2016/11/chronique-sacrements-clive-barker.html
Les héros sont toujours aussi attachants, et les méchants de plus en plus détestables (certains donnent même envie de flanquer des baffes à tout va). Certains se situent entre les deux, et l'on se demande de quel côté la balance va pencher. Certains héros meurent, et on est triste pour eux, d'autres sont de plus en plus héroïques, et on est heureux de suivre leur évolution.
On découvre aussi de nouveaux aspects de la Grèce antique, avec notamment les jeux organisés à Troie, qui joueront un rôle politique majeur malgré la trêve instaurée.
Lien vers la chronique complète : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2017/01/troie-2-david-gemmell.html
De cette lecture, je retiendrai donc surtout l'écriture fabuleuse de Manon Fargetton, alternant fluidité, rythme et poésie. Je retiens également les personnages, travaillés tout en finesse, et dont la psychologie complexe laisse pantois. L'intrigue remarquablement ficelée, ainsi que deux univers imbriqués l'un dans l'autre d'une façon remarquablement inventive et ingénieuse, constituent un troisième point qui me fait dire que ce roman vaut amplement son prix Imaginales 2016, et tous les éloges que j'ai entendu à son sujet jusqu'à présent.
Pour bien résumer la situation : lisez-le! C'est un de mes grands coup de coeur 2016...
Lien vers la chronique complète: http://www.chroniquesdacherontia.fr/2017/01/heritage-des-rois-passeurs-manon-fargetton.html
Ensuite, l'histoire en elle-même est juste gé-niale! Cela change des précédentes intrigues de cour, des guerres, des querelles intestines, de la politique houleuse, and so on... On se sent happé par cette histoire d'artefact maléfique, si bien qu'il est difficile de lâcher le roman une fois l'intrigue principale démarrée. Et cette menace latente en fin de roman, cette vision d'horreur finale qui introduit la trilogie suivante, nous mettant l'eau à la bouche, c'est juste... tellement frustrant! Si j'avais eu la suite sous la main, je l'aurais lue dans la foulée!
Lien vers le reste de la chronique : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2017/01/conclave-des-ombres-3-feist.html
Mais le premier tome de la saga Troie, lui, aura gagné mon coeur comme l'on gagne une bataille. Je me suis laissée séduire par ce récit mené tambour battant, me prenant d'amour pour nombre de personnages aux personnalités riches, complexes et attachantes. La plume de Gemmell, fluide, vibrante, précise, est venue me haper pour m'emmener aux confins de la Grande Verte, à la rencontre d'une époque et de civilisations qui m'étaient jusque là plutôt hermétiques. Je suis restée prisonnière de l'histoire, captive des yeux d'Hélicon et de la chevelure rousse d'Andromaque, jusqu'à ne plus pouvoir m'en détacher. Et de fait, j'ai lu le dernier tiers du roman d'une traite...
Notons aussi que cette réédition Milady est particulièrement jolie et soignée. La couverture est soyeuse et agréable à tenir, la police d'écriture est juste nickel, le poids du roman acceptable, et les illustrations sympas. Que demande le peuple?
Cette saga sera décidément un de mes grands coups de coeur de cette année...
La suite dans mon chronique : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2016/12/chronique-troie1-david-gemmell.html
Le personnage d'Yzé est certes parfois énervant de tant de perfection, mais elle n'en reste pas moins une jeune fille attachante qui a su gagner mon coeur de lectrice. Ses amis, à mon sens, sont encore mieux, parce qu'ils sont imparfaits au départ, mais ils luttent pour surmonter leurs difficultés et leurs peurs.
Quant à la chute, elle est sympa et plutôt bien pensée. J'attends donc impatiemment la suite!
Pour lire la suite, c'est par ici : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2016/11/chronique-yze-et-le-palimpseste-florent-marotta.html
Bien sûr, dans chaque nouvelle, sans exception, on retrouve le style inimitable de Lovecraft, ses phrases alambiquées, son vocabulaire si particulier, son talent pour le suspens, le dévoilement progressif de l'intrigue.
Les thèmes, aussi, m'ont enchantée. On y retrouve bien sûr la mythologie si particulière à l'auteur, celle-là même qui a fait sa renommée. Le seul petit hic, c'est que le recueil s'intitule Le mythe de Cthulhu. Or, je ne vois pas beaucoup de nouvelles s'y rattachant. En fait, ceux qui ont étudié l'oeuvre de H. P. Lovecraft ont divisé ses nouvelles en trois cycles, en fonction de leur sujet et de l'époque où elles ont été écrites. On distingue donc les nouvelles dites "macabres", le cycle des rêves, et le cycle de Cthulhu. De ce dernier cycle, seule L'affaire Charles Dexter Ward s'y rattache. Les autres nouvelles relèvent toutes du cycle "macabre". Bien sûr, cela ne gênera nullement le lecteur qui ne s'intéresse que superficiellement à l'oeuvre de Lovecraft. Mais en tant que fan inconditionnelle , je ne peux pas m'empêcher de pointer ce fait.
Par ailleurs, le recueil est divinement illustré par le très talentueux Loïc Muzy. C'est avec émerveillement que j'ai contemplé les créatures qui peuplent les récits hallucinés de l'auteur. Dernier petit hic de cette chronique, les créatures ainsi dépeintes n'apparaissent pas dans les nouvelles publiées dans le présent recueil, elles appartiennent à d'autres nouvelles qui font sans doute partie des deux précédents tomes. J'ai trouvé ça un peu dommage, car j'aurais bien aimé avoir un visuel des bestioles dont il était question dans ma lecture... Il est toujours un peu perturbant de lire une nouvelle puis de chercher l'illustration correspondante... en vain.
Pour lire la suite, c'est par ici : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2016/10/chronique-cthulhu-mythe-iii-lovecraft.html
On retrouve dans ce roman de nombreux éléments chers à l'auteur : des paysages très "dark" où la pauvreté et la corruption morale sont loi, des personnages torturés, des dialogues qui tournent autour de la conscience et de la recherche de sens, une histoire où le bien et le mal s'entremêlent, et de la violence... beaucoup de violence.
Si on retrouve dans ce livre beaucoup de bonnes choses, je lui reproche tout de même une trop grande linéarité, quelques longueurs, des passages qui manquent parfois de rebondissements, un caractère même parfois un peu brouillon, et le fait que la psychologie passe souvent avant l'histoire elle-même. Je l'ai trouvé un peu en-dessous de Servir froid, le premier roman que j'aie lu d'Abercrombie.
La suite via le lien suivant ^^ : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2016/10/chronique-pays-rouge-abercrombie.html
L'évolution des personnages, qui était déjà intéressante à observer lors des deux précédents tomes, parvient à une sorte d'apothéose à laquelle le lecteur ne peut être que sensible.
Le style d'écriture aussi a évolué, selon moi. Je l'ai trouvé un peu plus fluide dans ce dernier opus.
Quoi qu'il en soit, je ne suis pas restée sur ma faim avec ce tome 3. Mes questions ont trouvé une réponse, et plus encore... C'est, en définitive, une saga à lire et à découvrir!
Pour lire la chronique complète : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2016/07/chronique-la-trilogie-du-magicien-noir-3-le-haut-seigneur-de-trudi-canavan.html
Le style, simple, fluide, était emprunt d'une délicate poésie qui m'a beaucoup plu. Les personnages étaient magnifiquement brossés, travaillés, leur caractère et leur histoire personnelle étaient bien ficelés.
Si l'histoire paraît de prime abord relever d'une fantasy assez "bateau", il n'en est rien lorsqu'on creuse un peu sous le vernis d'intrigues politiques, de guerres et de magie. La psychologie fouillée et les relations entre les personnages y sont pour beaucoup. C'est pour moi le cœur de ce roman : une réunion de famille inattendue où les caractères et les intérêts parfois diamétralement opposés de chacun devront cohabiter.
C'est un roman au final assez fin, très féminin, que j'ai découvert avec le plus grand plaisir.
Pour lire la chronique complète : http://www.chroniquesdacherontia.fr/2016/07/chronique-les-filles-de-l-orage-de-kim-wilkins.html
Lien de la chronique complète : https://chroniquesdacherontia.com/2021/04/06/chronique-fantasy-boudicca-de-jean-laurent-del-socorro/